Ce n'est qu'une bestiole, mais quelle sensibilité dans ce regard ! se dit Shozo. C'était un mystère en effet, car ces yeux brillant durement dans la pénombre du placard n'était plus ceux d'un malicieux chaton, ils étaient devenus à l'instant ceux d'une vrai femelle, débordant d'une coquetterie, d'un érotisme et d'une mélancolie ineffables.
(Le chat, son maître et ses deux maîtresses, p52)