Vous êtes-vous jamais demandé à quoi ressemblerait le monde si l'humanité venait à disparaître ? Les photographies de ce livre nous en donnent un aperçu. Bien plus vite que ce que l'on pourrait imaginer, l'herbe tapisserait les routes, des arbres perceraient les édifices, et la faune sauvage reviendrait hanter nos villes. La nature reprendrait ses droits.
De la zone d'exclusion de Tchernobyl à la mer d'Aral, des salles de spectacle en ruines de Detroit aux bunkers britanniques de la guerre froide, Vestiges d'un monde oublié nous dévoile les histoires fascinantes de villes fantômes, de centres commerciaux noyés sous les eaux, de parcs d'attractions aux manèges rouillés et de voies ferrées à l'abandon.
À travers plus de 150 photographies spectaculaires, embarquez pour un voyage étonnant au coeur de ces sites oubliés par les hommes.
On découvrira par exemple :
- La mer d'Aral, asséchée, où gisent des carcasses de bateaux ;
- Le parc d'attractions de Pripiat en Ukraine, dans la zone d'exclusion de Tchernobyl ;
- Des salles de spectacle en ruines de Detroit ;
- Des bunkers britanniques datant de la guerre froide...
Deux sites en France : le village d'Oradour-sur-Glane, laissé en l'état pour témoigner des horreurs nazies, et le chemin de fer de la Petite Ceinture à Paris.
Pour de nombreuses jeunes femmes, s'installer à Hollywood signifiait l'espoir de connaître un jour la célébrité et de faire carrière dans le cinéma, mais si, cela ne fonctionne pas comme prévu, Hollywood pouvait se révéler sordide. Alors que les filles pouvaient raisonnablement penser que signer un contrat avec un studio manquait-il le début de leur carrière cinématographique, les studios gardaient en fait un petit groupe de jeunes femmes sous la main pour divertir les exploitants de salles de cinéma et les dignitaires en visite.
Alors qu'elle visitait sa famille dans sa ville natale de Hicksville en Ohio, Daeida rencontra une femme de Chicago qui vivait sur une vaste propriété appelée Hollywood. Come elle aimait ce nom, Daeida décida de baptiser ainsi son nouveau ranch californien. Après que les Wilcow eurent échoué dans l'arboriculture fruitière, ils divisèrent leur propriété en lots à vendre. En 1910, lorsque les premier cinéastes arrivèrent, Hollywood avait une population de 166 âmes.
Pour l'essentiel, c'étaient des immigrants juifs venus d'Europe qui cherchaient une vie meilleure en Amérique du Nord: Samuel Goldwyn était originaire de Varsovie, Adolph Zukor (un des fondateurs de Paramount Pictures) et William Fox (il fusionna ses deux sociétés pour créer la 20th Century Fox) étaient hongrois, alors que Carl Laemmle (Universal Pictures) était allemand.
Mais pour ceux qui n'ont jamais connu la réussite, Hollywood a toujours été très cruel. Même aux tout débuts, les acteurs qui ne parvenaient pas à décrocher de rôlees, traînaient en ville lourdement maquillés, pour donner l'impression qu'ils travaillaient dans l'usine à rêves.
Comme ces trains franchissaient les frontìères de plusieurs États, il était plus facile de contourner les lois de la prohibition sans avoir à payer des pots-de-vin à la police.
Ceux et celles qui devenaient des stars ne devaient pas seulement leur carrière aux studios, en général ils leur devaient aussi de l'argent.