Le dialogue ne sert pas à convaincre l'autre que l'on a raison. L'accent doit être mis sur une meilleure compréhension mutuelle, sur l'élargissement du regard que l'on porte sur le monde en l'abordant par le point de vue de l'autre. Ce qui compte, c'est la manière par laquelle on permet non seulement une compréhension mutuelle et l'échange d'arguments, mais aussi l'ouverture aux sensibilités de l'un et de l'autre et la compréhension à l'égard de ces sensibilités. Dans un vrai dialogue, une confiance mutuelle se développe et chaque personne concernée élargit sa vision sur le monde de l'autre.
Lorsque les autres n'ont plus d'espoir à nous transmettre, on finit soi-même par le perdre.
Ce que l'on croit détermine la manière dont on agit. La manière dont on agit décide de la vie ou de la mort, que ce soit pour nous-mêmes ou pour les autres.
Ceux qui tentent de construire leur vie et reçoivent véritablement la possibilité de le faire vont se mettre à protéger la société et non pas la détruire.
J'ai toujours l'espoir que le bien qui est en nous vaincra le mal qui y est aussi. Nous avons davantage de choses en commun que de différences.
L'espoir est le moteur de la vie. Sans espoir, pas de vie. C'est l'espoir qui nous fait avancer, même les jours les plus difficiles.
Espérer signifie être prêt à tout moment à ce qui n'est pas encore né, sans pour autant désespérer si ce moment ne vient jamais.
Avoir l'esprit critique n'est pas la même chose qu'être fataliste. On peut être critique tout en gardant l'espoir.
Le vrai pacifisme n'est pas la non-résistance au mal, mais une résistance non violente opposée au mal
L'amour n'est pas seulement un sentiment, c'est aussi la méthode par laquelle il luttait.