Juan Carlos Moreno

J'adore, hein. J'en suis déjà au suivant, j'ai juste oublié de mettre un petit avis ici.



Si l'écriture laisse parfois toujours à désirer, j'adore le fond, les histoires, c'est ultra détaillé.



Je me demande bien d'où ils sortent autant de détails, d'ailleurs, parce qu'il me semblait qu'on n'avait pas grand chose sur la mythologie nordique. Ils doivent broder sur les gestes et récits moyenâgeux à disposition...

C'est plutôt bien fait. :)



Edit novembre 2023 : grâce à mon fillot, je peux lire toute la série. Je n'ai pas mis d'avis sur chaque tome, j'en suis actuellement à "Beowulf face aux Goths" !

Toujours aussi bien et instructif grâce à la partie "Histoire" à la fin de chaque tome.

Le premier numéro d’une série consacré à la mythologie grecque. Je suis souvent preneur de ces premiers numéros car ils sont souvent à des prix très démocratique et cela permet souvent de faire de belles découvertes. L’histoire du dieu des dieux grecques est ici expliqué dans les détails .C’est à dire depuis l’histoire de ces parents Cronos et Rhéa, et ensuite son combat pour la survie e texte est plaisant et permet de découvrir le champ très large de la mythologie grecque. Il y a aussi des illustrations additionnelles qui permettent de découvrir l’art de la période classique.

Au final une belle petite découverte pour ce premier opus de cette série acquis au prix dérisoire de 2€ seulement.

A chaque époque sa religion. Dans la Grèce antique les dieux sont omniprésents et intimement présent même jusqu’à une fusion couple mortel, immortel. L’homme peut-il vivre hors de la volonté des Dieux ? Dans « La malédiction d’Œdipe » cela ne semble pas être le cas. Laïos a un fils contre sa volonté. Les dieux ont prédit qu’un fils sera son malheur. Il charge un de ses esclaves de le mener à un endroit isolé, de lui percer les chevilles et de ne lui donner aucune chance de vie parmi les bêtes sauvages. Cependant, un berger apporte l’enfant au le couple royal de Corinthe décidé à l’adopter.



Œdipe croit en âge et cherche à savoir s’il est bien l’hériter du roi de Corinthe. Avec difficultés sa mère adoptive lui dit la vérité mais Œdipe cherche confirmation auprès des dieux. Après la révélation des dieux, il opte pour l’exil. En chemin il tue un homme sans savoir qu’il s’agit de son père.



Créon, le frère de Jocaste est désigné roi alors que Thèbes est un royaume éprouvé par la famine. En cause une sphinge sanguinaire qui après avoir consommer les récoltes jusqu’à épuisement, engloutit des thébains pour assouvir son appétit féroce. Pour Créon tuer la sphinge est la solution mais tous ceux qui ont été tenté d’accomplir cette tâche ont été dévoré par le monstre. Finalement alors, Créon avait promis que celui qui y parviendrait épouserait Jocaste et deviendra roi de Thèbes. Œdipe se porte volontaire pour le défi. Créon lui signifie que la force ne suffira pas pour réussir. Entre la sphinge et Créon est établi un pacte. « Chaque jour, envoie-moi un humain en offrande : je le soumettrai à une énigme. S’il y répond, je le laisserai partir vivant et je m’immolerai en me jetant dans l’abîme. S’il se trompe, j’en ferai ma pitance ». Œdipe releva le défi. En épousant Jocaste il deviendra le nouveau roi de Thèbes où paix et prospérité règnera.



Lorsque Créon, Œdipe, le peuple apprendra par es dieux cette infamie, Jocaste se tuera par pendaison. Œdipe se crèvera les yeux. Les sages et le peuple le condamneront à l’exil. Antigone sera ses yeux pour éviter les obstacles et le bâton sur lequel son épaule fatiguée pourra se reposer.



Dans un passé, relativement récent, j’ai lu, avec un immense intérêt « Antigone » (tragédie) qui est en fait la suite d’Œdipe roi. J’ai été conquis par cette femme vouant un amour aux siens et cherchant à faire appliquer la justice avec détermination. C’est encore avec plaisir que j’ai abordé l’histoire d’Œdipe, l’enfant aux pieds brisés.



Bien belle histoire à découvrir !



Il est utile de signaler que le livre présente un arbre généalogique de la famille royale de Thèbes, présente les personnages du récit, une annexe aborde le complexe d’Œdipe. En cours de lecture on trouve des dessins avec une phrase du texte aidant à intégrer les étapes du récit.

J'aime beaucoup cette série (mon fils les a tous).



Même si je me demande encore et toujours d'où ils sortent tout ça, tous ces détails, si c'est de la broderie sur les gestes moyenâgeuses ou bien si il y a plus de documents et de découvertes archéologiques que je ne croyais sur le sujet...



Quoi qu'il en soit c'est plutôt bien fait, bien écrit, et j'apprécie toujours les parties purement historiques à chaque fin de tome. Dans celui-ci c'est sur l'invasion d'Angleterre à la période de "Uthreeeeeeed" (personnage fictif de la série "The last kingdom" que j'adore), avec les fils de Ragnar Lodbrok etc etc etc.

Cette version d’Antigone, nous la devons à l’auteur espagnol Sergi Rodriguez. Cet opus contient une annexe, « Le mythe à travers l’histoire » dont nous devons la rédaction à Juan Carlos Moreno. Le livre appartient à une collection : « mythologie ».



L’auteur effectue des allers-retours dans l’espace-temps, qui a mon avis est un facteur d’embrouille, si bien que j’éviterai cette façon de faire.



Nous suivons Antigone que tous ses compatriotes connaissaient et respectaient, ils la tenaient pour la plus valeureuse et la plus noble de sa race maudite : Antigone, la petite fille de Laïos, la fille d’Œdipe et de Jocaste, la sœur d’Etéocle, de Polynice et d’Imène, la fiancée d’Hémon, la nièce de Créon.



Œdipe est le roi déchu de Thèbes. Pourquoi ? Qu’a-t-il fait ? Qui lui a crevé ses yeux ? Il quitte Thèbes. Antigone, une femme de cœur, est son guide, son accompagnatrice. Œdipe meure.



Alors qu’Antigone rentre à Thèbes, elle est surprise par l’accueil glacial d’Etéocle et choquée par l’omniprésence de Créon, leur oncle, à ses côtés. Etéocle, le nouveau roi, ne désirait pas tant en savoir sur les derniers instants d’Œdipe, il se focalisait sur les intentions d’Antigone. « Que viens-tu faire ici ? Essayes-tu de me convaincre de céder le trône à Polynice. Antigone répond : « Je me préoccupe de votre sort à tous les deux. De votre affrontement, il ne sortira pas de vainqueur mais seulement des perdants ». C’est bien ce qui se passera.



Polynice voulu acquérir le pouvoir par les armes. Lui et des troupes assaillirent les murailles de Thèbes, jusqu’à un corps à corps entre frères. De ce combat les deux moururent. Naturellement, l’oncle Créon devient le nouveau roi de Thèbes. Il déclare Polynice traitre ayant voulu exterminer le roi de Thèbes et que dès lors le corps de Polynice sera jeté hors des murs de Thèbes et il n’aura pas droits aux rites funéraires. Antigone se trouvait offensée par cette décision et de nuit alla, le plus discrètement possible, pratiquer les rites funéraires que selon elle Polynice avait également droit. Malgré ses précautions, elle fut surprise par des soldats de Créon. La sentence de ce dernier était de la condamner à mourir de faim enfermée dans l’obscurité d’une grotte.



