MARCHE I
extrait 1/4
Jl attrapp des images au vol, comme ils étouffent les papillons,
et tiens ma tristesse en bandoulière,
même des pierres ignorais le nom
ai tout vu là, pour la première fois.
Que de feuilles il y avait, soudain
et tous ces vents qui bruissèrent alors dans mes silences
moi qui n’ai vu que murs et porte
sans savoir que les uns retiennent et l’autre ouvre
sans l’éprouver