Kei Kusunoki

Chic, ça devient sympa avec ces beaux sentiments qui naissent entre eux! J'aime bien l'idée que cette jeune fille qui a déjà tant souffert, viennent aider au restaurant,... de la famille du héros, et que le héros la "surprotège"...

Mais quand on a été tellement blessé par la vie, est-ce bien possible de vivre des choses si constructives et si facilement? Je me le demande...

Histoire assez sympa, comme doivent malheureusement en vivre certains jeunes japonais d'aujourd'hui. Idée généreuse de l'auteur d'en parler par ce média-là également. Prise de distance avec ces problèmes grâce au point de vue du vrai héros de l'histoire et de cette histoire d'amour qui va peut-être vraiment commencer et parvenir à apporter un peu de légèreté?..

Même s'il n'y a rien de vraiment surprenant dans cette suite, je suis un peu plus mitigée. Il y a un petit quelque chose de dérangeant de construire une histoire d'amour pour adolescent avec en toile de fond la pédophilie. L'héroïne, Hinako a été abusée par son beau-père. Elle a fait une fausse-couche la première fois et a donné naissance à un petit garçon la deuxième fois. Cette naissance a fait prendre conscience à la mère des abus subis par sa fille innocente. La mangaka avait abordé le sujet de façon globale dans le premier tome et là donne plus de détail. Est-ce que cela apporte vraiment quelque chose? Et puis, un soir la jeune fille rentre chez elle et là de nouveau un homme veut la violer. Décidément, elle n'a vraiment pas de chance. Mais là, apparaît un garçon, Daisuke, et sauve la situation. Plus leurs yeux se croisent et plus l'amour grandit dans leur coeur. On pourrait croire cela mignon. Ce côté assez sombre et malveillant devait-il être si triste? Surtout que la mineure va vivre seule, à même d'être encore plus victime. On ne trouve pas d'évocation d'associations ou autres qui auraient pu l'aider à se reconstruire. Se faire violer, d'autant plus par son beau-père, a quelque chose de traumatisant. En aucun cas, cela s'oublie simplement comme si on avait perdu un simple objet. En effet, Hinako craint les hommes et leur contact. C'est tout. Maintenant elle découvre l'amour, les premiers émois tout comme Daisuke. Là-dessus se rajoute un pseudo carré amoureux où se rajoute une fille possessive et une ancienne amie. Que va t'il en sortir de tout ça?
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Un manga pour adulte, ou, comme c'est écrit sur la couverture, pour "public averti". Il n'y a rien de choquant en soit, mais le secret d'Hinako est effectivement terrible. Au final c'est deux là vont se rapprocher, tomber amoureux et à travers l'autre, grandir. Dommage que dans chaque tome une nouvelle épreuve terrible (souvent un sujet tabou aussi bien au Japon que chez nous) les attend, car mise bout à bout, elles décrédibilisent l'ensemble.
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La situation devient de plus en plus tendue entre nos deux héros. Daisuke a de plus en plus de difficulté à gérer ses sentiments et ce qui se passe à la maison. Sa petite amie, possessive et égoïste, pousse ses actions de plus en plus loin jusqu'à l'accuser de viol. Des accusations très graves qui peuvent avoir des répercutions très importantes. Un sujet qui ne doit jamais être pris avec légèreté et dérision car les blessures psychique et physique des victimes sont graves et indélébiles. Kei Kusunoki n'aborde pas cela innocemment puisque son héroïne a été violée par son beau-père pendant une longue période et c'est conclut avec deux grossesses. Aucun suivi psychologique n'a été fait et la mineure a du faire face seule à la perversion d'un homme sans avoir jamais compris l'amour. Personne ne lui a expliqué le principe des relations sexuelles et du consentement. A elle de la découvrir au fur et à mesure de sa vie. Une approche assez déroutante finalement pour une histoire. Hinako apprend le rapport positif à la grossesse, l'envie de bébé, l'amour sincère avec un homme... Pour éviter de s'apitoyer sur elle, la mangaka aborde le fait de perdre son bébé avec un enfant mort né. Une expérience personnelle qu'elle a décidé d'inclure dans son récit fictif. Un thème assez tabou au Japon car certains croient encore de nos jours que c'est lié au karma de la personne, uniquement celui de la femme. Une occasion de mettre Hinako en avant qui va parler de son expérience pour aider la soeur de Daisuke, pour mieux gérer son deuil. Un moment émouvant qui prouve que ce n'est pas l'âge qui fait connaître le monde et son côté sombre. Aucun doute que cela va changer l'approche pour la suite qui s'annonce des plus touchantes. L'amour va se révéler avec plus d'audace et de passion.
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Quand on est un coureur de jupon, rien d'étonnant de s'intéresser aux plus belles filles et les plus superficielles. Alors normal ne pas de s'intéresser à celle qui est effrayée des hommes. Kei Kusunoki a trouvé un moyen d'aborder des sujets très sensibles d'autant plus dans la culture nipponne. En commençant comme une histoire d'amour d'adolescent standard comment s'attendre à parler de pédophilie, de viol, d'harcèlement scolaire... Un beau-père qui abuse d'une fille de 14 ans à qui il fera deux enfants n'est pas un fait inventé. C'est bien plus courant que cela ne le devrait être dans la réalité. Comment réagir face à une demoiselle qui vous dirait cela? Ne voudrait-on pas la protéger? Pouvoir faire confiance à des hommes est quelque chose de difficile. Comment savoir si une personne vous souhaite du bien ou pas au final? Une façon d'aborder un sujet tabou qui concerne la cible des lecteurs. L'éditeur français a tout de même noté : "pour un public averti". De même pour le harcèlement scolaire, notre héroïne va en faire les frais. Heureusement qu'elle a de fidèles amies pour la soutenir dans toutes les situations. Il faut parler de ces thèmes bien trop courant afin d'y mettre un terme. Les victimes doivent être écouté déjà au sein des familles puis dans l'entourage. La mangaka aborde les choses délicates dans une histoire qui va surement trouver des rebondissements.
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Chouette petit manga en trois tomes.