Antigone était une femme courageuse qui était aimante et n’hésitait pas à exprimer ses idéaux. « Je ne suis pas née pour la haine mais pour l’amour. Mes frères, je les ai aimés tous les deux et je dois les mêmes honneurs à chacun.



Incontestablement, Antigone est une figure attachante.



J’ai trouvé de l’intérêt à également lire Antigone de Henri Bauchau.

Un sacrilège.

Numitor a été roi d’Albe la Longue durant dix-huit ans. Suite à une maladie, il fut contraint de céder le pouvoir à son frère Amulius qui ne demandait que ça.



Amulius depuis son trône annonce que Rhéa Silva, la fille de son frère est enceinte ce qui était considérer comme sacrilège étant donné que Rhéa Silvia était consacrée à la déesse Vesta. Elle ne pouvait pas avoir d’enfant. Est-elle réellement en faute puisqu’ elle, mortelle s’est unie au Dieu de la guerre Mars. Amulius ne veut pas d’un prétendant au trône dans la lignée de son frère. Or il apprend que sa nièce Rhéa Silvia à enfanté deux jumeaux. Il a ordonné à ses serfs de déposer le couffin avec les jumeaux dans les eaux tumultueuse du Tibre en crue. Le couffin se renverse sur le rivage, les enfants tombés dans la boue sont léchés par une louve. Les enfants-tètent les mamelles de la louve gorgée de lait.



Romulus et Rémus ont été recueilli par un berger et son épouse Acca Larentia. Celle-ci venait d’avoir un fils mort-né et avait ainsi du lait pour nourrir les jumeaux. Le couple pris toutes les précautions pour taire l’existence des enfants. Lorsque les enfants étaient adolescent le couple pris la résolution d’expliquer à Romulus qu’ils n’étaient pas les parents.



Une révélation

Rémus s’est bagarré avec des bergers de Numitor qui le lapidaient. S’enfuir, il n’en était pas question. Il optait pour l’adversité. Bien qu’un contre plusieurs, il lança à son tour des pierres et tua un berger de Numitor. Finalement, les serfs de Numitor lièrent les pignets de Rémus dans son dos et l’amenèrent auprès de Numitor. Ils voulurent que Rémus soit châtier pour la mort du berger. Romulus vola au secours de son frère. Face à Numitor, il expliqua toute l’histoire qu’il avait appris de la bouche de son père adoptif. Numitor appelait ses petits-fils à œuvrer pour lui contre Amulius. Romulus tua Amulius.



Naissance d’une ville

Romulus voulu installer une ville sur le mont palatin. Son idée avait le plein consentement de Numitor. Les jumeaux voulaient tous les deux fonder une ville et en être le roi. Contrariés, jaloux voulant tous les deux avoir l’ascendant, ils se disputaient. Romulus tua Rémus.



Nous sommes dans un schéma similaire à Antigone où Polynice et Etéocle se battaient pour avoir le pouvoir royal.



Autant, j’ai aimé Antigone autant je n’ai pas trouvé cette histoire attractive. L’auteure se perd dans une foule de détails qui n’apportent rien à l’histoire. Ces détails noient le fil conducteur.

Deux cadres contiennent les noms des dieux et personnages et permettent de resituer les uns par rapport aux autres. A mon humble avis, il manque une carte avec le Tibre et les monts et vallées qui entoure la Rome à venir. Quelques dessins permettent de se remémorer, en un coup d’œil, l’une ou l’autre étape de l’histoire.

Je continue (en pointillés), ma lecture de cette série pléthorique sur la mythologie nordique, empruntée à mon fils qui les a tous. :)

J'ai vraiment beaucoup aimé ce tome-ci, sans doute parce que je ne connaissais pas du tout les détails concernant ce personnage.



Je ne sais toujours pas dans quelle mesure ces détails, justement, sont inventés par les auteurs, car les parties "historiques" en fin de tome n'ont strictement rien à voir, et il n'y a pas de sources citées. Bref, sujet à caution, néanmoins j'ai bien apprécié ma lecture, car Heimdall est sans doute un des dieux nordiques les plus équilibrés et humanistes qui soit.



Les récits sur l'Histoire des vikings en fin de tomes sont par contre véridiques, forcément car ils sont écrits et bien mieux documentés que leur mythologie.

Ici on nous parle de comment la Normandie fut le plus étendu et le plus pérenne des royaumes vikings "conquis", grâce à Rollon (Rollo dans la série "Vikings") qui adopta toutes les coutumes locales et fut effectivement nommé "Duc"...



J'aime beaucoup cette série de bouquin, vraiment plaisante à lire.

C’est Jaén Sachez, un auteur espagnol, qui a écrit sa version de l’Odyssée d’Homère. Ce livre fait partie d’une collection axée sur la mythologie. Les auteurs varient, mais c’est généralement Juan Carlos Moreno qui rédige un appendice du mythe dans l’histoire des arts. Pour en avoir une idée, cette collection compte un certain nombre de titres. Il y a par exemple : La fondation de Rome ; Zeus et la conquête de l’Olympe ; La malédiction d’Œdipe ; La tragédie d’Antigone ; Les sept contre Thèbes ; … . Deux journalistes du journal « Le Monde » ont contribués à l’adaptation de la collection pour le marché français.



Pour l’avoir lu, je peux vous dire que l’on retrouve de nombreux passage de l’Odyssée d’Homère, qui est le cœur de l’histoire. L’histoire a été par l’auteur, joliment nappée, enrobée de belle phrases qui peuvent faire le bonheur des lecteurs. Un exemple : « Ulysse s’assit à côté d’elle, mangeant des yeux les aliments parfumés qu’elle avait déposés dans son assiette. Voyant qu’il ne les touchait pas, elle en prit un morceau, elle bu une gorgée à sa coupe, coupa le pain et le gouta aussi. Même ainsi, elle ne pu convaincre son invité qu’elle ne lui voulait aucun mal. […]. L’estomac d’Ulysse protestait en voyant la délectation que lui procurait cette nourriture, si bien qu’il ne put résister si longtemps et se mit à manger. Voici bien longtemps qu’il n’avait pas gouté un plat aussi délicieux, préparé avec autant de soin. Quand il bu le liquide à la fois doux et corsé, à la saveur aussi délicate que profonde, il sentit le courage revenir dans son cœur, la vigueur dans ses membres, et il lui sembla se réveiller d’un mauvais rêve. Jamais, il n’avait gouté à rien de semblable, cette boisson semblait celle des dieux. » C’est ainsi que l’auteur décrit l’accueil que fait la Nymphe Calypso à Ulysse.



Le livre est divisé en six chapitres. Le dernier met en scène l’approche d’Ithaque et dans quelles conditions Ulysse retrouvera les siens après plus de vingt ans, dix à Troie et une dizaine en mer.



La mer se souleva, les vents était violent, le bateau démâta, il était question pour avancer de ramer à contre-courant. Pourquoi tout cela ? Par ce que les dieux s’opposaient à eux. Ils n’avaient pas offert d’offrande aux dieux comme ils le devaient. Les mortels et les dieux contrarient Ulysse et les siens dans leur progression. Heureusement Ulysse est fort, courageux mais surtout rusé.



