Nationalité : Cuba
Né(e) à : La Havane , 1943
Mort(e) à : Gijón , le 23/01/2006
Né(e) à : La Havane , 1943
Mort(e) à : Gijón , le 23/01/2006
Biographie :
Justo Vasco est un écrivain et traducteur cubain, auteur de roman policier.
Il fait des études à l'université Patrice Lumumba de Moscou où il obtient un doctorat en chimie avant de devenir professeur de physique à l'université de La Havane. De 1980 à 1988, il est directeur éditorial et traducteur aux éditions Arte y Literatura à Cuba.
En 1995, il s’installe à Gijón où il devient le coordonnateur du concours littéraire de la Semana Negra de Gijón fondé par Paco Ignacio Taibo II.
En 1983, il publie son premier roman "Completo Camagüey" coécrit avec Daniel Chavarría. Avec son compatriote, il écrit trois romans dont en 1994 "Boomerang" ("Contracandela").
En 1998, il fait paraître "L'Œil aux aguets" ("Mirando espero") pour lequel il obtient le Premio Hammett (es) 1999
+ Voir plusJusto Vasco est un écrivain et traducteur cubain, auteur de roman policier.
Il fait des études à l'université Patrice Lumumba de Moscou où il obtient un doctorat en chimie avant de devenir professeur de physique à l'université de La Havane. De 1980 à 1988, il est directeur éditorial et traducteur aux éditions Arte y Literatura à Cuba.
En 1995, il s’installe à Gijón où il devient le coordonnateur du concours littéraire de la Semana Negra de Gijón fondé par Paco Ignacio Taibo II.
En 1983, il publie son premier roman "Completo Camagüey" coécrit avec Daniel Chavarría. Avec son compatriote, il écrit trois romans dont en 1994 "Boomerang" ("Contracandela").
En 1998, il fait paraître "L'Œil aux aguets" ("Mirando espero") pour lequel il obtient le Premio Hammett (es) 1999
Source : Wikipedia
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Citations et extraits (1)
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Parce que jusqu'à maintenant, il était Albertico à La Havane, Albertico le tombeur, Albertico l'homme qui se tapait le plus de gonzesses entre la Marina Hemingway et la plage de Guanabo, frontières de la fête à La Havane. Dans la région, il n'y avait pas de meilleur baiseur que lui; si, comme les vachers de l'Ouest, il s'était fait une marque sur la queue pour chaque morceau bien baisé -et pour lui, bien baisé était les filles qui s'évanouissaient en demandant grâce après le troisième assaut consécutif-, elle ressemblerait à un microsillon. Mais maintenant, il ne pouvait plus aspirer qu'au titre de monsieur Morte Pine de l'année.
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