Cette histoire se passe dans un monde où les démons sont présents et où ils trompent les jeunes gens pour le pousser à faire des choses horribles qui vont les transformer en démon le jour de leur 18 ans. On suit les aventures de deux ados qui lorsqu'ils étaient petits avaient essayé de sauver leur amie, mais malheureusement, ils ont écoutés des démons et la petite fille a disparu sans laissé de traces. Ces deux amis vont alors combattre les démons pour éviter que ce qu'ils leur est arrivé, arrive à quelqu'un d'autre.



J'ai eu du mal à rentrer dedans au début de l'histoire parce que j'ai eu du mal comprendre, mais une fois l'histoire mise en place, on se laisse prendre facilement et les tomes défile rapidement. Les illustrations sont assez belles et s'enchaîne bien.

Je ne m'attendais pas à cette fin donc j'ai été surprise, mais j'hésite encore si cette surprise était agréable ou non ...

Ici encore, on commence le tome assez légèrement, avec des histoires d'ados... Bien que l'histoire traumatisante d'Hinako plane toujours sur sa vie. Et puis en seconde partie de volume, de nouveau c'est le drame.

L'histoire est extrêmement bien raconté, juste et émouvante. Les questions que se pose candidement Hinako ajoutent de la profondeur aux événements.

La Postface, sincère et touchante, achève de nous briser le coeur.

Quelle série puissante !!

Un tome éprouvant, où l'on découvre précisément l'histoire de Hinako. Des scènes terrifiantes, qui sont clairement à destination d'un public avertit.

Je trouve très intéressant de pouvoir comparer l'histoire traumatisante d'Hinako avec les bassesses de Kazuki - ou de n'importe quelle autre femme qui pourrait trouver que crier au viol est une manière comme une autre de garder un homme.

Bref, une série surprenante, qui, personnellement, me donne l'impression d'être "le cul entre deux chaises" : shojo et evenements graves, légèreté et traumatismes.... En tout cas, l'histoire est vraiment très prenante.

Un Shojo étonnant, qui, bien qu'il reprenne les codes du genre, se démarque particulièrement du lot par les événements traités.

A la lecture du résumé, j'avoue avoir ricané : "Les sentiments de Daisuke vont finalement changer quand il entendra par accident la confession de Hinako dans une chapelle abandonnée", me disant que la confession de Hinako allait être un truc culcul la praline. Quel ne fut pas mon choc, à la lecture de ce manga : Je n'y étais pas du tout ! Notre héroïne a vécut l'enfer, et en garde un profond traumatisme.

Bref, un Shojo qui n'est pas "juste" mièvre, et qui donne envie de lire la suite.

En tant que sœur d'une passionnée et non moins spécialiste des mangas, il fallait bien que je découvre ce genre littéraire... J'ai plus apprécié l’excentricité de lire un livre à l'envers que l'histoire en elle même !

Ce livre est un véritable coup de poing dans le coeur !

Au début on s'attend à une histoire banale mais amusante entre un tombeur et l'associale de la classe.

Mais tout devient chaotique après la révélation du viol. Ensuite l'histoire avance en variant bonheur et malheur sur des dessins vraiment jolie !

Les personnages sont touchants et assez complexe. On ressent vraiment les peines et les joies à travers les dialogues et les dessins.



Ce manga prouve que ce genre littéraire ne se destine pas seulement aux enfants.