La progression d’Ulysse et les siens. Ils devaient contourner le Péloponnèse pour arriver à Ithaque, mais des vents contraires les amenaient en Lybie terre des lotaphages, c’est-à-dire des mangeurs de lotos, petites cerises, couleur safran en grappe. Malgré les injonctions d’Ulysse des membres de l’équipage en mangèrent suite à quoi, ils ne savaient plus où ils étaient et qui ils étaient.



Ulysse et ses bateaux reprirent la direction du nord et accostait à l’ouest de la Sicile. Là, Ulysse perdra encore une partie de ses marins, car le géant Cyclope les croquait pour assouvir sa faim. De retour à sa caverne, le Cyclope ferma l’entrée de celle-ci par un lourd rocher. C’est grâce à une ruse qu’Ulysse et les hommes qui n’ont pas fait le festin du Cyclope purent sortir de la caverne.



Au nord de la Sicile, le roi Eole, sur son île flottante accueilli Ulysse et les siens. Au bout d’un mois, Ulysse annonça à Eole son désir de partir et lui demanda de favoriser son retour. Ainsi le roi, remis une outre à Ulysse, spécifiant : « Fait-en un bon usage car les vents qu’elle contient sont très violent. Tu ne l’utiliseras qu’en cas de nécessité. Voila Ulysse et ses marins voguant vers l’étape suivante qu’il s’était fixé. Impatient d’arriver à bon port, Ulysse ne voulut confier le pilotage du navire à personne. Neuf jours durant, 24 heures sur 24, il tenait les cordages qui actionnait les voiles. Lorsqu’il vit l’île de Céphalonie, derrière elle, Ithaque n’était plus qu’à un jet de Pierre. Il accepta de céder les commandes du navire. Il voulut prendre du repos. A peine c’était-il endormi que ses hommes se lancèrent dans une violente dispute. Ils ouvrirent l’outre qui vomit un ouragan violent qui les propulsa dans les airs.



L’étape suivante était leur séjour chez la magicienne Circée qui transforma des marins d’Ulysse en cochons.



Ce n’est pas tout. Il se passa encore une foule d’évènements mauvais ; des entraves à leur progression et des situations d’enchantements sur des îles, des rencontres et des accueils de jolie jeunes-femmes. Je n’en dirais pas plus. Je laisse aux lecteurs le soin de découvrir la suite.



Plusieurs choses m’ont plu dans ce livre dont :

- Un encadré contenant les personnages regroupés suivant qu’ils sont Ithaquiens, dieux, mortels, ou ennemis.

- Une carte où est fléché la progression des navires d’Ulysse

- De beaux dessins qui permettent de fixer en son esprit des étapes du voyage.



Ce livre, agréablement présenté, m’a permis de faire la connaissance de certaines divinités grecques, du monde d’Hadès et du devin Tirésias. Il ne faut pas perdre courage, il y a encore beaucoup à apprendre sur la mythologie grecque.

Ce livre, adaptation moderne et en prose, d'une légende venu du fond des âges, est un texte important, à rapporcher de la vision des prophéties et de la supérioorité des sang purs dans Harry Potter, il est aussi à rapprocher des oeuvres de Tolkien, où se sont de petites gens qui permettent aux valeureux guerriers de vaincres, tels Frodo et Samgamegie dont tous les sacrifices et les luttes seront déterminant pour la prééservation de la terre du milieu....

Et oui... parce qu'on sait déjà depuis quelques volumes que la prophétie de la destruction des dieux, le Ragnanok, a avoir avec Loki... mais là, dans ce volume, on comprend enfin la complexité de la situation... Loki, peut aimé à cause de son origine, commence à comprendre que si une partie de son ascendance, dont la mère est une Walkirie recueille l'admiration de tous, trois de ses enfants, avec une mère moins prestigieuse attirent la haine et le mépris des dieux.... Et son emprisonné pour punir Loki d'une de ses provocations...

Et tous sentent qu'un des fils d'Odin va mourir... on le voit, c'est par la destruction de Balder que tout va commencer... alors Odin enquête, Frigg recueille des serment d'allégence pour ne pas toucher à Blader... Alors quel être insinignifiant a-t-on néglgé? Pourquoi le prétexte des origines des enfants de Loki tournera au cauchemard? Est ce que finallement, la prophétie aurait mal été interrprété par tous, semant plus la haine et e mépris, finalement, au lieu de trouver une solution? Les vrais amateurs de fantasy n'auront pas besoin de lire les autres volumes pour se passionner sur cette partie des légendes norddiques, tellement des sujets traités abondamment de façons souvent très différentes d'un livre à l'autre sont ici traité.... Un petit tour au origine de la littérature fantasy ravira les plus grandd fans, avec une présentation des éditions RBA toujoours impécable, donnant un petit côté ancien : pages jaunies et impression de couverture donnanat l'illusion de cuir en relief teinté de rouge et d'or, de belles gravures d'illustration, expliqués après le conte, une rapide généalogie et une présentation rapide de quelques personnages, en début d'ouvrage, et quelques pages sur les données archéologiques des funérrailles viking, un sujet historique très en lien avec le conte naré dans ce volume... POur tous les passionnés de Fantasy, même jeunes, et ceux qui veulent débuter dans la connaissance des légendes nordiques.... Très acccessible....

Odin jout-il avec le feu? Il déchiffre toutes les runes, et les comprend si bien... mais finalement saura-t-il les utiliser avec sagesse... lui qui a déjà sacrifé une amitié pour voir au de là de tout obstacle? Odin a agrandi son pouvoir de vision sur la création... et acqui le dangeureux pouuvoir des Runes malgrés de nobreux avertissement... mais pour le moment... c'est autre chose qui tracasse Odin... il faut récupérer le pouvoir perdu de l'élocance, de la poésie comme ils l'appellent... aux pays des géans... grace à une métamorphose, Odin essaie de ramener un pouvoir qui n'aurait jamais du quiter les dieux.... le pouvoir de convaincre... autrefois dans un dieux.. maintenant dans un nectar...

Et lors de ce long périple, il est question de vengence, mais est-ce vraiment cela? Ou bien plutôt une question de quête de pouvoir? En tout qu'a il va y avoir le réveil d'une rivalité fraternelle... Alors comment cela va finir?

Le volume peut être lu indépendamment des autres et est une fois de plus un réécit qui nous parle avec finesse de ce qui motive les actes, et de magie mal utilisé... Il est question de pouvoir de création et du povoir de convaincre... alors quoi d'étonant si dans ce livre vert à l'impression ressemblant à du cuir sculté finement doré, RBA nous mette à la fin 10 pages sur l'art viking... un sujet de plus sur lequel nous avons ce que les scientifiques en savent résumé en 10 pages... une fois de plus, une histoire très interressante de la mythologie nordique agréablement préésentée....

Si j'ai commencé à m'intéresser un peu au légende nordique à cause de Tolkien, je ne connaissais le nom de Ragnar que grâce à un film hollywoodien à succès qui ne montre les Vikings que sous un aspect caricatural de pilleurs sanguinaires...

