Reacher n’aimait pas les foules.
Il appréciait la solitude et était légèrement agoraphobe, ce qui ne signifiait pas pour autant qu’il eût peur des grands espaces déserts. Une idée fausse, très répandue.
Il adorait les grands espaces.
Il avait plutôt un léger problème d’agora, ce vieux terme grec désignant un marché public bondé. Les foules livrées à elles-mêmes sont (...) dangereuses.