Biographie :
Née en 1948 à Limoges, Liliane Fauriac a exercé la fonction d’institutrice dans des écoles primaires de Haute-Vienne. Elle s’est investie dans les associations locales sportives et culturelles, a encadré des activités de création poétique dans plusieurs écoles. Elle intervient aujourd’hui dans des échanges en médiathèques et anime un atelier d’écriture. Retraitée depuis 2003, son dynamisme et son amour de la vie ne faiblissent pas. Elle s’adonne à ses passions : la marche, la musique et les mots et transmet les émotions qu’elles lui procurent à travers des récits de voyage, des recueils de poésie, des témoignages, des nouvelles et des romans réalistes. Ses créations s’orientent désormais vers des romans plus intimistes, dans lesquels la psychologie des personnages traduit le regard et l’attention qu’elle porte sur la société actuelle. Elle entend par là alerter les consciences, éclairer des dérives de plus en plus fréquentes et soutenir des valeurs humaines telles que le respect et l’altruisme.
+ Voir plusNée en 1948 à Limoges, Liliane Fauriac a exercé la fonction d’institutrice dans des écoles primaires de Haute-Vienne. Elle s’est investie dans les associations locales sportives et culturelles, a encadré des activités de création poétique dans plusieurs écoles. Elle intervient aujourd’hui dans des échanges en médiathèques et anime un atelier d’écriture. Retraitée depuis 2003, son dynamisme et son amour de la vie ne faiblissent pas. Elle s’adonne à ses passions : la marche, la musique et les mots et transmet les émotions qu’elles lui procurent à travers des récits de voyage, des recueils de poésie, des témoignages, des nouvelles et des romans réalistes. Ses créations s’orientent désormais vers des romans plus intimistes, dans lesquels la psychologie des personnages traduit le regard et l’attention qu’elle porte sur la société actuelle. Elle entend par là alerter les consciences, éclairer des dérives de plus en plus fréquentes et soutenir des valeurs humaines telles que le respect et l’altruisme.
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Citations et extraits (6)
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Fille de l'eau, fille de feu, jaillie de l'océan,
Poussée hors de terre, expulsée d'un volcan,
Madère porte en ses flancs, les couleurs
Des roches ocre et brunes, des vignes et des fleurs.
Enfant adorée des flots et du vent,
Madère resplendit du levant au couchant.
Effleurée par le souffle des alizées,
Humectée de brume, de soleil caressée,
Offerte aux éléments, parée depuis l'aurore,
Aux quatre coins de l'île, Madère enfante ses trésors.
page 132.
Poussée hors de terre, expulsée d'un volcan,
Madère porte en ses flancs, les couleurs
Des roches ocre et brunes, des vignes et des fleurs.
Enfant adorée des flots et du vent,
Madère resplendit du levant au couchant.
Effleurée par le souffle des alizées,
Humectée de brume, de soleil caressée,
Offerte aux éléments, parée depuis l'aurore,
Aux quatre coins de l'île, Madère enfante ses trésors.
page 132.
" Ne marche pas devant moi, je ne peux pas te suivre.
Ne marche pas derrière moi, je ne peux pas te guider.
Marche à mes côtés et nous serons amis."
page 203
Ne marche pas derrière moi, je ne peux pas te guider.
Marche à mes côtés et nous serons amis."
page 203
Ce n’était pas aisé de romancer la vie de celle dont la mission était de guérir l’humanité. Liliane a permis à la fiction de ne pas trahir la réalité.
(Agnès Desbordes, petite-fille d’Anna, extrait de la préface du livre)
(Agnès Desbordes, petite-fille d’Anna, extrait de la préface du livre)
À part les élections présidentielles, qui ne démarraient pas vraiment, aucun fait majeur n’occupait les médias. L’effet boule de neige se produisit alors et les chaînes de télévisions nationales, en renfort de la chaîne régionale, firent le déplacement au fin fond de la campagne limousine pour filmer et présenter Le village abandonné. Les caméras de TF1 allaient-elles inverser le fiasco et le destin de Courbefy qui se jouerait le 21 mai ?
Je vous souhaite une bonne lecture et de fréquentes consultations de ce passionnant abécédaire de Châlus que Liliane Fauriac a su, avec le talent que ses nombreux lecteurs lui reconnaissent, concevoir et réaliser.
Sylvestre Clancier, préface
Sylvestre Clancier, préface
"Le hasard c'est le nom que prend Dieu quand il veut rester anonyme." Albert EINSTEIN.
page 52
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Paris : CANCAN
Pratiqué dans les guinguettes et les bastringues entre 1825 et 1830 comme une parenthèse de défoulement bruyante que s'accordait les hommes pendant l'exécution d'un quadrille, cette danse est à l'origine du cancan. Les femmes bravant les interdits décident de se l'approprier en lui apportant la touche endiablée qui lui manquait, on parle du : (😼 + 🐎)
Le tohu-bohu
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