Et là dans ce petit volume qui retrace le début de la saga du héro Ragnar... On en apprend un peu plus... l'auteur a utilisé comme les autres volumes les découvertes archéologiques pour moderniser l'histoire... mettant des détails que n'auraient pas oser mettre les écrivains de l'époque... puisque pour les populations qu'ils côtoyaient... ces choses, ils y étaient confronté tous les jours... C'est comme cela qu'une culture s'appauvrit... et que l'on ne revient plus sur les savoirs anciens dans les sciences modernes, pire... on est bien injuste avec nos ancêtres... les traitant d'ignares... alors qu'ils avaient d'autres savoirs... laissé tombé dans les écrits... soit parce que la tradition orale les as laissée de côté au fur et à mesure de la transformation de l'histoire... oubliant des pratiques autrefois évidentes... soit parce qu'on a trouver inutile tout bonnement d'en parler...

Mais ce n'est pas à Tolkien que je pense quand je lis ces lignes... même si on est peut être proche ici... de la magie des Elfes qui venaient de sciences différentes des sciences modernes et oublié par le fond des âges... non ! Et même si des choses on été oublié à cause de l'engloutissement de l'île de la lignée des rois de Numénor (lire contes et légendes inachevés), en lisant le livre on plus à Harry Potter, plus particulièrement au dangereux tournoi auxquels il participe bien malgré lui... car si Ragnar est volontaire dans un défi lancé... dans Harry Potter, Ragnar est divisé en deux personnages, un Ron jaloux de ne pas participer au tournoi, un peu inconscient du danger... et un Harry Potter, aidé (et il faut lire jusqu'à la fin pour bien comprendre le mobile de cette aide!) que l'on pousse à se protéger, à prendre du sommeil, à qui on donne des tuyaux, à qui l'on dit quel est ton meilleur a tout et comment l'utilisé... ce Ragnar, qui concours pour la gloire, la richesse et la main d'une princesse en détresse... et bien oui, même si les mobiles de Ragnar ne sont pas les mêmes que notre sorcier orphelin, il faut bien le dire... les aides qu'ils reçoivent l'un et l'autre se ressemble beaucoup... à la coupe de feu et son tournoi des trois sorciers...

Et si le raid du début nous en apprend beaucoup sur le côté association mercantile des raids Vikings, une sorte d'investissement commerciale de chacun des participants et le partage du produit du Raid est un peu expliqué, levant le voile sur une société viking bien plus complexe qu'on nous le décrit à Hollywood... il y a dans cette histoire, les prémices de la princesse à secourir du dragon des comptes traditionnels qui ont été modernisés pour les enfants par un dessin animé satyrique : Shrek! D'autant plus, que quand on s'intéresse un peu à des textes qui décrypte Tolkien, on sait que les mots vers et serpent décrivent aussi bien un dragon qu'un serpent... et que ce serpent sur un or qui s'accumule, protégeant jalousement une princesse... pourrait donc bien être un Dragons...

Même si cette version est plus moderne, elle tient compte des découvertes archéologiques... et peu nous aidé à comprendre ce qui a été vraisemblablement oublié par le temps, soit en un temps où c'était trop évident, soit par ignorance...

Dans ce volume, il y a un minimum de généalogie, une carte simple pour mieux comprendre les interactions entre les peuples Viking, ainsi qu'une courte description des personnages, avant le récit, et après le récit... mais aussi 10 petites pages pour expliquer la hiérarchie de la société viking... à la fin de l'ouvrage... Ce livre peut être lu par un adolescent... que le côté romanesque du récit ravira... sans tomber dans les clichés... Vraiment un beau cadeau des éditions RBA... mêlant légende et instruction en prenant du plaisir... un côté ludique, une invitation à s'instruire intelligente avec toujours une couverture, une présentation élégante et rappelant les origines de l'ouvrage....

Il parcourait un énième couloir, bordé de longues files de torches enchâssées dans les appliques en or, et le visage de Brunhild ne cessait de lui apparaître, tel qu'il avait pu l'admirer pour la première fois. La préésence de Siegfried avait brisé le sortilège qui plongeait la femme dans un long sommeil, et celle-ci avait ensuite éveillé une puissance insouçonnée qui someillait dans son coeur. Lui qui avait vaincu le féroce Lingvi luis qui avait terrassé le redoutable Fafnir, il tremblait lorsqu'il frolait les douces mains de Brunhild ou quand il s'extasiait devant sa chevelure, une cascade de boucles sauvages et dorées comme les flammes d'un dragon.

J'ai trouvé cet opus très inintéressant, très barbant voire consternant, sauf le dernier chapitre "le mythe à travers l'histoire". Sur ce dernier sujet, il faut quand même plutôt conseiller Paul Veyne (Les Grecs ont-ils cru à leurs mythes ?).

Autant dire que même si j'étais très nigaud, je n'achèterais pas à prix d'or les prochains numéros !!!

Si le serpent de la saga de Ragnar nous fait pensé à Harry Potter et la coupe de feu (recueillit( avec amour comme lle dragon de Hagrid, et revenu dangereux, Ragnar est aidé de la même façon que Harry Potter, même si pour Ragnar, c'est bel et bien de son propre chef qu'il combat le dragon.. pour la gloire, la richesse... et une épouse!), le dragon que combat Beowulf est typique de celui que l'on voit dans Le Hobbit... et même pur combattre le dragon des enfants de Hutin, le héro utilise la ruse... mais c'est le seule lien avec Beowulf... alors que les liens du drame qui se passe à Erebor son multiple... Un jeune naïf , appartenant à la famille la plus pauvre du village... au passé de coureur de jupon, c'est épris de la fille du chef.... mésalliance qiue me père n'accepte pas comme dans Beren et Luthien... les deux jeunes gens s'aiment... mais Beren, pourtant fils d'un valeureux combattant n'est qu'un humain... et Luthien est une Elfe... Nous voyons dans Beowulf une sorcière demi Elfe et demi humain... sans doute que c'est ce qui a inspiré Tolkien pour les quelques femmes Elfes qui épousent un humain... dont Luthien est la première...

Mais revenons au Hobbit... car comme dans Beowulf.. le dragon est venu à cause d'une dispute dans un ancien peuple disparue... qui n'est pas sans rappelé ce qui est arrivé à Erebor... et d'une bataille qui n'est pas sans rappelé la bataille des 5 armées... même si elle a lieu à un autre moment de l'histoire... comme dans Beowulf, dans le Hobbit une bataille semble sur le point de se dérouler autour d'un trésor avec des buts soit louables, soit très égoïstes Le réveil du dragon et sa vengeance sur le village est la même, il y a la même dévalorisation du jeune qui découvre le trésor avec un personnage puissant qui prend sa décence comme notre Hobbit perdu dans ses évènements... mené par les autres... ce demandant quels dangers il va affronté surtout à la lecture du contrat... ce n'est pas la même histoire que Tolkien a réécrit... mais se spécialiste de Beowulf, c'est clair a disséminé quelques passage de la fin de l'histoire de Beowulf en remodelant le tout pour en faire une autre histoire pourtant très cohérente... il est clair... quand on sait l'importance que Tolkien vouait à ce texte... qu'il étudiait en Noroit... les ressemblances par-ci par-là sautent a yeux... Avec un Beowulf, qui finalement à bien du mal a gérer les évènement... c'est un vieux Jarl... comme celui qui décoche la flèche dans les Dragon à dans le Hobbit...

