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3.84/5 (sur 73 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Biographie :

Après des études de lettres classiques à l'Université d'Oxford, Kate Eberlen a exercé tous les métiers : fille au pair à Rome et à New York, liftière chez Harrods, professeure d'anglais (EFL) en Italie.

"Miss You" (2016) est son premier roman.

son site : http://www.kateeberlen.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/kateeberlen/

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Discover MISS YOU by Kate Eberlen


Citations et extraits (31) Voir plus Ajouter une citation
C’est drôle comme, lorsqu’on arrive à la fin des vacances, on souhaiterait qu’elles ne se terminent jamais, tout en ayant hâte de retrouver le confort de son petit chez-soi.
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Le problème avec le petit copain de votre meilleure amie, c’est que vous ne le trouvez jamais assez bien pour elle, mais vous êtes bien forcée de limiter vos critiques au cas où ils resteraient ensemble.
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Y avait-il une date de péremption pour le chagrin ? Trois mois ? Six ? Même Doll ne patienterait pas éternellement. N’était-il pas temps que je « m’y fasse » ? Ou que je « me remette » ? Ou s’agissait-il seulement de phrases toutes faites auxquelles s’accrochaient ceux qui n’avaient jamais perdu personne ?
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Nous avons trinqué.
Il s’est penché au-dessus de la table.
- Tu te rends compte que ça fait trois ans ?
Les gens prétendent que ce sont les femmes qui poussent l’homme à s’engager, mais c’était plutôt le contraire dans notre relation. J’étais toujours un peu gênée quand il se mettait à parler de nous parce que, s’il était mon premier vrai petit ami et le seul homme avec qui j’avais fait l’amour, je n’étais pas convaincue qu’il était l’âme sœur avec qui je voulais partager ma vie. Mon éducation romantique venait de mes lectures et toutes mes héroïnes préférées avaient souffert mille incompréhensions et tourments dans leur poursuite du grand amour : Bathsheva Everdene et Gabriel Oak, Dorothea Brooke et Will Ladislaw, Meggie et Ralph de Bricassart, aucune de leur relation n’avait été facile comme la mienne et celle de Dave. Mais n’allez pas vous méprendre : je l’aimais vraiment, nous étions heureux ensemble. Il était séduisant, généreux et, à l’occasion, comme ce week-end, il me surprenait par des attentions inattendues. Cependant, je n’étais pas sûre d’être prête à franchir le pas, alors que je le soupçonnais de le souhaiter.
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Je ne pensais pas à Warren. Je ne pensais même pas à moi. C’est juste que, parfois, quand je regarde le ciel avec toutes ces étoiles, l’univers me paraît si vaste et si imprévisible que j’ai du mal à comprendre comment notre si bref passage sur terre peut nous sembler si important.
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Dave tenait toujours à ce que j’aie du plaisir, mais parfois j’aurais voulu lui dire : "Vas-y, termine, ça ne me dérange pas." Au lieu de quoi, je haletais et gémissais à son oreille comme elles le font dans les films.
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Nous nous sentions tous épuisés d’être restés enfermés si longtemps à respirer l’air de l’hôpital, à s’entendre dire des choses qui affectaient profondément notre vie par des gens qui ne nous connaissaient pas du tout. Ni papa ni moi ne disions quoi que ce soit, mais on pouvait presque entendre grincer les rouages de notre cerveau tandis que nous tentions d’assimiler tout ce que cela impliquait.
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J’ai passé mentalement en revue les grands couples romantiques de la littérature. S’étaient-ils rencontrés parce qu’ils étaient faits l’un pour l’autre ou simplement parce qu’ils vivaient à proximité ? Cathy et Heathcliff logeaient dans la même maison, Roméo et Juliette habitaient tous les deux Vérone. Cette notion de l’âme sœur ne venait-elle pas de ce sentiment appelé amour, que je n’avais encore jamais éprouvé, puissant au point de nous faire croire que l’être aimé était la seule personne au monde faite pour nous ? N’était-ce pas plus une question de définition qu’une question de destin ?
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Le seul moment de la journée que j’attendais avec impatience, c’était celui où je refermais la porte de ma chambre une fois que j’avais mis Hope au lit et que la maison était tranquille ; je me transportais alors dans le Londres victorien, le Wessex de Hardy ou l’Irlande des années soixante.
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Une des questions que je lui ai posées [...] était la suivante : s’il y avait une vie après la mort, pourrait-elle m’envoyer un signe pour me le faire savoir d’une façon ou d’une autre ?
Ça l’a fait rire.
- Je ne peux pas te donner la foi, Tess. C’est à toi de la trouver et le reste suivra.
- Mais tu pourras essayer ? Juste un petit signe ?
- Si tu utilisais la même énergie à croire que celle que tu gaspilles à douter..., me répondait-elle à sa façon un peu exaspérante de faire sonner une critique comme un compliment.
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