AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

4/5 (sur 64 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Louise Manet est auteur de romances.
Gagnante du concours Librinova HQN : « Le temps d’un été » en 2014 avec Paris avec Toi, elle joue depuis les entremetteuses littéraires dans ses romances contemporaines alliant humour et amour.

Ajouter des informations
Bibliographie de Louise Manet   (4)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
"Etre parisien, ce n'est pas être né à Paris, c'est y renaître." Sacha Guitry
(en exergue du premier chapitre)
Commenter  J’apprécie          80
Elle a l’air heureuse et j’aimerais bien me réjouir avec elle. Les amis sont aussi faits pour ça, non ?
Commenter  J’apprécie          70
Je regarde mes pieds. Tout est de ma faute. J'aurais dû me mêler de mes affaires, j'aurais dû rester à ma place au lieu de vouloir jouer les espionnes au rabais. Je prétends m'épanouir dans mon travail d'auxiliaire de vie et pourtant, à la moindre occasion, je me lance dans un plan marketing d'envergure pour sauver la boîte de mon jules qui ne m'a rien demandé. C'est tout moi ça, Morgane, la Fée tout foirer.
Commenter  J’apprécie          10
Les seniors, c’est un peu comme des enfants. Il faut les surveiller, vérifier qu’ils prennent bien leurs médicaments, ne pas les croire quand ils font leur tête de petit vieux tout mignon et qu’ils essaient de nous faire avaler des couleuvres. Comme la fois où Huguette Mornay m’a assuré qu’elle n’avait absolument pas tenté de récupérer sa tartine coincée dans le grille-pain avec une fourchette, ce qui a pourtant fait sauter les plombs et manqué de l’électrocuter. Oui, ils sont comme des enfants, en beaucoup moins ingrats. Ils se contentent de peu, sont toujours heureux de me voir, même dans leurs mauvais jours. Ils râlent parfois, sont bougons, mais ça ne dure jamais longtemps. Et quand ils le sont, c’est la plupart du temps à cause de leurs enfants justement. Beaucoup ne les appellent pas, ne passent jamais les voir. Et quand ils ont le bonheur de leur visite, c’est souvent en coup de vent, accompagnés de petits-enfants qui les vouvoient parce qu’ils les connaissent à peine.
Commenter  J’apprécie          00
Je me redresse sur les coudes pour mieux savourer le moment où il va me pénétrer, me posséder et me libérer enfin de ce désir qui me brûle tout entière. Sans me quitter des yeux, il fait glisser son arme fatale entre mes lèvres impatientes. Il entre enfin, mais se retire aussitôt pour effleurer mon clitoris avec l’extrémité de sa verge. Je pousse un râle de frustration avant de gémir de plaisir en goûtant à ce délicieux traitement. Il recommence ce petit jeu d’allers- retours plusieurs fois et je suis au bord de l’hystérie. Quand il est à nouveau sur le point d’entrer en moi, n’y tenant plus, je me redresse et pousse le bassin en avant pour qu’il me pénètre entièrement.
Commenter  J’apprécie          00
Elle avait appris à ses dépens qu’une femme seule représentait un danger vis-à-vis de ses congénères du même sexe. Lors de certains repas arrosés entre amis, ses copains masculins plaisantaient souvent à propos de son statut de femme libre et disponible. À les entendre, elle avait tout d’une vamp, représentait une opportunité à saisir et, bien que ces déclarations soient faites sous l’emprise de l’alcool, les copines, elles, n’appréciaient que moyennement ces élans de leurs hommes à son égard. Elle-même n’aimait pas être vue comme telle. Rien n’avait changé. Le fait qu’elle soit libre ne voulait pas dire qu’elle allait draguer tout ce qui bouge, encore moins les maris des copines.
Commenter  J’apprécie          00
Arrivée à trente ans, j’ai juste envie de rencontrer quelqu’un avec qui construire quelque chose et enfin vivre le simple rêve d’être amoureuse et d’avoir des projets d’avenir à deux. J’ai peur de finir seule pour le reste de mes jours.
Commenter  J’apprécie          10
Il avait conscience que la frustration jouait un rôle sur le fort désir qu’il éprouvait pour elle. La frôler, la toucher à peine, tout cela était aussi bien de la torture qu’un embrasement constant des sens. Il la voulait. Son instinct primitif le lui criait dans chaque parcelle de son corps. Quand ? Quand pourraient-ils enfin assouvir ce besoin qu’ils avaient l’un de l’autre ? Car il savait qu’elle ressentait la même chose, il le voyait dans son regard électrique, à chaque baiser volé. Un feu d’artifice les attendait.
Commenter  J’apprécie          00
Elle n’en revenait pas. Elle venait de draguer un homme ! Elle ! Et un type plus jeune, de surcroît ! Comme ça, l’air de rien, elle lui avait balancé sa réplique de séductrice et s’était sauvée avec un sourire malicieux. Ce n’était tellement pas elle ! D’habitude, elle bafouillait, ne trouvait les mots qu’une fois le moment passé, bien passé, trois heures après, quand elle se refaisait la scène et que l’acteur principal n’était plus là pour entendre la bonne réplique, la phrase parfaite.
Commenter  J’apprécie          00
– Morgane, je t’aime. J’aime ton imagination débordante. J’aime tes jeux de mots lamentables.
J’aime tes coquillettes-jambon. J’aime ta mauvaise foi assumée, ta jalousie mal dissimulée. J’aime ta joie de vivre, ta générosité, tes valeurs, ta spontanéité. J’aime tes forces agaçantes et tes faiblesses
attendrissantes. Tu m’as sorti de ma torpeur, redonné l’envie, redonné l’espoir. Grâce à toi, je n’ai plus peur de l’avenir, ma Fée battre mon cœur.
Commenter  J’apprécie          00

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Louise Manet (103)Voir plus

Quiz Voir plus

Les délices de Tokyo

Tokue et Wakano font un pacte sous

Le cérisier en fleurs
La marquise de la boutique
La pleine lune
Un arbre du sanatorium

12 questions
88 lecteurs ont répondu
Thème : Les délices de Tokyo de Durian SukegawaCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}