Citations de Lauren Weisberger (187)
"Le premier amour, c'était une aventure forte, intime, et ces souvenirs mettaient du temps à s'estomper. Une vie entière. On pouvait aimer son partenaire actuel plus que quiconque sur terre, mais une parcelle de notre coeur restait à jamais réservée à la première personne qu'on avait aimée."
"Tout faire pour ne pas essayer, c'est encore essayer."
"Après tant de jours à se tourmenter en silence, c'était merveilleux de pouvoir enfin libérer sa colère."
"Ce simple coup de fil, en remuant des souvenirs douloureux et en faisant naître des angoisses nouvelles, semblait balayer d'un seil coup les dix dernières années."
Max, page 327 :
- "Oh, s'il te plaît. J'aurais été grossier si j'avais dit à ce connard d'arrêter de draguer ma femme sous mes yeux et de dégager de ma vue. Je ne peux pas croire que tu te sois tapé ce type."
J'avais peur d'être déçue par ce deuxième opus, mais j'ai finalement beaucoup aimé. Finalement, j'avais l'âge de Andy il y a 10 ans dans "le diable s'habille en Prada", et son âge dans ce deuxième volet, 34 ans, donc je m'identifie facilement.
Par contre, j'ai souvent eu l'impression de lire du Sophie Kinsella et de voir une Rebbecca Bloomwood dans le personnage d'Andrea Sachs. Mais ça m'a plu!
Très divertissant.
J'avais peur d'être déçue par ce deuxième opus, mais j'ai finalement beaucoup aimé. Finalement, j'avais l'âge de Andy il y a 10 ans dans "le diable s'habille en Prada", et son âge dans ce deuxième volet, 34 ans, donc je m'identifie facilement.
Par contre, j'ai souvent eu l'impression de lire du Sophie Kinsella et de voir une Rebbecca Bloomwood dans le personnage d'Andrea Sachs. Mais ça m'a plu!
Très divertissant.
Tu as une fille et tu dois penser à elle, je le comprends très bien, et je le respecte. Nous avons toi comme moi perdu des plumes dans notre précédente relation, et je suis sûr qu’on est tous les deux…
On va y aller lentement, je te promets. Je n’ai pas envie de me précipiter dans quoi que ce soit, et je sais que tu n’en as pas envie non plus. On fera attention.
Les femmes méritent de savoir à quoi s’attendre. Tous ces mystères façon société secrète de parturientes sont ridicules.
Dans ma vie de tous les jours, je ne rencontrais jamais ce genre d’hommes, uniquement des types qui n’avaient qu’une hâte – m’assurer qu’ils étaient bourrés de talent, canons, riches et puissants.
Personne ne sait mieux que toi que, plus on se rend inaccessible, plus on se fait désirer…
Les gens ne s’intéressent à toi que pour le premier. Au deuxième, tu as beau être enceinte jusqu’aux yeux et sur le point d’accoucher, personne ne te cède son siège. Quant au troisième ? On te demande carrément s’il était prévu. Comme si ça dépassait l’entendement qu’on puisse l’avoir décidé…
Je découvre que, lorsqu’on est enceinte, tout ce qu’on fait est toujours bien.
Les enfants étaient une source de désordre. Ils avaient toujours les mains poisseuses, ils étaient bruyants, imprévisibles ; ils vous faisaient grossir, vous condamnaient à l’inélégance, du moins pendant un bon moment.
Je vais pouvoir faire d’une pierre deux coups – confirmer que je souffre d’une immonde infection génitale et annoncer que « j’ai besoin d’un peu de recul ». Franchement, c’est idéal.
Peu importait ce qu’Elias-Clark voulait. C’était le diable en personne qui était de retour dans sa vie, qui agitait sa queue fourchue et son sac Prada. Ce simple coup de fil, en remuant des souvenirs douloureux et en faisant naître des angoisses nouvelles, semblait balayer d’un coup les dix dernières années.
Elle n’en revenait pas d’éprouver autant d’appréhension, d’être à ce point déchirée entre l’envie de savoir ce qui se passait et la crainte de le découvrir.
Ils allaient s’accorder un peu de temps, mettre à profit la distance pour réfléchir, respirer, comprendre ce qui n’allait plus entre eux, puis Alex s’apercevrait qu’il avait fait une double erreur monumentale (en partant dans le Mississippi et en la quittant) et il rentrerait à New York ventre à terre. Ils étaient faits l’un pour l’autre. Tout le monde le savait. Le temps ferait son œuvre…
J’en avais tellement marre de ces filles faméliques en bikini. Bien sûr, elles font rêver la plupart des hommes, mais ça, c’est sur le papier…