Et c'est tout l'art de grands écrivains comme Tolkien et J.K. Rowing, qui lisent beaucoup... de réécrire déformer les histoires qu'Is aiment pour en faire une nouvelle... Bref, quand on aime la Terre du Milieu, on aime Beowulf, au moins dans une version moderne en prose... Et la magie Seidr, peut contrôlable, où l'on peu regarder mais être vue sans le vouloir... n'est pas sans rappeler les pierre de vision de la Terre du milieu... alors oui... lire une version moderne de Beowulf en prose... vue que ce n'est pas la même histoire cela vau le coup quand on aime le genre Fantasy...

Je n'ai malheureusement pas pu avoir le volume 1 , mais la saga de Beowulf s'étant tellement rependu dans l'Angleterre...et bien c''est surtout de l'Angleterre que l'on parle à la fin de l'histoire dans ce volume... avec la conquête de descendant de Viking les Normands.... des Vikings qui n'en sont plus... comme Beowulf qui parle d'une époque révolue en évoquant sa jeunesse...

Bien sûr il y a toujours une carte succincte, une petit généalogie, et les descriptions de quelques personnages et quelques illustrations;.. Encore un volume dont la lecture est difficile à lâcher avant la fin... Merci aux Edition RBA...

C'est le deuxième volet de la Saga de Ragnar, et même si les deux volumes peuvent être lus de façon indépendante, il vaux mieux les lires dans l'ordre...A lire avant de continuer à lire cette critique : Ragnar contre le serpent géant...



Et ce n'est pas que la succession de revers et de succès... dont le plan de base est parfaitement illustré par les volets IV à VI de la guerre des étoiles : chap IV succès de destruction de l'étoile noire (volet lui même composé d'une séries d'aléas imprévisibles et de petits succès comme la fuite des drones, ou les principaux personnages emprisonnés dans l'Etoile noire... entrecoupé par la fuite d'Endor! ) Chapitre V finissant avec la captivité de Ian Solo... pour au chapitre VI obtenir la victoire totale et la rédemption d'Anakin ....

Cependant oui, on le voit, dans les détails, c'est un peux plus complexe... et dans la Saga de Ragnar... et bien parfois deug échecs ou accident de vie... peuvent se succédé l'un à la fin du premier volet, juste après une fulgurante ascension, et le début du deuxième volet... le plan peut donc être perturbé, rendu plus aléatoire avec de petits évènements ou des revers ou succès tout aussi important pour que le lecteur... ne soit pas si sûre d'obtenir des Happy End;.. Happy End qui ne sont pas au rendez vous en fin de vie... et donc oui... il y a des possibilités de déchéances dans les Sagas parlant d'un autres âges, qui ne nous gênent pas dans Tolkien... si nous connaissons la fin très positive du Seigneur des Anneaux... fin qui ouvre sur une évolution bénéfique possible du monde après tant de malheur... une société peut être amélioré... Donc le drame des Enfants de Hurin, pour citer le plus effroyable dans Tolkien, finalement ne nus gêne pas... car la malédiction de tout une vie empêchant toute solution n'est pas récurent chez lui...

Il y a possibilité de rédemption... pour peut, ici aussi que les sorcières nous aident à faire les bons choix...

Et si les personnages sentent parfois la menacent sans ne pouvoir rien faire (cas de Ragnar à la fin du premier volet!) si l'auteur (multiple ou solitaire) n'en fait pas une habitude démoralisante... et bien... la fin sinistre de quelques personnages peut permettre plus de suspens dans es Happy End... nous devrions dire d'ailleurs les fins heureuses... c'est frappant comme sans nous en rendre compte on se laisse souvent à beaucoup plus d'anglicisme que nécessaire...

Car si l'attente tragique lors du premier volet d'un malheur que Ragnar vit dans une impuissance angoissante, ne vivant pas comme un asiatique... à quoi bien s'inquiéter quand on ne peut pas agir, surtout quand on ne sait pas ce qui va nous tomber dessus??? dans l'action survient parfois un échec que, bien que dans l'ordre des possibles on n'attendait pas... et c'est ce qui arrive... au début de ce second volet.. Mais ce n'est pas le seul intérêt de ce volume...

En effet la rivalité entre les deux frères, ressemblant beaucoup à celle entre Boromir et Faramir dans le Seigneur des Anneaux : un des deux frères couvert d'honneur, l'autre dénigré (Faramir ou bien juste sous estimé (Svend) malgré une forte entraide entre deux frères... quelque chose de paradoxal... non Tolkien n'a pas écrit quelque chose de manichéen, si l'on regarde cet aspect... comme l'aspect de l'égarement de certains de ses personnages tentés par l'Anneau qui en ressortent soit vainqueur (une Elfe tenté par Frodo qui lui offre l'anneau), soit perdant (Boromir, l'Intendant), ou bien refusent carrément la tentation (Aragorn / Gandalf/ Faramir).

Ici pas vraiment de tentation, mais on pourrait le dire, une relation entre deux frères complexes, dans un monde où l'on peut dévaler de son statu social (marqué pour le premier volet par un roi devenu esclave à peine cité . Et là, sur le côté déchéance et ascension sociale fulgurante, on est servi... grâce à un curieux personnage, une orpheline dont personne ne sait l'origine caché ( un peu comme l'enfant perdu car échanger du Titanic dans les animaux Fantastiques, mais qui est-il ?) une orpheline, dont on sait qu'elle doit taire sa haute naissance, qui pourtant n'échappe pas à certains par son attitude... et dont l'avenir semblant précaire... vivant comme une esclave, telle une Cendrions, chez le couple de vieux qui l'a adopter... pourraient radicalement changer... Et si Croyance ignore son origine, Harry Potter la connait, comme en est informé Kraka... mais elle, tait sa précieuse origine... et Frodo, élevé par un oncle bienveillant... ne connait pas les mêmes embuche que ces deux derniers... On le voit, n'en déplaise à certains, le destin d'un orphelin peut être dans les sagas vikings comme dans la Fantasy extrêmement variable... celon l'histoire général... Rien que dans la Guerre des Etoiles le destin de chacun des deux jumeaux est bien différents, ll'un connaissant les palais, l'autre, le dure destin de la vie de fermier sur une planète aride.... et c'est une société viking de tous les possibles, non figée, avec un statu sans cesse en mouvement au gré des accidents de vie et des faits d'armes (pillages, acquisition de territoire dominés ) , une société qui a bien plus en commun avec nos sociétés modernes qu'on ne veux l'admettre... même si la guerre est plus souvent commerciale, et si on divorce parfois pour un mari avec une situation pus stable au lieu de quitté le perdant d'une bataille pour un gagnant... Oui... si des choses ont changés... à la lecture de cette saga... on se dit peut être qu'en apparence finalement... même si on peut observer de meilleurs conditions de vies dans certains pays mais pas dans tous... Dans le fond, la question revient souvent... avons nous tant évolué que cela malgré notre technologie... et n'est-il pas tend de redéfinir ce qui est le plus important dans nos sociétés modernes...

