Manga lu dans le cadre du challenge ABC 2015-2016.
Il trainait depuis quelques temps dans ma bibliothèque. Je l’avais acheté à cause du terme « magie » et de la couverture plutôt mignonne. J’ai passé un bon moment de lecture avec celui-ci mais je ne pense pas me procurer la suite sous peu.
Les graphismes sont bien réalisés et très diversifiés au vu du nombre de personnages créés mais cela fait trop de noms à retenir du coup. Shonen oblige, on voit souvent des jeunes filles toutes nues avec seulement les cheveux pour cacher. Certaines ont déjà de belles poitrines pour leur âge (13-14 ans). Mis à part ça, les paysages sont assez restreints car quasi toute l’histoire se passe dans des salles de classe.
L’histoire est relativement simple et bourrée de gags en tous genres car Negi est un jeune garçon de 11 ans. Pour pouvoir devenir un magicien à part entière, il doit réaliser un stage de 3 mois en tant que prof d’anglais au Japon. Son école d’origine est située en Ecosse. Le problème est que ses élèves sont des jeunes filles de 13-14 ans donc plus grandes et plus âgées que lui. Par ailleurs, il ne doit pas montrer qu’il est magicien sous peine de ne pas avoir son diplôme. Certains gags m’ont donc bien fait rire.
Comme vous l’aurez compris, j’ai passé un bon moment de lecture avec ce manga mais je ne me vois pas acheter 37 autres tomes dans le même registre. Par contre, si je les trouve à emprunter, je les lirais volontiers pour voir comment s’en sort notre petit Negi avec sa bande de filles. L’histoire est gentillette mais sans plus pour ma part. A voir donc à l’occasion mais pas une urgence. Je vous conseille néanmoins de le découvrir si vous êtes amateurs de ce type de manga.
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Premier tome d'une petite série de shônen un brin petites culottes bien sympathique.
Keitaro est un étudiant qui cherche désespérément à entrer à Todaï, fac prestigieuse. Mais son niveau est loin d'être excellent. Mis à la porte du foyer parental, il se retrouve bien malgré lui, gérant d'une pension pour jeunes filles.
Menteur, maladroit, potache et un brin idiot il faut bien l'avouer ce personnage est néanmoins très attachant, tout comme le panel de personnages féminins qui jalonnent ce premier tome de présentation. Chaque fille a ses particularités. Mes préférées : la combattive Motoko et la petite Shinobu, même si j'apprécie le duo Naru/ Keitaro qui sont comme chien et chat.
C'est drôle, ça détend et c'est déjà pas mal.
Une série qui se lit comme on regarde la version animée avec plaisir et un sourire fiché aux lèvres devant les situations dans lesquelles se met sans cesse le héros. Je lirai la suite pour voir comme cela évolue.
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C'est sans grand empressement que je me suis plongée dans le tome 2 de Love Hina. Je l'ai fait surtout pour boucler un challenge et aussi pour voir si mes craintes étaient fondées. L'ont-elles été? Oui et non.
#Spoilers
Dans ce tome 2, la kendôka violente, Makoto, part quelques jours en stage de kendô, elle laisse donc derrière elle sa petite protégée étrangère, Sû, une vraie pile électrique qui va donc reporter son attention sur Keitaro qui pensait être un peu plus tranquille. Elle ne va plus le lâcher d'une semelle, un pot de colle ambulant et Naru va se sentir obligée de ne pas les quitter des yeux de peur que Keitaro fasse une boulette (qu'elle dit, mais elle est jalouse, oui!).
Après avoir malencontreusement lu le journal intime de Naru, il est à deux doigts de découvrir qu'elle est une amie d'enfance, celle à laquelle il a fait une promesse il y a 15 ans...
Naru et Keitaro sont de plus en plus fatigués, ils n'arrivent plus à réviser correctement. Le jeune homme doit se donner à fond pour ses examens blancs car s'il échoue, il devra rentrer chez ses parents et renoncer à Todai.
C'est la désillusion, Keitaro est vraiment nul, Todai est encore à des années lumières d'être atteinte. Il a trop honte et voudrait fuir les filles. Mais malgré ce qu'elles lui disent/font au quotidien, elles partent à sa recherche et Naru arrive à le retenir, à le forcer à ne pas abandonner maintenant...
