Je n’ai jamais vu la chambre de Keiko à Manchester, la chambre où elle est morte. De telles pensées peuvent sembler morbides chez une mère, mais lorsque j’ai appris son suicide, la première chose qui m’est venue à l’esprit – avant même d’accuser le choc –, ce fut de me demander combien de temps elle était restée dans cet état avant qu’ils la découvrent.