Le silence tomba puis des bruits de pas retentirent fermement contre le parquet. Je me cachai aussitôt derrière une porte entre-ouverte. Idyan sortit le regard noir de colère et descendit les escaliers.
– Etre curieuse est une chose mais écouter aux portes en est une autre.
Mathilda se trouvait dans la salle derrière moi.
– Je... Je suis désolée.
Elle me sonda en silence. Mon cœur faisait des bonds dans ma poitrine.
– Idyan a beau être un charmeur charismatique, je reste toujours persuadée que certaines de ses décisions sont foireuses.
– Vous parlez... de moi ?
– Qui sait ? me dit-elle en agitant son éventail saphir avec ses yeux de lynx.
Un cri de surprise s’échappa de ma gorge. Un homme de bonne corpulence dormait sur moi, collé à moi. D’un mouvement de recul, je m’écartai rapidement et me levai en tentant de garder mon calme.
– Evelynn, ce n’est rien, me dis-je silencieusement. Garde ton calme.
J’inspirai un grand coup afin d’évacuer le stress qu’il venait de me donner, car je savais que c’était lui, l’homme que je me trimballais comme un sac à patates depuis le départ. Sincèrement, ce type faisait clairement flipper !
Crachotant les quelques grains de sable qui avaient infiltré ma bouche, j'essayai de me redresser. À peine j’eus le temps de me lever complètement qu’une lumière vint s'agiter rapidement devant moi, me faisant retomber à terre.
– Alors ma jolie, on a faim ? me questionna l’un des gardes masculins.
Deux hommes se mirent à rire.
– Cette fois-ci, tu ne sortiras plus ma chérie. Le vol est puni d'emprisonnement. Tu as de la chance d'avoir encore tes deux mains.
– Sérieux. C'est quoi leur problème ? Eux, ils ne crèvent pas de faim à ce que je sache, chuchotai-je de façon à ce que ces imbéciles ne m'entendent pas.
Toussant de nouveau, je les ignorai.
Crachotant les quelques grains de sable qui avaient infiltré ma bouche, j'essayai de me redresser. À peine j’eus le temps de me lever complètement qu’une lumière vint s'agiter rapidement devant moi, me faisant retomber à terre.
– Alors ma jolie, on a faim ? me questionna l’un des gardes masculins.
Deux hommes se mirent à rire.
– Cette fois-ci, tu ne sortiras plus ma chérie. Le vol est puni d'emprisonnement. Tu as de la chance d'avoir encore tes deux mains.
– Sérieux. C'est quoi leur problème ? Eux, ils ne crèvent pas de faim à ce que je sache, chuchotai-je de façon à ce que ces imbéciles ne m'entendent pas.
Toussant de nouveau, je les ignorai.