Ce code prescrivait qu'on doit payer une dette contractée envers un joueur indélicat, mais qu'il n'est pas nécessaire de solder la note de son tailleur ; que le mensonge, défendu entre hommes est permis au contraire envers les femmes ; qu'on ne doit tromper personne, hormis un mari ; qu'une offense ne se pardonne pas, mais que l'insulte est permise.