Manga néo gothique.Il est dommage que la quete de Ren et Rai ne soit pas plus mise en avant face à leurs rencontres de jeunes filles adolescentes qui sont confronté aux conflits sociaux ou familiaux propres à cette période de notre vie et qui cédent au démon pour des causes moins profondes que celle des héros. Mais à 17 ans on peut faire une montagne d une betise.Et il est bon de le rappeler

Bitter Virgin s’achève dans ce quatrième tome, où Hinako a dévoilé son secret à Izumi, poussée par le désespoir de celle-ci. Secret qui a malheureusement été entendu…



Une conclusion pas mauvaise, mais que j’ai trouvée un peu en deça des tomes précédents, peut-être parce qu’elle vire aux rebondissements typiques d’un shojo. Le passé d’Hinako tourne au secret de polichinelle, puisque tous les protagonistes finissent par l’apprendre… tout en étant convaincus que les autres l’ignorent.



Et évidemment, ils sont tous pile au bon endroit au bon moment (ou pas, selon le point de vue). D’abord Yuzu, puis Hinako, puis Kazumi… Le manga s’enlise un peu dans la spirale de qui sait quoi et qui va le dire à qui / comment, au détriment de l’émotion qu’il arrivait à susciter jusque-là.



L’attitude de Yuzu m’a d’abord déçue, mais force est d’admettre qu’elle est parfaitement crédible, plus d’une personne aurait réagi comme elle le fait par jalousie / désespoir. En revanche, je ne peux établir le même constat pour Kazumi qui, jusqu’au bout, sera restée LE point négatif. Même si elle a dévoilé dans le troisième tome qu’elle n’était pas foncièrement mauvaise, je trouve son revirement trop rapide, trop incohérent en comparaison du comportement dont elle a fait preuve tout du long.



Quant à Daisuke et Hinako, ce n’est pas la fin à laquelle je m’attendais pour eux. La note de l’auteur, sur la jaquette, évoquait un épilogue possiblement doux-amer, mais c’est indéniablement une happy end à mes yeux, et je le regrette.



Il est vrai que cette pauvre Hinako a beaucoup souffert, mais justement, je pensais qu’elle aurait besoin de temps pour panser ses blessures, et surtout encaisser la divulgation de son secret. Sans parler de tirer un trait sur son amour pour Daisuke, j’aurais préféré la voir prendre un peu de recul, de distance, et après, peut-être, revenir vers lui.



C’est un bon dernier tome, qui boucle la boucle tout en restant ouvert, mais pas assez à mon goût, et, surtout, les émotions qu’il véhicule ne sont pas aussi puissantes que celles insufflées par ses prédécesseurs. Bitter Virgin n’en demeure pas moins un manga à lire !
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Izumi, la sœur de Daisuke, est de retour dans ce troisième tome de Bitter Virgin, enceinte de surcroît. La proximité d’un bébé à naître provoque des sentiments paradoxaux chez Hinako, tandis que les rumeurs et les médisances vont bon train au sujet de la future mère.



À l’instar des deux précédents, c’est encore un très bon tome que nous offre la mangaka, malgré les drames et les tourments endurés par les protagonistes. Le ton est toujours aussi juste pour évoquer leurs malheurs, en particulier le contraste saisissant entre la grossesse d’Izumi, souhaitée, épanouie, et celle, traumatisante, d’Hinako.



Le problème, c’est Kazuki. Autant les épreuves traversées par Daisuke et son entourage sont réalistes, autant elle… Non, vraiment, je n’adhère pas. Pire, je me suis aperçue que tous les petits reproches que j’ai pu adresser à cette œuvre depuis le début se recoupent autour d’elle.



Elle en fait trop. Avec elle, tout est dans la démesure, son obsession pour Daisuke, son attitude, ses réactions… Contrairement au reste, elle n’est pas crédible. Elle est folle, agressive, menteuse, manipulatrice, tout le monde le sait (en tout cas tous les personnages principaux), pourtant elle continue d’agir en toute impunité.



Et c’est dommage, parce que sans elle pour me sortir par les yeux, avec son comportement digne d’une peste de shojo, ce manga serait encore meilleur. Elle est vraiment le point noir d’une histoire qui aurait pu mériter une note encore plus élevée.



M’enfin, Bitter Virgin reste évidemment excellent. Pas un coup de cœur parce qu’il me manque la petite étincelle pour être transcendée, mais une lecture que je recommande chaudement à quiconque souhaite la découvrir (hors âmes sensibles).
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Daisuke a compris que pour protéger Hinako des foudres de Kazuki dans ce deuxième tome de Bitter Virgin, il devait jouer avec celle-ci le rôle du petit ami parfait, mais il peine à lutter contre ses véritables sentiments. De son côté, Hinako s’ouvre et s’attache de plus en plus à lui, malgré ses traumatismes.



