[...] Et Colette de repérer chez Landru* une variante de cette "banalité du mal" qu'Arendt devait décrypter plus tard chez le nazi Eichmann, tout aussi méticuleux, obsessionnel et dissocié de sa cruauté par son obéissance de fonctionnaire zélé.
(* Colette, "Landru", in Prisons et Paradis, Pléiade III, pp. 746 - 749.)
Chapitre VI
Le corps métaphorique : plantes, bêtes et monstres, p. 318