MARCHE I
extrait 3/4
Mon silence
avait recouvert tous les bruissements de feuilles, tous les pas,
aucune étreinte
les pierres, même elles, se sont retournées à moi, et n’auront plus
jamais la force d’accueillir un enfant,
c’est intenable, pensaient-elles.
Et ignore forcément tout du mausolée de vers qu’on m’a dressé
toujours à nouveau, et
L’on s’agenouillera éloquent et mélancolique devant les taches
dans mes phrases à venir,