Keitaro panique car il joue toujours de malchance continuellement et l'examen d'entrée se rapproche dangereusement. Il déprime rapidement, s'étant planté partout après avoir compter ses points lui-même, même en répondant au hasard... mais en fait, il a réussi ses examens blancs!
L'examen final a lieu. Tout va se jouer. ça ne se passe pas bien pour lui, qui panique et manque de prendre la fuite. Seulement, Naru va se lever et lui rappeler sa promesse. Il a désormais confirmation que Naru est la petite fille avec qui il jouait et à qui il avait promis d'entrer à Todai...
C'est quasi explosif à chaque vignette, ça part dans tous les sens, c'est toujours très agité au sein de l'établissement Hinata. On se retrouve une nouvelle fois dans un malentendu qui va prendre des proportions énormes.
Mais il n'y a rien d'extraordinaire, on n'avance pas énormément mis à part que les filles ont enfin "accepté" Keitaro au sein du pensionnat et que l'examen se rapproche de plus en plus, ajoutant une certaine pression sur les deux personnages principaux, Keitaro et Naru.
J'ai quand même (une toute petite part de moi) envie de connaître la suite, de savoir si Keitaro et Naru vont tenir leur promesse: aller à Todai ensemble. Mais je ne poursuivrais pas, j'ai d'autres mangas qui me plaisent plus à continuer et d'autres qu'il me tarde de commencer. Je n'ai pas non plus envie de perdre mon temps, d'être déçue à chaque tome parce que ça n'avance pas, que le schéma soit toujours le même: Keitaro qui échoue aux examens, qui énerve les filles, les fait pleurer ou rire, qui se fait taper dessus, humilier etc...
Je ne peux pas dire que Love Hina est mauvais, car pas du tout, il a un certain potentiel mais il n'est pas fait pour moi... dommage.
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Un tome 3 où le voyage est au centre. Keitaro et Naru ayant eu une mauvaise surprise lors de leurs résultats décident de s'offrir un voyage de consolation. Vu le climat entre eux, ce voyage doit se faire séparément mais bizarrement ils n'arrêtent pas de se croiser. Les membres de la pension, curieuses, décident de leur filer le pas.
A travers tout le Japon, on va donc suivre notre fine équipe et Keitaro va rencontrer une jeune femme aussi maladroite que lui (si si c'est possible).
Un tome assez dynamique qui relance la machine avec l'arrivée d'une nouvelle protagoniste qui jette le doute dans l'esprit du héros qui est toujours aussi boulet dans son genre. Le côté romance est quand même très présent et sous-jacent dans la relation entre Keitaro et Naru (malgré des circonstances peu propices). Agréable à suivre donc je verrai le tome suivant.
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Love Hina avait tout pour me plaire. Un shônen drôle avec plein de situations cocasses et du fan service à gogo. Et pourtant... ça ne m'a pas suffit.
#Spoilers
Keitaro est un jeune homme de 19 ans qui essaie par tous les moyens d'entrer à l'université et pas n'importe laquelle, l'Université Todai. Car petit, il avait fait une promesse à son amie que plus tard, ils se retrouveraient là-bas.
En se rendant à la pension Hinata, tenue par sa grand-mère, il va se retrouver... parmi des filles! de belles jeunes filles! En fait, il s'agit d'un pensionnat pour filles et Keitaro va en voir de toutes les couleurs ! Il va devoir cohabiter avec 5 filles: Naru la sérieuse, Kitsune la perverse, Motoko la kendôka, Sukaora l'étrangère et Shirobu la plus jeune.
Mais il est résolu à rester malgré le fait que les filles ne le souhaitent pas (évidemment!), mais à cause d'un malentendu, elles vont croire qu'il fait parti de l'Université Todai (ce qui est totalement faux!) et l'accepte aussitôt car elles sont en total admiration, sauf une: Naru. Une autre l'accepte bien vite mais semble avoir un plan derrière la tête (en même temps, vu son surnom de Kitsune), celle-ci va tout faire pour charmer ce pauvre garçon. Il ne va pas en mener large, persécuté par Naru dès qu'il fera un écart de conduite, bien souvent involontaire (le pauvre!). Elle va le surveiller, le suivre partout etc...
