Un jour viendra où l'on ne distinguera plus la tombe de Vincent de celle de Théo. Un manteau de lierre les recouvrira , increvable, d'un vert sombre au pied des stèles, parfois brillant les nuits d'été, sous des étoiles très grandes.
Il les enveloppera et dira pour eux : c'était mon meilleur ami, c'était mon frère. (p. 135)