Une saga très intéressante, bien plus en nuance qu'on ne pourrait si attendre que nous offre RBA... magnifiquement présentés dans une couverture qui sent un peu l'ancien, avec ce bout d'arbre généalogique, une carte simple, des descriptions rapides de personnages et de quelques illustrations... et les 10 dernières pages sont consacrées aux poèmes épiques que sont les scaldes... que peut être un jour le lecteur sera après tenté de lire traduites, ou en Norois... Bref encore un volume qui nous éclaire sur le sujet, mais de façon moderne et simple...

Ouf, je n'ai pas pu avoir la première partie de la légende de Beowulf, et c'est bien dommage parce que Tolkien s'en est fortement inspiré pour l'arrivée d'une partie de l'ex - communauté de l'anneau en pays du Rohan.... Cependant on ne puut s'interroger s'il n'y a pas d'autres influences sur Tolkien, un spécialiste justement de la version de Beowulf (la littérature anglaise a été fortement inspiré côté celte en même temps que notre Bretagne par les légendes arthuriennes, et côté légendes nordiques par les versions anglaises de Siegfried ( Siegurd et Gundrun) et de Beowulf et bien quand on lit ce deuxième volume version en prose plus moderne, on ne peut que s'interroger, si la suite du récit, après la mort de Grendel ne l'a pas aussi inspiré.... car à l'image de Gandalf et Grand pas....Beowulf voit la reconnaissance du peuple pour sa réussite mais ce voit la même opposition que rencontre la communauté de l'anneau quand elle s'inquiète de voit le Roi du Rohan vouloir aller a Gouffre de Helm.... On y décrit aussi des yeux qui suivent Beowulf et ses compagnons dans les marais, comme le grand œil et ses espions, ainsi que Gollum espionnent la communauté de l'anneau.... on y ressent la même atmosphère à la fois d'échange dans les réunions, à savoir que chacun s'exprime.... mais Beowulf ou Grand pas.... n'ont pas le droit de prendre un combat dont la vengeance ou bien la responsabilité revient aux habitants des lieux.... et pourtant c'est bien un des membres de l'ex communauté de l'anneau, égaré qui va fournir le renseignement militaire déterminant pour comprendre la réelle situation bien plus dangereuse que ne le pense le roi du Rohan.... Et oui, ici aussi, la situation est périlleuse, on va sur le terrain soit d'un Grendel qui a réussit à survivre, soit de quelque chose de plus terrifiant. dans des marrais boisés, qui rappel la forêt où l'on a peur parce que la magie des arbres ou bien des Elfes fait perdre tout contrôle à ceux qui s'aventure dans ces lieux dangereux mais aussi parce que des renforts sont cherchés par certains membres de la communauté de l'anneau... ou espéré grâce aux relations d'un des membres de la communauté de l'anneau.... comme si dans le seigneur des anneaux.... Beowulf se déployait en plusieurs personnages... ce n'est que ma vision... mais pourtant c'est ce que je ressens à cette lecture... un livre terrifiant.... la légende de Beowulf fait écho aux passages les plus noirs du seigneurs des anneaux.... Des marais qui rappellent aussi les marais non boisés que traversent Frodo et Sam Gamegie avec l'aide de Gollum... alors que caque pas peut ensevelir l'un d'entre eux à tout moment attiré par les morts... qui ont tout de la sirène nordique.... même si le monstre est d'une toute autre nature.... dans ce second volet de Beowulf... on est dans les marais où un monstre quel qu'il soit .... peut se faire refermer le marais sur chacun des compagnons de Beowulf.... On est frappé par la même atmosphère même si l'histoire de Tolkien est pourtant très différente..... Et l'on y parle des femmes utilisées par mariage pour les jeux d'alliances... pas toujours en leur demandant leur avis.... pas étonnant que certaines mères ne soient pas idylliques dans ce livre, même voulant venger leur rejeton... on y parle de l'amour maternelle d'un monstre... et du silence des femmes... seuls à ne pas s'exprimer.... un peu comme Eowyne qui doit agir dans l'ombre pour être une Walkyrie sur les lieux du combat... qu'on essai de soumettre à un rôle qui n'est pas le sien.... c'est que dans les légendes nordiques, il est plus facile à une déesse ou à une combattante hors norme pour une femme de s'imposer.... qu'à une fille de roi ou une femme considérée comme simple mortelle... il faut être exceptionnelle comme personnage féminin pour imposé son rôle.... Attention aux enfants sensibles, mais par contre.... un ado qui supporte très bien les parties les plus sombres de Harry Potter (les Reliques de la mort notamment) ou des livres de Tolkien y trouvera sans doute sont compte.... Et bien sûr toujours une carte, car là on est dans les légendes humaines, on peut se repérer géographiquement et dans l'histoire, même si c'est un peu flou, la description rapide de quelques personnages ainsi que des quelques illustrations, et quoi de plus logique, Beowulf ayant fortement séduit l'Angleterre comme histoire, dans les 10 dernières pages, l'évolution de l'Angleterre d'abord celtique, puis romaine, puis saxonne...

Evidemment je regrette vraiment de n'avoir pas le premier tome de l'histoire, partie la plus reconnue comme ayant influencée vraiment Tolkien.... Mais au 36 e volume sortie après celui ci j'en ai

35 même si je suis encore en retard sur mes lectures.... et pourtant, je voudrais bien avoir la série entière, comme quelques volumes de plus d'Apprendre à philosopher, ou du National Géographique, toujours chez RBA, voir leur version du Monde Perdu de Conan Doyle dans leur série Fantastique.... peut être pour plus tard.... Mais j'attend toujours que l'on reçoive ma commande d'un ivre de Tibétain pour débutant pourtant amélioré et ressorti il y a 3 semaines qui serait déjà en rupture de stock un peu de patience peut être mais toujours dans l'incertitude... et pas seulement qu'avec les éditions RBA... hélas....

Malgré la joie que j'ai d'avoir ce volume merveilleux, une petite déception : je n'ai pu avoir le premier volume de la saga de Beowulf, et c'est bien dommage, car le grand Tolkien était un spécialiste de ce mythe.... S'il vous plait, RBA, pansez à vos lecteurs assidus de Vendée.... envoyé avec un autre envoi.... le Beowulf, car quandd on aime Tolkien on ne voudrait passé à côté ni de Siegfried ni de Beowulf... il y a eut une interuptioon d''une semaine.... comme le crains de ne pas avoir non plus un volume de natioonale géographique sur XI'an (tombe du premier empereur) ou de la cité interdite.... moi qui suis passionnée entre autre par la Chine cela manque dans ma bibliothèque... Merci....



Et là nous avons un volume qui démare fort... un cris strident retenti.... que s'est-il passé??? C'est que Balder, se reillveille avec de terrifiants spasme.... et un beau matin à l'aube pousse des cris que réveillent tout le monde dans son palais.... Et oui... si vous connaisser un peu la légende comme moi par des reportges vous save ce qui se passe... d'autant plus que ce n'est pas le premier volume qui parle de légende de Blader.... il faudra ilire le précedent volume qui le concerne... pour avoir une petite idée de ce qui se passe....



Un livre qui parle d'amour filial et d'amour maternel, entre une mère et son fils, dont la femme de celui-ci a pris la résoluution de ne pas prendre ombrage,... car Frigg est la déesse aimée de tous les dieux.... la déeese notamment du mariage.... dont tous apprécient les qualités... Et ni la mère ni la femme ne peuvent appaisser ses angoisses nocturne.... Pourtant elles font tous ce qu'elles peuvent... Mais personne ne sait d'où vient ce mâle obscure.... c''est donc un volume qui peut être lu isolément... même s'il y a un indice de ce qui se passe dans un autre volume.... La famille se ressère autouur de la souffrance pour faire front....