Le quiproquo prend des proportions énormes, Keitaro n'arrive pas à l'endiguer, s'enfonçant encore plus dans ce mensonge et Naru finit par découvrir le pot aux roses, et les autres aussi. Et monsieur sera mis à la porte, mais Naru le suit, le forçant à ne pas abandonner son rêver d'intégrer Todai. Keitaro va aussi apprendre que sa grand-mère lui a légué le pensionnat! La moitié des filles sont d'accord, l'autre pour le coup, non et il va devoir mériter sa place de "maître" et pour cela... faire le ménage, la cuisine etc! Mais tout cela est fait pour qu'il craque, qu'il s'en aille.
Keitaro va se rendre compte que Naru est elle aussi dans la même école préparatoire que lui (il ne l'avait pas reconnu vu qu'elle ressemble à une vraie intello), qu'elle est très douée (lui est tellement nul...), et qu'elle aussi postule pour entre à Todai. Et finalement, elle va lui donner un coup de main pour étudier... ce qui risque de ne pas être de tout repos!
Keitaro est assez attachant, il n'a pas de succès auprès des filles, il a des difficultés sur le plan scolaire et il est solitaire. J'avais à plusieurs reprises envie de le secouer un bon coup pour qu'il arrête d'être le sous-fifre des autres, qu'il se rebelle un peu, qu'il agisse en homme quoi! Pour les personnages féminins, bien qu'étant toutes plus différentes des unes des autres, il n'empêche qu'elles ne cessent de disputer, d'embêter et frapper Keitaro! Mais celle qui est la plus importante dans l'histoire est Naru et j'ai deviné tout de suite qui elle était en réalité de par le passé du jeune homme.
Les dessins sont simplistes, j'ai vraiment eu cette impression de lire/regarder des dessins, un trait de crayon qui date un peu (normal en même temps vu que le manga n'est plus tout jeune) et ça m'a un peu freiné.
Alors je ne peux pas dire que ce n'était pas drôle, ce n'est pas possible! Il y a tellement de situations cocasses avec Keitaro et les filles du pensionnat Hinata. C'est drôle, c'est dynamique. Mais j'ai une crainte, c'est que le personnage masculin ne change pas, que les filles continuent à le martyriser, à l'accepter puis recommencent à l'embêter... et ainsi de suite. J'ai peur que ce soit le même schéma à chaque fois. C'était certes sympathique mais je ne veux pas que ce soit trop redondant au fil des tomes.
Love Hina m'avait l'air vraiment génial mais j'ai été quelque déçue et je sais pas encore si je continuerais à lire la suite, je verrais bien.
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♠ « Le maître magicien Negima!, tome 6 » - Ken Akamatsu ♠
Après plusieurs mois en tant qu'enseignant au collège Mahora, le jeune Negi a pris ses marques et appris à connaître personnellement ses élèves. Toujours à la recherche de son père, il emmène toute sa classe à Kyoto ; sous couvert de voyage scolaire, il tente en réalité d'approcher l'association de magie du Kansai, en conflit avec les magiciens occidentaux depuis des siècles. Mêlé à cette querelle séculaire malgré lui, il fera tout pour protéger ses élèves et apaiser les tensions entre les deux camps.
Lorsque j'enchaîne plusieurs polars bien sombres, j'apprécie en général une légère coupure sous la forme de mangas. Dernièrement, je me suis lancée dans les aventures de Negi, petit professeur magicien de dix ans. Ces trois tomes se consacrent à son voyage scolaire à Kyoto ; j'ai beaucoup aimé ce changement de lieu et la découverte détaillée de nouvelles élèves. En effet, chaque tome se focalise sur une ou plusieurs jeunes filles, me permettant d'apprendre à les connaître et surtout à les différencier. En outre, en dehors de situations assez cocasses, l'intrigue est plutôt axée sur des combats épiques et les premiers partenariats de Negi et Asuna. J'ai d'ailleurs adoré les magnifiques cartes de pactio, à l'instar du lexique très intéressant et des graphismes réalistes. En revanche, j'ai été un peu moins emballée par la guerre entre associations magiques et la quête paternelle de Negi... J'ai tout de même hâte de découvrir la suite !
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Un deuxième tome un peu mouvementé pour Keitaro. Le concours de Todai approche à grand pas et entre l'examen blanc et le mystère de son amour de jeunesse (Naru ? pas Naru ?) il est un peu déboussolé. D'autant qu'il est toujours aussi maladroit et pervers sans le faire exprès. Il se prend encore pas mal de coups dans ce tome et est même à deux doigts de quitter la pension.
