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Critiques de Keith Laumer (11)
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Un deuil dans la famille

Shaw, est un détective privé intégrer même si il est fauché. Un jour Louis anglich un ancien Marin ⚓ trafiquant d, alcool 🍷 et d, armes 🏹 avec Cuba, qui a ensuite gagné de l, argent dans l, immobilier 🏗️, vient le trouvé pour lui demandé de retrouvé Anya une gosse qu'il avait trouvé abandonné dans la rue.mais qu'il a dû laisser dans une famille, car il fallait qu'il parte pour affaires. Mais quand il est revenu six mois plus tard, la famille avait disparue.et la petite convié à des étrangers. Et elle devrait avoir vingt cinq ans aujourd'hui.la piste va le conduire aux

Prendergast, une riche famille. Mais quelqu'un va tout faire pour qu'il la retrouvé pas.mais obstiné, il va vouloir connaître le fond de l, histoire. Une histoire qui nous tient en haleine.
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Coeur d'étoile

Keith Laumer (1925 — 1993) fut un auteur prolifique avec plusieurs dizaines de romans, de nombreuses nouvelles, des scénarios de séries (dont Chapeau melon et botte de cuir et les envahisseurs) et de comics. Et pourtant, il n’y même pas une dizaine de romans et quelques nouvelles traduits en français disponibles dans de vieilles éditions que vous aurez sans doute du mal à trouver chez les bouquinistes. J’en suis à mon cinquième roman et je les ai tous trouvés bon voire très bons... sauf Ultimax. Je m’explique d’autant moins ce désaveux de la part de nos éditeurs qui, frileux, préfèrent rééditer toujours les mêmes auteurs.



Ce roman est très réussi. Le héros passe par des hauts et des bas, manque plusieurs fois d’être tué ou de laisser tomber, mais la rédemption arrive et la victoire est au bout du chemin. Un vrai feu d’artifice qui va crescendo. Je ne vais pas en dire plus de peur de spoiler.



En bref : À lire. Sans conteste et sans hésitation.
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Les mondes de l'imperium

Voilà un (court) roman de Keith Laumer surprenant. Trois univers parallèles avec des histoires similaires mais loin être identiques. Le nôtre reconnaissable à son histoire façon année 60. Un autre dont la culture est très ancrée dans la fin XIXe, période à laquelle nos deux univers ont clairement diverger. Ce monde donne un petit air steampunk à l’ensemble plutôt agréable. Et un troisième, plus proche du nôtre qu’il n’y parait, bloqué dans une histoire poste seconde guerre mondiale qui aurait tourner à la guerre atomique. Un héros paradoxal, capable du pire comme du meilleur, qui se présente comme un diplomate, mais se bat comme un commando... dont il a la résistance et l’esprit d’entreprise dangereuse. Il manque de mourir plusieurs fois mais s’en tire toujours in extremis. Et pour avoir un Happy end, il tombe amoureux et ne souhaite pas revenir dans univers d’origine... M***de, j’ai lâché le morceau !



Bref, un bon moment de détente, comme à l’accoutumée avec cet écrivain qui mériterait quelques rééditions, voire quelques inédits.



Comme il se doit pour un volume de la collection Galaxie/bis, ce roman est accompagné d’une grosse nouvelle d’un autre écrivain. Ç’a été pour moi l’occasion de découvrir un parfait inconnu pour moi, et probablement aussi pour beaucoup de lecteurs français puisqu’il n’a même pas une page en français sur wikipedia. Je veux parler de Robert Moore Williams (1907-1977) qui malgré l’usage de plusieurs pseudo et l’écriture d’un nombre important de romans et nouvelles SF n’a été publié que dans 6 revues françaises dans les années 60/70.



