La sorcière est l'héritière d'une misogynie au long cours qui, si elle trouve ses marques dans l'Antiquité, s'épanouit à travers les récits des Pères de l'Eglise et une représentation impossible d'une féminité idéalisée par la littérature.
[Deuxième partie - Moyen-Âge : l'ombre du bûcher]