J'aime vraiment les personnages de ce manga romantique qui sont très attachants même si les scènes sont un brin répétitives et que le fin de l'intrigue est déjà assez prévisible.
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Un bon deuxième tome, un peu moins délirant que le premier. Si l'humour est toujours très présent, on se concentre un peu plus sur les examens du héros et sur sa promesse d'enfance.
Le fun semble être là pour durer, mais j'ai peur que l'histoire d'amour lié à la promesse du héros ne plombe un peu la dynamique. Il est encore trop tôt pour savoir où tout ça va nous mener !
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♠ « Le maître magicien Negima!, tome 5 » - Ken Akamatsu ♠
Après plusieurs mois en tant qu'enseignant au collège Mahora, le jeune Negi a pris ses marques et appris à connaître personnellement ses élèves. Toujours à la recherche de son père, il emmène toute sa classe à Kyoto ; sous couvert de voyage scolaire, il tente en réalité d'approcher l'association de magie du Kansai, en conflit avec les magiciens occidentaux depuis des siècles. Mêlé à cette querelle séculaire malgré lui, il fera tout pour protéger ses élèves et apaiser les tensions entre les deux camps.
Lorsque j'enchaîne plusieurs polars bien sombres, j'apprécie en général une légère coupure sous la forme de mangas. Dernièrement, je me suis lancée dans les aventures de Negi, petit professeur magicien de dix ans. Ces trois tomes se consacrent à son voyage scolaire à Kyoto ; j'ai beaucoup aimé ce changement de lieu et la découverte détaillée de nouvelles élèves. En effet, chaque tome se focalise sur une ou plusieurs jeunes filles, me permettant d'apprendre à les connaître et surtout à les différencier. En outre, en dehors de situations assez cocasses, l'intrigue est plutôt axée sur des combats épiques et les premiers partenariats de Negi et Asuna. J'ai d'ailleurs adoré les magnifiques cartes de pactio, à l'instar du lexique très intéressant et des graphismes réalistes. En revanche, j'ai été un peu moins emballée par la guerre entre associations magiques et la quête paternelle de Negi... J'ai tout de même hâte de découvrir la suite !
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♠ « Le maître magicien Negima!, tome 4 » - Ken Akamatsu ♠
Après plusieurs mois en tant qu'enseignant au collège Mahora, le jeune Negi a pris ses marques et appris à connaître personnellement ses élèves. Toujours à la recherche de son père, il emmène toute sa classe à Kyoto ; sous couvert de voyage scolaire, il tente en réalité d'approcher l'association de magie du Kansai, en conflit avec les magiciens occidentaux depuis des siècles. Mêlé à cette querelle séculaire malgré lui, il fera tout pour protéger ses élèves et apaiser les tensions entre les deux camps.
Lorsque j'enchaîne plusieurs polars bien sombres, j'apprécie en général une légère coupure sous la forme de mangas. Dernièrement, je me suis lancée dans les aventures de Negi, petit professeur magicien de dix ans. Ces trois tomes se consacrent à son voyage scolaire à Kyoto ; j'ai beaucoup aimé ce changement de lieu et la découverte détaillée de nouvelles élèves. En effet, chaque tome se focalise sur une ou plusieurs jeunes filles, me permettant d'apprendre à les connaître et surtout à les différencier. En outre, en dehors de situations assez cocasses, l'intrigue est plutôt axée sur des combats épiques et les premiers partenariats de Negi et Asuna. J'ai d'ailleurs adoré les magnifiques cartes de pactio, à l'instar du lexique très intéressant et des graphismes réalistes. En revanche, j'ai été un peu moins emballée par la guerre entre associations magiques et la quête paternelle de Negi... J'ai tout de même hâte de découvrir la suite !
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L'idée de départ de cette série est vraiment tentante: un jeune magicien anglais de 10 ans devient le professeur principal d'une classe de jeune fille dans un collège japonais.
Passons sur l'incohérence d avoir un enfant professeur au collège et dur le fait que les collegienne aient (quasiment ) toutes des boobs dignes d'un classement X. Après tout nous sommes dans un manga.
Mais après quelques pages première deception. Negi n'enseigne pas la magie mais l'anglais. OK c'est ma faute j'ai lu le résumé en diagonale...
