Les cheveux de Hazel, mouillés de transpiration, collaient à son visage, à sa bouche. Ses seins étaient beaucoup plus gros, plus lourds qu’il ne l’avait imaginé, d’une pâleur laiteuse, avec des pointes grosses comme des baies. Il n’était pas préparé aux poils sombres, abondants sur son corps, noirs et hérissés sur son sexe, montant jusqu’au nombril. Il n’était pas préparé à la force de ses jambes, de ses genoux. Je t’aime t’aime t’aime les mots s’étranglèrent dans sa gorge tandis que, impuissant, il abandonnait sa vie en elle.
Rapidement le soleil grossit jusqu’à remplir le ciel.