Je vieillis, j’ai vingt ans. Les années défilent, personne ne m'écrit. Je n'écris à personne. À Pilar, je dis que l’abandon, c’est regarder sa montre et lire une heure qui n'existe pas. Un no man’s time. La vieille dame me rassure gentiment, elle m’explique qu’a Madrid, de toute façon, personne n’est d’ici.