Konami Kanata

Chi sort de plus en plus souvent et va explorer de plus en plus loin...

Je trouve la série vraiment très chouette avec les relations humains-chat et les problèmes de communication et d'incompréhension. Il y a aussi les souvenirs de Chi sur sa toute petite enfance avant que Yoshei ne la trouve dans le parc. Et puis Chi est trop craquante avec son zézaiement et sa spontanéité.
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Chi en fait voir de toutes les couleurs à la famille de Yoshei mais ils l'adorent malgré tout. Chi fait la connaissance des autres animaux de la résidence et rencontre un autre chaton dans les environs...
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On suit la vie de Chi dans son nouvel appartement qu'elle s'est bien approprié mais elle rêve d'explorer les environs... et n'a aucun sens de l'orientation !!!
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La famille de Yoshei décide alors de trouver un logement dans lequel les animaux sont acceptés et Chi vit ce déménagement à sa façon...
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Chi est toujours aussi mignonne et fait plein de découvertes. Elle se lie d'amitié avec Noiraud, le chat-ours, qui lui apprend la vie mais ce dernier, qui finalement habite le même immeuble, va être obligé de déménager...
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Manga jeunesse en couleur qui raconte la vie d'un chaton recueilli par

une famille .

Je vais commencer cette chronique en ronchonnant un peu, histoire quand même de finir sur du positif parce que ce manga s'est révélé très sympathique même si pendant longtemps, je suis restée indifférente à ce titre.



Je me permets de jouer les rebelles et de mettre cette chronique dans les "mangas inclassables" car Chi est paru en Seinen (manga pour adulte) au Japon et en Jeunesse en France. Je trouve les deux classifications rédhibitoires puisque pour moi, Chi est un merveilleux exemple de manga tout public !



Ensuite... le prix chez Glénat... Les mangas constituent déjà une passion onéreuse puisque la lecture d'un titre ne dépasse jamais une heure et pourtant je prends mon temps pour m'attarder sur certaines planches... Alors plus de 10€, je trouve cela excessif et cela n'encourage pas à populariser ce titre qui vaut pourtant le détour. Alors oui, c'est en couleurs pour une fois, le sens de lecture a été inversé pour s'adapter au public français et se rendre ainsi plus accessible aux plus jeunes, et un petit marque-page très sympa est offert avec, mais bon... Si je ne l'avais pas trouvé d'occasion, soyons honnête, je n'aurais sans doute jamais acheté...



Pour le manga en lui-même, Konami Kanata a un chat et ça se voit ! Je me suis intéressée à Chi parce que justement, j'ai adopté un chaton il y a moins d'un an alors cela titillait ma curiosité. Comment ne pas sourire devant les (més)aventures de Chi, toutes ces petites anecdotes adorables et tellement vraies pour lesquelles tous les maîtres (ou plutôt esclaves ?) de chat ne pourront que se souvenir avec un brin de nostalgie. de l'humour et de la tendresse à gogo entre Chi et sa famille d'accueil, un crayonné simple mais attractif, rendant bien les émotions du chaton, une oeuvre capable de séduire petits et grands et de relater avec justesse les réalités inhérentes à l'adoption d'un petit animal. Chi n'était pas "prévue" au programme et pourtant ses maîtres assument tant bien que mal. Ils improvisent, contournent les petits soucis car ils s'y sont très vite attachés. Les bêtises sont là... mais l'amour encore plus !
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C’est avec résignation que j’ai ouvert le septième volume des aventures de Chi le chat, déjà préparée à l’idée de subir près de 150 pages de fascination injustifiée pour ce crétin de chaton.



On le retrouve dans un premier chapitre très sobrement intitulé « Chi suit ». Autant dire que Konami Kanata nous lâche dans l’inconnu. Ou presque… Tout de suite, ce sont des figures de chatons riant aux éclats qui sautent aux yeux du lecteur. Non, le style du manga n’a pas changé, les miracles n’existent pas. Il faut accepter le style de Kanata, et si ce ne sont pas ses dessins ronds et colorés qui désespèrent le plus, on regrette en revanche l’état d’esprit général du manga : un humour creux qui retombe souvent à vide, des situations absurdes sans être drôles, et un déplacement des priorités des personnages très agaçant.







Une fois ces caractéristiques immuables acceptées –ou rejetées, mais c’est une autre histoire-, on peut alors juger de l’évolution de la série avec un peu plus d’objectivité. Si le rythme des aventures de Chi s’était ralenti dans les deux derniers tomes, il retrouve un peu de dynamisme avec ce septième volume. Le chaton passe la majorité de son temps à l’extérieur, avec toutes les conséquences que cela implique : amitiés, bagarres, faim, saleté, intoxication alimentaire, vomi. Vous ne rêvez pas, vous tenez entre vos mains le Robinson Crusoé pour les chats.