Que dire de cette nouvelle ? Que si ce récit est typique du style de l’auteur et de ces habitudes narratives, ce n’est pas surprenant qu’il n’ait pas connu plus de succès en France. Nous avons, avec Les volontaires de la paix, affaire à une histoire d’espionnage peu vraisemblable. Le héros est super-entraîné, mais tombe dans tous les pièges que lui tendent les méchants. Il s’en tire toujours de justesse. Sauf à la fin où il saura mourir la tête haute, en héros. le héros se promène de la Terre à la Lune et retour comme d’autres vont au bain de mer par le train. Manquer de se faire tuer est le cadet de ses soucis mais il n’en va pas forcément de même pour son chef. Bref, une nouvelle intéressante, mais où l’auteur passe à côté du genre thriller/ fantastique pour, à mon sens, se cantonner dans de la SF de hall de gare.



En bref : Un volume à lire pour découvrir un bon petit roman de Keith Laumer et un écrivain qui n’a pas vraiment réussi à franchir l’Atlantique de son vivant.
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La cage infinie

En fait ce roman est une excellente comédie de science-fiction. De lecture très facile, je l’ai dévoré en un week-end sans même m’en rendre compte. S’il pouvait en être ainsi de tous les romans et nouvelles que je peux lire



En bref : j’en redemande et je vais tenter de trouver les autres volumes disponibles en français. En attendant, je vais très certainement relire ceux qui sont déjà à ma disposition et je vous conseille chaudement cet écrivain.
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Le Long Crépuscule

Ah ! Encore un Keith Laumer à mon tableau de chasse ! J’avais été déçu par Ultimax, mais c’est pour l’instant le seul qui m’ait fait cet effet-là. Je retrouve avec Le long crépuscule le Keith Laumer du Cœur d’étoile ou de L’ordinateur désordonné. Je peux d’ores et déjà dire que j’ai pris beaucoup de plaisir à cette lecture.



Je doit dire qu’un élément m’a, dès le début, rappelé quelque chose : deux extraterrestres quasi immortels qui vivent et se pourchassent sur Terre depuis des siècles. Après quelques recherches, je peux dire qu’il s’agit du roman de Wilson Tucker : Les Maîtres des âges.

Mais là s’arrête la ressemblance et il est inutile de chercher à accuser Tucker d’avoir repris l’idée de Laumer.



La trame de l’histoire « présente » est entre-coupée de chapitres « souvenir » qui résument les relations entre les deux protagonistes. Mais très le lecteur en arrive à la conclusion qu’ils ne sont pas seuls et qu’un troisième personnage, comme eux immortel, rôde autour d’eux et interfère pour le pire. Est-ce lui le grand méchant ? En tous cas, voilà un roman où l’action et les rebondissements ne manquent. Les producteurs d’Hollywood pourraient facilement l’adapter au cinéma pour en faire un de ces films d’actions modernes. D’ailleurs, certaines scènes rappellent des films catastrophes plutôt récents.



Donc les deux héros ont un but commun, mais pas les mêmes motivations. Ils se trouvent confrontés à des situations analogues : trouvent de l’aide parmi les humains : sont recherchés par la police et l’armée ; etc.



Je n’en dirais pas plus au risque de trop en dire et de gâcher le plaisir du lecteur potentiel.



Pour le plaisir : j’ai noté ceci à la page 118 : Cette moyenne augment lentement selon une courbe exponentielle décroissante... Si ! si ! C’est écrit. :-) Bon la suite du passage éclaire le lecteur, mais admettez qu’une augmentation décroissante... c’est pas fréquent. À part ça, les coquilles habituelles, fautes de frappes, mauvais choix de traduction,etc. Rien que de très normal.



En bref : J’ai beaucoup aimé et je vous le recommande. Il ne me reste plus qu’à faire le tour des bouquinistes, brocantes et vides-greniers pour trouver les autres titres disponibles en français que je n’ai pas encore... Ça va pas être de la tarte.
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Ultimax

Damoclès Montgomerie petite frappe de la mafia de Chicago à la vie sauve grâce à l’action Xorialle l’extra terrestre agent du consensus galactique plutôt sur de lui. Xorialle va décupler les capacités de Dammy qui apprendra l’ensemble des connaissances de la galaxie.

