Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 04/03/1985
Né(e) à : Paris , le 04/03/1985
Biographie :
Né(e) : 1985
Biographie :
De son vrai nom Xavier Daban, Maadiar est dessinateur, scénariste, plasticien et écrivain.
Après son bac, il entreprend des études de Sciences Politiques. Une passion pour la Russie, héritée de sa marraine russe, l’amène à faire sa dernière année à Moscou. Il y découvre l’art du loubok, gravure sur bois éditée entre les XVIIe et XIXe siècles.
De retour à Paris, il décide de faire un métier en rapport avec la littérature, le dessin et la peinture, arts qu’il cultive en autodidacte dès l’adolescence, publiant déjà depuis 2006, illustrations, dessins satyriques ou reportages en bande dessinée, et se tourne vers le journalisme en bande dessinée collaborant à Gonzaï.com, Megalopolis, Vice Magazine France.
Parallèlement, depuis 2009, il poursuit une carrière d’artiste plasticien. En 2011, il est exposé à l’Affordable Art Fair de Bruxelles, Paris et en 2014 à Saint-Prix (Val d'Oise).
Son style graphique en ligne claire épaisse, cloisonnée, est nourri des influences de Jossot et de Gus Bofa.
Son écriture est vive, racée, souvent acide.
En 2014, il publie sa première bande dessinée, "Mathurin Soldat, un crayon dans le canon", une biographie romancée des quatre années de guerre de l’artiste breton Mathurin Méheut, un album salué par la critique, de Casemate aux Inrocks. En octobre 2020 paraîtra Tassili, en colaboration avec Fréwé (Frédérique Riche).
"Frédéric Beigbeder : a fanfiction" est son premier roman.
+ Voir plusNé(e) : 1985
Biographie :
De son vrai nom Xavier Daban, Maadiar est dessinateur, scénariste, plasticien et écrivain.
Après son bac, il entreprend des études de Sciences Politiques. Une passion pour la Russie, héritée de sa marraine russe, l’amène à faire sa dernière année à Moscou. Il y découvre l’art du loubok, gravure sur bois éditée entre les XVIIe et XIXe siècles.
De retour à Paris, il décide de faire un métier en rapport avec la littérature, le dessin et la peinture, arts qu’il cultive en autodidacte dès l’adolescence, publiant déjà depuis 2006, illustrations, dessins satyriques ou reportages en bande dessinée, et se tourne vers le journalisme en bande dessinée collaborant à Gonzaï.com, Megalopolis, Vice Magazine France.
Parallèlement, depuis 2009, il poursuit une carrière d’artiste plasticien. En 2011, il est exposé à l’Affordable Art Fair de Bruxelles, Paris et en 2014 à Saint-Prix (Val d'Oise).
Son style graphique en ligne claire épaisse, cloisonnée, est nourri des influences de Jossot et de Gus Bofa.
Son écriture est vive, racée, souvent acide.
En 2014, il publie sa première bande dessinée, "Mathurin Soldat, un crayon dans le canon", une biographie romancée des quatre années de guerre de l’artiste breton Mathurin Méheut, un album salué par la critique, de Casemate aux Inrocks. En octobre 2020 paraîtra Tassili, en colaboration avec Fréwé (Frédérique Riche).
"Frédéric Beigbeder : a fanfiction" est son premier roman.
Source : Site des éditions du Pélimantin
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Citations et extraits (4)
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C’est un phénomène mal expliqué, ce regroupement avant l’extinction, ce rassemblement final de pulls marins avant l’abîme. Au final c’est un peu l’inverse de l’éléphant, le bourgeois. Quand les éléphants s’isolent avant de mourir, les bourgeois, eux, se rassemblent avant de sombrer. À Dinard, sombrer, ça s’appelle aller en vacances en camping à Saint-Malo. Fini la grande maison pointue aux toits d’ardoises, bonjour la tente Quechua.
De fait, dans ces bleds de bord de mer les trois-quarts des baraques sont en indivision et s’écroulent mollement dans le silence de haines familiales incroyables. À Dinard, l'aquarium municipal, une incroyable beauté art déco, fuit perpétuellement et est toujours fermé, tout un symbole.
De fait, dans ces bleds de bord de mer les trois-quarts des baraques sont en indivision et s’écroulent mollement dans le silence de haines familiales incroyables. À Dinard, l'aquarium municipal, une incroyable beauté art déco, fuit perpétuellement et est toujours fermé, tout un symbole.
Impossible dans le futur d’imaginer la moindre femme de l’aristocratie de la mondialisation allait se faire féconder la chatte par un petit sous-fifre venu d’une favela du troisième millénaire pour servir de jardinier dans ton domaine. Les pauvres ne seront plus que des esclaves sexuels ou des travailleurs domestiques sans qualification. Deux humanités séparées génétiquement, et l’une condamnée de son plein gré à servir l’autre.
Jack Kerouac, tous ces types… là… les trous du cul de la Beat Génération... Ou même avant, l’autre con, là, l’auteur de Croc-blanc... Jack London. Bah Jack London écrivant au milieu des bois sur de la peau de renne sans se relire je n’y crois pas du tout. Les écrivains américains… des fables. Ils sont très forts pour s’inventer des fables à la con les Américains. Jouer du pipeau... Y qu’à voir leurs guerres…
Pas de piercing, pas de tatouage, quelques poils. C’était peut-être ça, finalement, la virginité dans les années 2020.
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