Il semblerait toutefois que cette émancipation féline s’accompagne du corolaire moins réjouissant de l’abrutissement de ses bipèdes humains. Nous retrouvons ces grands dadais plus bêtes que jamais, alignant truisme sur truisme et toujours satisfaits de leurs blagues idiotes. A les entendre, on pourrait être tenté d’envoyer valdinguer le manga à travers cieux –mais il est certainement plus raisonnable de tourner la page avec résignation.



Chi entre dans le monde des grands. On lui souhaite une maturation réussie et on espère un huitième volume avec encore plus de vomi, de piqûres et de bastons !




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J'ai découvert Chi quand le petit frère d'un copain, âgé de dix ans voulait me les prêter pour que je les lise. Je n'ai donc lu que les deux premiers tomes. Et j'ai a-do-ré !



C'est tellement craquant, les illustrations sont vraiment très mignonnes, l'histoire de ce petit chat est touchante. Étant à la même hauteur que lui, on partage ses pensées et comprend peut-être un peu mieux nos propres chatons ?!





Chi est une petite boule de poils trop trop (trop) mignonne qui a perdu sa maman en voulant découvrir le monde.. Égaré, il trouve une nouvelle famille qui saura l'adopter.

Malgré la nostalgie qu'il éprouve pour sa mère, le chaton oublie et apprend la vie de petit chat en appartement.



C'est drôle, c'est une réelle bouffée de fraîcheur et c'est touchant. Que ce soit pour petit ou grand, ce manga fait fondre de nombreuses personnes. Néanmoins, cela peut rester enfantin aux yeux de (certains) adultes mais incontestablement léger !



Je verrai seulement un point négatif à ce manga, le prix. Il tourne autour de 10 € et par rapport aux autres mangas, je le trouve un peu cher.



En résumé, c'est craquant, c'est frais et c'est drôle. Un livre qui fait sourire !Je vous laisse donc découvrir de par vous-même ce livre, en espérant vous laisser tenter.
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J'ai bien aimé se livre comme le premier je lui mes aussi 20 sur 20.

J'ai bien aimé se livre je lui mes 20 sur 20.

chi est une petite chatte adorable coincée dans l'appartement de ses maîtres, alors que le monde est si vaste et attirant !!

chi ne se laisse pas dépérir pour autant, et avec l'aide de son comparse chat-ours, un vieux chat à qui on ne la fait pas ! elle expérimente, au grand bonheur des petits et grands !

à découvrir absolument pour de joyeux moments partagés !

Un adorable petit chaton tout fou et coquin qui nous a valu quelques fous rires à mon titou et moi

dans ce tome chi est pourtant malmené (déménagement, griffes coupées), mais la vie d'un chat est comme celle des hommes, avec des joies (beaucoup quand même!) et des peines, et puis chi est plein de vie et récupère toujours

Vous ne connaissez pas Chi, cette adorable boule de poil ? Eh bien Chi, c'est une toute petite chatte (un chaton mais chatonne ça clochait...) très curieuse. C'est en ayant la tête en l'air qu'elle perd la trace de sa mère et de ses frère et soeurs. Perdue et terrorisée, elle est recueillie par la famille de Yohei... qui n'a pas le droit d'avoir de chat dans leur appartement et qui pourtant, s'attache à Chi...



Ce premier tome de Chi, une vie de chat de Konami Kanata est publié aux Editions Glénats Kids. Impossible de résister à Chi, cet adorable chaton qui va en faire voir de toutes les couleurs à ses propriétaires. Ce petit manga se lit en une petite demi-heure car il n'y a pas beaucoup de dialogue. Le public visé est plutôt jeunesse mais les grands s'amuseront aussi ^^ A l'instar de Yohei et de ses parents, on devient gaga en lisant le livre.



De fait, il n'y a pas grand chose à dire (et je n'ai pas l'habitude de chroniquer des mangas) sur ce premier tome sinon que Chi est marrante et attachante et que j'ai eu plaisir à relire ce livre. C'est un manga en couleur et le graphique couleur pastel est agréable.



Qu'en conclure ?



Que 10€ pour ce manga est cher car il se lit très rapidement mais que l'histoire est teintée d'humour. On devient rapidement gaga avec Chi. Un manga plutôt jeunesse mais qui plaira à tous et je recommande ce manga à ceux qui veulent découvrir le genre. Chi vous fera craquer ^^
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Quand je lis les aventures de Chi, je ne peux m'empêcher de repenser avec nostalgie aux premiers mois passés avec mon chat. Maintenant la miss a neuf ans, quelques rondeurs, un caractère bien trempé. Les facéties sont toujours surprenantes mais fort rares ; pas de quoi en faire un livre! La force de l'habitude.

Je profite de cette rubrique pour inviter les lecteurs à découvrir la version en dessin animé sur Youtube. C'est fidèle à l'esprit du livre.

J'ai commencé, avec ce volume, à voir les limites de l'intrigue. Certes la frimousse de Chi est toujours aussi craquante mais Konami Konata n'a pas intérêt à trop tirer sur la corde au risque de lasser le lecteur.

Les bonus et les petites infos en fin d'ouvrage sont toujours aussi instructifs et divertissants.