Après un très bon premier tome, cette suite se concentre sur le passé d’Hikano et sur l’enfer qu’elle a vécu adolescente. Le ton est juste, douloureux, et c’est un excellent choix de la part de la mangaka de ne pas avoir représenté le visage du beau-père, monstre anonyme parmi tant d’autres.



Quant à la légèreté que je reprochais dans ma précédente chronique, je ne dirais pas qu’elle s’est envolée, mais plutôt que le terme n’était pas le plus approprié. Ce n’est pas tant de la légèreté qu’une certaine… caricature ? théâtralité ? exagération ? dans l’attitude et les réactions de certains personnages (Daisuke, sa mère, Kazuki…)



Je déteste vraiment cette dernière, mais dans le mauvais sens du terme. Elle est complètement folle, prête à agresser quiconque a le malheur de se mettre (volontairement ou involontairement) en travers de son amour pour Daisuke, et c’est en particulier cette pauvre Hinako qui en fait les frais.



Un peu trop, d’ailleurs. Son beau-père, l’homme de la rue, Kazuki… Je ne dis pas qu’une telle malchance n’existe pas, mais je n’ai quand même pas pu m’empêcher de songer qu’elle enchaînait les mauvaises rencontres et les problèmes.



Idem avec le rebondissement final, que je sentais venir et qui a des airs de hasard un peu trop (mal ?)heureux. J’espère néanmoins que l’arrivée de ce nouveau personnage contribuera à aider Hinako à se reconstruire, ce que j’attendais de la part de Yuzu, et…



Et je ne sais pas. Elle m’a laissée perplexe. J’ai apprécié qu’on en apprenne davantage sur son passé commun avec Daisuke, mais je ne suis pas sûre d’avoir réussi à cerner ses véritables sentiments et motivations, ni comment elle se positionne vis-à-vis d’Hinako.



Ce qui ne m’empêche pas d’avoir dans l’ensemble beaucoup aimé ce tome, plus que le premier qui était déjà une lecture satisfaisante. Je ne tarderai pas à me plonger dans le troisième !
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Bitter Virgin est un seinen en quatre tomes qui commence avec Daisuke, un lycéen populaire, notamment auprès de la gent féminine. Seule Hinako garde ses distances avec lui, et de manière générale avec tous les garçons, par qui elle semble terrifiée. Une attitude qui dissimule un effroyable secret…



Attirée par le fait qu’il s’agisse d’une courte série, je me suis plongée dans ce manga sans trop d’attentes, et cette découverte m’a convaincue. Le sujet (âmes sensibles s’abstenir) est pertinent, et son traitement, du point de vue d’un protagoniste masculin, sort de l’ordinaire (ou en tout cas de ce que j’ai pu lire en roman).



Ce premier tome de Bitter Virgin pèche cependant par son ton, que j’ai trouvé par moments trop léger à la vue des thèmes abordés, et l’attitude d’Hinako vis-à-vis de Daisuke m’a paru évoluer un peu trop vite, même si la jeune fille tend à expliquer son affection pour lui parce qu’il a affirmé ne pas s’intéresser physiquement à elle.



J’ai aussi eu du mal avec ce dernier au début, je le trouvais assez tête à claques, mais j’ai fini par m’attacher à lui à mesure que son tempérament protecteur à l’égard d’Hinako se dévoile. Même quand il est sur le point de se montrer odieux envers elle, j’arrive à le comprendre, dépassé comme il l’est par un secret aussi lourd que celui qu’il se retrouve amené à porter.



Quant aux deux filles qui gravitent autour de lui, j’ai d’abord eu quelques difficultés à saisir qui elles étaient, et si Kazuki se révèle de plus en plus haïssable au fil des pages, j’ai en revanche apprécié la douce et sympathique Yuzu, que j’espère voir davantage par la suite, si possible se rapprocher d’Hinako.



En somme, c’est un bon premier tome, bien loin des clichés shojo où l’héroïne déteste tous les garçons parce que l’un d’eux lui a tiré les cheveux quand elle avait six ans. Cette terreur est justifiée par les évènements tragiques qui ont marqué la pauvre Hinako, et mon seul souhait pour le reste du manga est qu’ils soient narrés avec une rigueur plus adéquate.
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La série se termine sur ce tome : petite série, sans trop de superflu ni de longueurs inutiles. Ici, il y a clairement "le denouement shojo", a.k.a ce qu'il va se passer pour mettre les deux personnages ensembles (classique, donc).

Un volume un peu moins intense, mais qui termine, je trouve, parfaitement cette histoire : sans happy end ostentatoire, si trop de froufrous. Réaliste et pudique, comme le reste de cette série...

Vraiment, ça a été un plaisir de la découvrir !