« Le souffle nous manquait , à force de courir après
nous- mêmes . Nous
Remontions à la surface des luttes de
nos ancêtres , et nous étions prêts à Frapper
il était difficile de perdre des journées dans
le bar indien pour qui était sobre .
Facile pour qui jouait du billard et buvait afin de
se souvenir d’oublier .Nous
Voulions devenir professionnels —- et le sommes .
Et certains d’entre nous savaient Chanter.
Quand on roulait jusqu’aux falaises , avec
un tambour . Nous
Élucidions nos vies belles et folles sous les étoiles
étoilées » …
Extrait du poème « Une aube américaine » traduit de l’anglais ( États - Unis ) par Héloïse Esquié .