Il suffit de jeter un coup d’œil aux titres des chapitres pour prendre conscience, avant toute autre tentative de lecture plus élaborée, de la vacuité annoncées des aventures de ce sixième épisode de Chi : « Chi visite » (mais ne connaît pas l’existence des verbes transitifs), « Chi dialogue » (et complexifie inutilement son vocabulaire), « Chi fait tomber » (et annonce des pages potentiellement anxiogènes), « Chi propose » (et remet en question notre conception selon laquelle certains actes si insignifiants ne méritent pas d’être évoqués), « Chi reste dehors » (et nous fait espérer qu’elle ne rentrera jamais).



Des promesses de lecture exaltante en perspective ! En tant que lecteur, le risque est grand de se sentir diminué, surtout si on s’imagine à notre tour protagoniste des aventures d’un même type : « Colimasson lit un chapitre racontant l’histoire d’un chat qui fait tomber ». Ouch. Mais gardons la tête haute : comme je l’ai déjà dit lors de mes lectures des précédents tomes, Chi fait partie des livres qui se consomment sur le trône. Fi du temps perdu !



Essayons de faire un bilan sur les découvertes que nous apporte cette lecture… La tâche n’est pas évidente. Revenons donc plutôt sur les confirmations qu’elle nous rappelle : Chi séduit par son imbécilité attendrissante ; ses maîtres ne vivent qu’à travers elle ; les réflexions philosophiques qu’ils tentent d’amorcer ne sont pas leur fort et plombent l’ambiance. Lisez plutôt le genre de propos que tiennent les maîtres de Chi afin de tourmenter l’âme du lecteur en lui posant des cas de conscience subtils : « Pour elle, la boîte a plus de valeur que son contenu ! » (critique dissimulée d’un monde capitaliste qui occulte le sens moral profond des êtres ?) ; « Ce n’est pas seulement de l’eau… C’est important pour elle » (amorce à la théorie de la relativité absolue).





Ceci ayant été rappelé, on se rend tristement compte que les nouveautés de cet album ne se bousculent pas. On découvrira seulement un nouveau personnage, représentant de la face sombre de Chi. Même gabarit, même lieu de vie… Seule différence : le matou semble doté d’une pointe d’ironie cruelle qui ne s’était encore jamais manifestée dans toute la série Chi. Malheureusement, la tentative d’introduire un peu de piquant tombe à l’eau dès lors que Chi intervient. Ni plus ni moins débile qu’à son habitude, elle ne capte pas le second degré dont fait preuve son interlocuteur et ramène tout à ses plates frasques de chat d’appartement. Le pire, c’est qu’elle semble presque convertir ce sombre matou à sa vision édulcorée du monde. Terrible affrontement entre le bien et le mal ! Vous en tremblerez, si vous n’imaginez pas une seconde quelle peut être l’issue de cet affrontement (mais j’imagine que vous avez déjà deviné).





Continuera-t-on à lire les épisodes suivants de la série ? Oui, car il ne faut jamais perdre espoir, mais croire sans fin à une victoire possible de la lucidité sur la crétinerie bon marché des petits chatons. Et oui car, il faut bien l’avouer, nous avons tous une part de cette débilité Chi-esque en nous.
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La vie quotidienne d'une chatte gâtée dans une famille japonaise. un manga très mignon pour tous les âges, qui se lit à l'endroit comme une BD, et qui attendrit tout le monde.

Un peu de douceur dans ce monde de brutes, voilà de quoi j’avais besoin ! Et c’est tout naturellement que je me suis tournée vers le manga de Konami Kanata, Chi, une vie de chat (une série qui compte actuellement 8 tomes).

Attention, c’est kawaii. Vous voilà prévenus… !



Chi est un adorable chaton qui a perdu sa maman et le chemin de sa maison. Heureusement pour lui, il est bien vite recueilli par un couple et son enfant, Yohei, un formidable compagnon de jeux. Malheureusement les animaux de compagnie ne sont pas autorisés dans leur résidence et la famille se voit contrainte de trouver un autre foyer pour le pauvre chaton. Mais qui peut résister à une telle petite boule de poils ? Certainement pas eux ! C’est décidé, ils le gardent… à l’abri des regards curieux des voisins !



Ce manga se décompose en plusieurs épisodes de quelques pages qui illustrent à merveille la vie d’un chaton en appartement… et de ses maîtres qui tentent tant bien que mal à se faire à tous les bouleversement qu’un animal de compagnie entrainent. Visites chez le vétérinaire, apprentissage de la propreté, découverte des plantes vertes et des sacs plastique jusqu’à la tragique et inévitable fuite, rien ne leur est épargné !

C’est léger, drôle, doux, attendrissant. Les illustrations sont belles et délicates et les couleurs apportent beaucoup de douceur.

Si vous avez un chat, vous le reconnaitrez très certainement en Chi et si vous n’en avez pas, c’est sûr, vous en voudrez un ! Dans tous les cas, vous craquerez pour Chi et ses bêtises.
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