Et ce n'est pas la seule chose qui est décrite sur ce volume très accès sur le rôle de conseillères et de soins des femmes.... car on y voit Frigg filer la laine, des descriptions qui nous fond penser à un peu comment vivaient les Vikings, ainsi que le culte à la Lune... une autre magie.... Rien d'étonnant donc que RBA est choisit ce magnifique volume bleu à la couverture imitant le cuir sculté, et aux pages jaunies pour qu'après les descriptions des illustrations, pour nous parler de la ccréation des villes Viing 10 pages historiques, qui cadre bien avec une histoire qui nous imerge tellement dans un déchirement familliale.... et bien sûr des rebondissements dans ces 100 pages enviroons....

Tyr le fils progique revient à l'appel de sa mère... la mère Frigg.... encore l'amour filial et maternel.... OUi, un des volume où la femme est très présente et l'on ne s'étonne pas que Tolkien est placer certaines femmes dans ses romans au coueur de l'action.... même si eelles sont que peut au combat.... même quand sans amour.... elles sont tenté telle une wlairie de combatre au côté des hommes.... Car oui... ce qui surprend pour des livres aussi vieux.... que ce soit dans la mythologie nordique, les Sherlock Holmes et les sagas de la Terre du milieu.... c'est la place qui est consacrée au femmes très modernes pour l'époque.... même si elles ne sont que rarement indépendantes.... Alors oui.... surtout maintenant, où l'on ne sait plus sur quel pied danser, où l'oon ne sait plus quel doit être le rôle de la feemme et de l'homme il est iportant de voir qu'il n'y a pas finalement du féminisme uniquement dans les écrivains modernes que l'on peut voir l'impact qu'on les femmes ( le Disièmes royaume et la saga Dark Matérial, /A la Croisée des Mondes), mais aussi de le lecture du XIX ou début du XXè siècle.... et qui replace la femme dans une position.... où oui, ce n'est pas quandd faisant des métiers d'homme qu'elle peut s'afirmer... mais aussi dans des métiers où l'action est possible et nombres d femmes l'on prouvés dans l'histoire (voir mon quizz sur les femmes qui ont changer le monde....)... Alors oui... je pense que bien des femmes pourront apprécier le volume... car si elles veulent être libres d'étudié (pendant longtemps, à cause du naisme, les études de médecins étaient interddites au femmes, le doctorat n'était pas accorder aus femmes en grandes Bretagne : il y a des alusions dans une aventure d'Hercule Poirot et l'excellant film Imitatioon Game qu'il ne parle pas que des apriori et de la cuauté infligés au hommosexuels, mais aussi de la condition féminine dans les années 40 en Angleterre...) OUi, redécouvront notre féminité, et comment chaque femme, pas forcément en prenant les armes (bien qu'il y ait eut d'excellant pilotes de chasses femmes, et d'excellantes femmes tireurs d'élites dans l'armées sooviétiques, le problème n'est pas là) donne= peut trouver sa place dans la société moderne pour peu qu'elle s'écoute au fond d'elle même et qu'on lui en laisse la chance... ce qui n'est pas gagné pour toutes....

Odin ne voit aucun signe du Ragnarok, la fin des temps Viking, le Crépuscule de Dieu... et pourtant... Il le sait... cela va se dérouler... et effectivement.. nous n'avons pas à attendre beaucoup pour voir le début de la prophétie se réaliser... mais à l'origine de tout cela... il y a une famille maudite... Loki, maudit de par sa naissance, ne cesse de vouloir par la ruse obtenir de la gloire... qui pourrait le mettre à l'égal des autres dieux... et par orgueil... il commet bien des bévues... qu'il n'arrive pas souvent à réparer totalement... malgré sa ruse... et ses enfants déjà maudit ( surtout les trois illigitimes) vont tous subir le sort des enfants de traitre... surtout que les deux enfants légitimes sont peut être un peu trop dans la fidélité filiale... Alors oui... dès le début de ce volume... qu'elle soit légitime ou non toute la progéniture de Loki est maintenant maudite... et entre eux... ils vont s'associer démarrant la prophétie du Ragnarok... C'est le tome des destins inéluctables de tous les enfants maudits... et même si leurs père est maudit parce que lui est un héro trop dangeureux pour les forces de mal dans les Enfants de Hurin de Tolkien... avec un inceste qu'ils ne peuvent éviter... comme le Roi Arthur dans les légendes des chevaliers de la Table Ronde, malgré Merlin qui l'arrache à son père pour l'élever loin d'un père qui à pêcher en trompant une femme en prenant l'apparence de son mari... dont Arthur est le fruit... et oui... Arthur lui aussi est maudit dès la naissance... comme certains dieux d'Asgard.. et rien de ce qu'il poura faire... malgré une grande gloire qui sera effémère ne pourra empêcher que le fruit d'une liason coupable le mène à sa pertes... Et vosu croyez que cela s'arrête là? Et bien non, regarder dans Harry Potter, il y a plusieurs personnages qui sont maudits quoiqu'ils fassent... ils seront en dehors de la société : le Pr Lupin... Sirius Black... et dans l'amour filiale des enfants légitimes de Loki... qui voit -on ? Et bien cela raisonne avec Drago Malfoy... Alors bien sûr... il faut aimer les histoires maudites... mais quand on le remet dans le contexte général, que l'on sait que d'autres enfants maudits vont s'en sortir, par exemple Grand pas... qui camoufle ses origines en jouant les maurodeurs... alors qu'il a peur de son héritage qui pourtant en fait un héritier du trône... surtout quand la fin permet l'avènement d'un monde nouveau, plus serin... comme c'est le cas du seigneur des Anneaux, la fin des Elfes... mais la terre du Milieu est sauvé et sous la direction des hommes... oui, cette tragédie à quelques choses de grand... quand cela se remet dans un context plus grand.... C'est le destin des cinq enfants de Loki d'être sacrifié.... justement parce que ce sont ses enfants... Et RBA nous offre là encore un beau récit... COmme dans les autres volumes, au début nous avons une rapide description des principaux personnages du volume, et après le récit une courte description des illustration... et il y a 10 pages plus sérieuse, sur le monde Viking...10 pages sur Loki le malfaisant, celui par qui le malheur arrive... et le tout dans une couverture vitange avec une impression immitant le cuir... quelque chose qu'avait déjà fait Rustica pour le grimoire des sorcières d'Erica Lais, avec l'intérieur qui imite vraiment la présentation des vieux grimoires. Quand au Livre des Simples de la même édition, il est présenté de façon plus enluminure...à l'extérieur et à l'intérieur, comme un vieux livre d'herboristerie sur les plantes médicinales... de quoi rêver aux anciens herboristes... Oui... quelques éditeurs, RBA et sur moins d'ouvrages, d'autres éditeurs, font de sérieux efforts pour nous faire rentrer dans le sujet déjà dans la présentation....

Des sujets pourtant plutôt modernes sont utilisé dans cette histoire.... l'éducation et les parents qui n'arrivent pas à remplir leur rôle....

