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Citations et extraits (10) Ajouter une citation
— On siffle le chien ?

— Je ne comprends pas, ai-je bredouillé.

— Ça ne fait rien. Moi, je me comprends.

— Mais… ce n'est pas ce que vous croyez. Un ami a des ennuis conjugaux, il ne va pas bien. Je m'en voudrais pour le restant de ma vie s'il commettait l'irréparable.

Elle a remonté la bretelle de son sac à main sur son épaule.

— Je ne doute pas que vous ne trouviez lundi cet ami pour confirmer vos dires.

— En effet c'est Stephen, mon collègue de travail. Je vous le présenterai, si vous le voulez.

Elle a agité la main pour signifier que non, ce n'était pas la peine. Et elle m'a adressé un sourire méprisant qui m'a fait rougir.

— Ce n'est que partie remise, Clarissa.

— Je ne vous ai accordé ce rendez-vous que parce que je vous avais giflé. Ce n'était pas bien de ma part. À présent, nous sommes quittes.

Du rouge, je suis passé au blanc. Je devais être pâle. Elle ne l'a pas remarqué à mon avis parce que je payais l'addition à ce moment-là. J'ai essayé de plaisanter :

— Giflez-moi une seconde fois, dans ce cas ?

— Ce n'est pas drôle, Monsieur Lacour.
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— Tu es la personne la plus intéressante que je connaisse.

Mon cœur tressaille d'espoir :

— C'est peut-être ce qu'il recherche avec moi ? Une femme plus intéressante que belle.

— Désolée de te l'apprendre, ma poule, mais l'intelligence n'a jamais fait bander les mecs.

— Qu'est-ce que tu peux être vulgaire !

— Tu veux la vérité, la voilà. Ton Simon est comme un aristo qui tourne autour d'une paysanne ou d'une soubrette. Une lady passe et adieu la basse-cour et le petit tablier sexy !
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Emma Barnett appartenait à “l’Uppercrust” londonien. Elle avait un corps de rêve, elle était sexy, son charme pétillait sous n’importe quelle lumière. Je suppose que si j’avais été un garçon, j’en serais tombée amoureuse.
Elle aspirait à devenir une célébrité, une de ces personnalités qu’elle voyait dans les magazines qu’elle feuilletait. Elle était persuadée qu’elle deviendrait mannequin, qu’elle défilerait à la Fashion Week parce qu’un photographe des rues lui avait dit qu’elle prenait la lumière comme personne.
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Il nous était arrivé de rapporter quelques histoires sentimentales, des rencontres comme des ruptures, mais toujours sous la forme de lettres que nous adressaient les élèves eux-mêmes.
Il y avait, c’est vrai, une rubrique appelée : « Billets d’humeur » qui pouvaient être au vitriol. Elle dénonçait certains comportements à l’école, comme la férocité de la compétition entre élèves, des relations sexuelles non protégées à des fêtes, le harcèlement moral que subissaient les plus vulnérables, etc.
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Notre prof de littérature était ainsi, tout en spontanéité et en générosité. Elle vouait une passion pour Victor Hugo à cause de son côté « défenseur des opprimés ». Elle était en chair et en os le personnage de Monseigneur Myriel des Misérables, hormis qu’elle n’était pas évêque bien sûr. Sa proposition fit vibrer mon cœur. J’adorais cette prof.
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Tu en pinces pour lui, oui ou non ?

— Non… Oui… Les deux. Il m'horripile, mais c'est plus fort que moi il m'attire. Si tu voyais les filles qui tombent dans ses bras ! Si tu voyais Kate Norton-Greenwood !...

— En somme, tu veux ce type comme un mec voudrait une belle bagnole qui ne serait pas dans ses moyens.
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J’aurais essuyé des moqueries, supporté des rires sarcastiques et des regards ironiques, et les garçons du lycée qui me parlaient, m’auraient évitée pour ne pas se compromettre. C’est féroce l’école, c’est un vrai incubateur de méchancetés et de malveillances. Ça ne valait pas le coup.
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C’est bizarre et c’est compliqué, et elle n’aime pas ce qui est bizarre et compliqué. Ça se termine toujours en sac d’embrouilles. Qu’il se démerde après tout. S’il a pu bondir jusqu’à la porte, il peut bondir jusqu’à un taxi. Elle n’est pas son ange gardien.
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J’ai beau me répéter qu’il y a une répartition égale dans l’Univers, qu’il y a d’un côté des reines de beauté et de l’autre des reines de l’esprit, n’empêche que j’achète des crèmes pour m’éclaircir la peau.
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Ça vous reviendra d’un coup, sans crier gare. Les souvenirs fonctionnent comme ça. Plus on se creuse la tête moins on trouve.
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