Il doit cacher ses pouvoirs, mais s'en sert tout le temps en fait...
Il est logé dans la chambre de deux de ses élèves. ...
Ses élèves le prennent pour un jouet. (KAWAIIIIII)
Il passe son temps à se disputer et à se faire maltraité par Asuna une des fille de sa classe un peu violente mais au grand coeur car elle a eu une vie difficile....
Et les termes japonais suivis d'une astérisque mais dont la traduction n'est nulle part... un problème avec mon édition ou ça se retrouve partout?
Bref beaucoup de petites culottes pour rien. J'ai trouvé les 6 premiers tomes alors je vais voir si ça s'améliore un peu par la suite.
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Un autre manga qui m'a faite taper des barres! plusieurs fois! Cette fois, nous suivons les aventures de Keitaro Urashima, qui se retrouve à la direction d'une pension pour filles, léguée par sa grand-mère. Le jeune homme, qui, parallèlement, tente d'entrer à la prestigieuse université de Todai, pour tenir une promesse faite à une fille quelques années auparavant, va,peu à peu, faire la rencontre de plusieurs jeunes filles, dont Naru et Kitsune, pour ne citer qu'elles (d'ailleurs, la première rencontre se fait aux bains...je vous laisse deviner bande de coquins ;) et connaître plusieurs moments et péripéties. Le personnage principal est attachant, d'une maladresse maladive et un peu pervers malgré lui, mais je ne me suis pas lassée un seul instant de toutes ces situations embarrassantes ;) Allez les dévoreurs de manga, lisez-moi ça ;)
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Un bon démarrage bourré de quiproquos sexuels.
Certaines situations sont légèrement répétitives. Il faut espérer que le manga sache continuer en diversifiant son humour.
Un très bon moment de détente !
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J'avais assez hâte de pouvoir lire la fin de cette série commencée depuis longtemps. Je m'étais arrêtée après le tome 34, n'arrivant plus à suivre tous ces combats. J'ai donc attendu un peu, et voilà que je termine enfin par ce tome... Légèrement décevant...
Le début du tome est bien, j'ai même versé une petite larme lorsque Asuna s'en va pour son sommeil de 100 ans, et qu'elle se réveille sans voir personne, apprenant que Negi et Ayaka son morts depuis plusieurs années, et qu'elle a du retard dans son réveil.... Bref, jusqu'ici c'est plutôt bien, même si on s'attend à un petit revirement de situation, après tout, ça ne peut finir comme ça. Et le fait qu'elle soit renvoyée dans le passé par Tchao et Evangeline... j'ai trouvé ça un peu gros, mais soit. Tant mieux.
Mais la fin m'a déçu. Pleins de questions restent sans réponse... Où est la mère de Negi ? Où était son père ? Il se pointe comme ça, sans aucune explication... Pas tout compris moi. Et alors le point essentiel... QUI NEGI A-T-IL CHOISI ??? On ne le sait même pas !!!! On se doute que ce n'est pas Asuna car il lui murmure le nom de la fille qu'il aime... Mais à part ça on ne sait rien... Nan franchement, je suis déçue...
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Autant Love Hina avait su me séduire par son humour cocasse et ses situations improbables, autant Negima me laisse de marbre. Déjà, le fait que le héros, âgé de 10 ans, se retrouve à enseigner à une classe de filles de 14ans, toutes éprises de lui me pose un petit problème de maturité ET de crédibilité. D'autre part, tout est prétexte à dessiner des filles en petite culotte, sauf que quand tous les personnages sont mineurs, ça pose un petit problème éthique quand même... En somme, une série qui ne présente pas d'intérêt à mes yeux.
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J'ai découvert les mangas, avec, comme beaucoup de ma génération, One Piece, cependant, comme à chaque fois que je découvre quelque chose qui a plusieurs catégories, j'explore..
Et depuis toute jeune, Love Hina a été, et reste encore un énorme coup de cœur, en manga, comme dans l'animé, quelque chose de bien abouti, qui m'as fait rire, me poser des questions, et encore rire.
Les personnages, si on va au delà du côté caricature, sont hyper intéressants eux aussi, avec un passé développé pour chacun même si ce dernier n'est pas forcément énormément mis sur le tapis on sait, on devine, et en assemblant les bribes qu'on a au fur et à mesure, c'est comme un puzzle.
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