Si du côté de Ragnar, c'est une grave dépression suite à la mort des deux fils de sa première femme qui est la cause du problème, laissant ses fils du second lit se couvrir d'honneur en vengeant la mort de leurs demi-frères, avec la création de légendes à leur gloire... pendant que la dépression diminue le prestige de leur père... en Francie, en France, le problème est tout autre... en plein début de rivalité franco-anglaise vue par les Vikings, un roi des Francs mérovingien organise un mariage voué à l'échec pour une question d'alliance auquel s'oppose sa nièce.... les questions de la difficulté de gérer les affaires familiales avec la gestion du pouvoir est ici mis au premier plan, dès le début du livre... et si la question des mariages arrangés est un vieux thème, on ne s'attendait pas à entendre parler de rivalité franco-anglaise, ni même de fils de jarl qui ne se comportent pas honorablement... mais il faut dire, que si la nièce du roi des Francs ne veux pas son mariage, c'est à cause d'une réputation désastreuse de son futur époux angles.... il y a donc des points communs entre les deux histoires...

On s'étonne aussi de l'image du roi des Francs, plus proche d'une image d'Epinal de Saint Louis, pour nous autres Français, de la vision négative du roi des Angles, Ella, inspiré du roi historique anglais Aella....

Et quand on s'informe sur ce roi du Sussex sur wickipédia :https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%86lle_(roi_du_Sussex)#:~:text=%C3%86lle%2C%20Aelle%20ou%20Elle%20aurait,peut%20%C3%AAtre%20affirm%C3%A9e%20avec%20certitude. on se rend compte que ce roi ayant débarqué dans le Sussex aurait obtenu sa couronne les armes à la main... mais il semble qu'en fait, on ne peut, comme pour le roi Arthur, vraiment distinguer le vrai du faux dans cette histoire... un roi belliqueux mal vu dans les sagas...

Et là l'auteur est ingénieux, il met en garde contre les légendes chanté par les Scaldes... qui ne disent pas toujours la vérité... lorsque Ragnar réunit le conseil pour imposé soudainement son autorité.... que ses fils seront ou obligés d'acceptés ou d'être bannis à vie des terres de leur père... et là s'organise une grande expédition... et on s'en doute déjà vue le contexte historique, il va être question de comment Paris à échappé de peu à l'invasion Viking, évènement qui fait que les petits Français apprennent vite qui était le comte Eudes, un moine de saint-Germain va raconter l'histoire... et à la fin du volume, on a 10 pages historiques qui nous raconte le siège de Paris vue par les Français.... un curieux volume passionnant mêlant histoire de France et légende nordique... et on se demande comment les Vikings en sont venues à créer un roi des Francs légendaires qui nous fait plus penser à l'un des plus pieux des rois français qu'à un roi mérovingien... d'où cela peut bien provenir... alors merci aux Editions RBA... car cette divergences quand à la vision de celui qui dirigeait Paris... on envie de découvrir comment cela s'est produit... oui... comme des Scaldes sur Beowulf et sur Siegfried on enthousiasmé un Tolkien; on se demande mais quelle influence pourrait avoir ce volume sur nos adolescents, où il est question d'éducation, de démêler le vrai du faux, et de savoir comment gérer éducation des enfants, mariages d'intérêts, et pourvoir.... Un volume très formateur et passionnant pour les jeunes.... un volume qui nous enthousiasme pour accepter d'autres visions de notre histoire de France....

Cet parti de l'histoire de Beowulf, 3 partie de la légende, est la partie qui se mélange à la réalité historique, et permettrait de dater la période où Beowulf aurait exister...

Une période où il fait la guerre à des humains de chair et d'os, et pas une période où il chasse des monstres... Son nom est connu, dans cette partie de l'histoire, en temps que chasseur de monstre dans tout le monde nordique... et même chez les Saliens... et là... ceux qui ont lu les Rois Maudits de Maurice Druon... tendent l'oreille... oui.. le milieu nordique rencontre les Francs... c'est sans doute le même peuple qui a donné la fameuse loi salique... utilisée pour écarter une princesse à l'origine douteuse, suite à l'affaire de la Tour de Nesle, la femme de l'héritier de France à tromper son mari... une terrible décision qui a finit d'écarter du trône de France toute femme fille de rois...

Mais revenons à l'histoire qui nous occupe. C'est une histoire de renversement des alliances, qui donne lieu à des infiltrés, des doubles jeux... car dans ce type d'association.. il est difficile entre anciens ennemis de savoir qui est sincère et qui joue un double jeu... Sujet que l'on retrouvera dans les Harry Potter et les Animaux Fantastiques de façon récurrente... je ne sais si c''est la source d'inspiration principale des livres de J.K. Rowling, mais l'autrice est anglaise, elle n'ignore pas c'est certain, cette légende venant d'un pays qui a été fortement influencé de façon littéraire par la légende de Beowulf... Même si pour nous Français, fortement influencé par notre lien historique avec l'Angleterre, cela fait partie des choses que nous commençons, pour la plupart à découvrir...

Mais il faut réalisé, que bien sûr cette partie de l'histoire a fortement influencé Tolkien qui en était un des spécialistes... cela ont le sait... On le voit bien, retourné, double jeux dans le Seigneur des Anneaux... est bel et bien un sujet important... souvent parce que l'on croit manipulé l'ennemi, et parce que l'Ego s'insinue dans la tête des personnages de Tolkien... et dans des histoires du second âge de la terre du milieu... nous avons même un personnage dont les actes, pourtant logique dans son plan de vie... sont totalement incompris de son entourage ( lire les contes légendes inachevés, pour ceux qui n'ont pas peur de lire un livre qui nous explique, comme le fait un livre historique, les différentes versions possibles de l'histoire, et laquelle est la plus probable...).

Et ce lien est si fort avec l'Angleterre, que la partie historique (10 pages) à la fin de ce volume nous parle des différents royaumes de l'époque de Beowulf en Angleterre... et comment une femme a converti un de ces rois provenant des pays nordiques au christianisme... esquissant un fait véridique le mixage des populations romano-celtes avec les populations vikings... Merci encore aux éditions RBA, de nous avoir fait connaitre cette légende par une version moderne, nous rendant accessible les versions plus anciennes de l'histoire, parfois déconcertantes sous forme de vers...

Et dans ce volume, la veuve de chef de clan, reprend son rôle de conseillère auprès du peuple... et de leur guerrier... quelque chose qui marque encore l'œuvre de Tolkien... et peut être donne aussi la touche féministe à la littérature anglaise du XIXe dans un pays qui ne reconnait pourtant toujours pas professionnellement les femmes... On est souvent surprit de la modernité sur le sujet des capacités professionnelles de la femme, même dans les Sherlock Holmes, alors que cela n'en n'est même pas le sujet principale... et que c''est écrit par un homme....

Il est à noté que le théâtre anglais qui a une longue expérience de critique de la société n'est pas non plus sans rapport avec l'attitude des écrivains britanniques du XIXe... et les influences semblent bien complexes...

Si l'histoire de Beowulf est peut être un peu difficile pour les plus jeunes... c'est oui, un des fondements de la vision moderne de la littérature anglaise... c'est une évidence.... que ce soit de manière directe ou indirecte...

Alors évitez les versions parfois trop commerciale, mais il est évident que cette version est très intéressante... le tome 3 d'une série de 4 sur la légende.