Y avait-il une date de péremption pour le chagrin ? Trois mois ? Six ? Même Doll ne patienterait pas éternellement. N’était-il pas temps que je « m’y fasse » ? Ou que je « me remette » ? Ou s’agissait-il seulement de phrases toutes faites auxquelles s’accrochaient ceux qui n’avaient jamais perdu personne ?