Heureusement l’homme pourra compter sur sa ruse et sa capacité à s’affranchir des règles (qualités auxquelles ne semblait pas s’attendre la galaxie) et partira à la rencontre du consensus galactique.



Bien que l’intrigue par moment ne soit pas toujours lisible, le roman prendra par moment l’aspect d’un polar cosmique assez drôle et qui réserve de nombreuses surprises.

Le ton plein d’humour drôle ne va pas sans rappeler « Le guide du voyageur galactique » de Douglas Adams. Plusieurs personnages sont très originaux comme Floss et l’ancêtre.



La trame de fond de ce livre est assez complexe pour un livre de 250 pages et aurait surement demandé encore 200 pages d’explication
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Dinosaure plage

sur le thême du voyage dans le temps, un livre à l'intrigue à rebondissement



un livre délassant, à l'écriture simple

(ne pas lui demander plus)
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Les mondes de l'imperium

Un bon roman sur les univers parallèles où l'on voit s'affronter l'imperium, une sorte d'empire brittanique étiré géré par des chevaliers sans peur et sans reproche et un monde post apocalyptique nettement moins glamour. Entre les deux ne reste que la désolation, une série d'univers où l'humanité s'est suicidée lors d'une guerre nucléaire et où demeurent quelques formes de vie plutôt curieuses. A noter que l'auteur a signé les scenarios de trois épisodes de la série TV "The avengers" ("Chapeau melon et Bottes de Cuir" en français). Ce livre qui date de 1962 ne constitue pas à mon sens son bouquin le plus original (voir l'ordinateur désordonné), mais il se laisse encore lire avec plaisir.
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Ultimax

Bouh ! Que c’est décousu. Dans les premières pages, le héros est sauvé/enlevé par un extra-terrestre quelques instants avant sa mort. Puis, jusqu’à la page 92, il est évalué et éduqué par celui-là même qui l’a capturé. Mais parce qu’il est le héros, il arrive à tromper son geôlier et, vers la page 110, il le quitte, non pas pour retourner à une vie terrestre sans doute embellie par ses super-pouvoirs ; notre héros décide de partir à l’aventure pour découvrir la civilisation galactique et sauver l’humanité si c’est possible. Beau programme, non ? Et à partir de ce moment s’enchaînent des situations toutes plus invraisemblables les unes que les autres et sans véritable fil conducteur. C’est au point que j’ai failli abonner quelques pages avant la fin.



L’écriture de Keith Laumer rend ce roman, malgré tout, plutôt agréable à lire (comme tout ce que j’ai lu de cet écrivain). Mais vous pouvez, je pense, vous le garder pour un jour où vous n’aurez strictement rien d’autre à faire.
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L'ordinateur désordonné

Le directeur d'un cirque en faillite hérite d'une maison léguée par un parent décédé des décades plus tôt et demeurée dans des limbes juridiques. Il en prend possession et découvre que la demeure est habitée par un ordinateur construit par le parent en question. La machine a pris conscience d'elle-même en solitaire et développé un sens un peu curieux de l'humour. Publié en 1971 en français (version originale en 1964), ce bouquin constitue un exemple rare et d'autant plus précieux de science-fiction humoristique. Il a assez bien résisté au passage des ans. Il faut dire que son auteur, prolifique et primé à plusieurs reprises, n'était pas un débutant. Il utilise toutes les ficelles SF, du voyage dans le temps aux univers parallèles, pour entrainer l'héritier de la demeure dans une cascade de situations difficiles et hilarantes. A lire sans modération.
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L'ordinateur désordonné

J’avais lu ce roman il y a bien 25 ans et avait trouvé la lecture plaisante et l’histoire originale et amusante

Je le relis et complète la critique asap ;)
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