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Citations de Marc Menant (8)


La vie est belle, elle est même trop belle pour moi. Je me demande souvent ce que j'ai pu faire pour la mériter si belle et si bonne, elle est celle que j'ai choisie depuis toujours, je suis heureux, simplement heureux
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Pourquoi nous l'aimons à ce point notre Ligne ? Parce qu'elle vit. Elle vit de tout ce que nous lui avons donné de nous-mêmes. Quand elle a débuté, nous étions dix-huit jeunes voués à son succès de toute notre âme. De ces dix-huit nous ne sommes plus que quatre aujourd'hui et tous ceux qui manquent sont morts à leur poste, en pleine lutte pour que la Ligne vive. Tu comprendras que leurs voix ne se sont pas tues, elles commandent !
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"Quelques heures de délai, ce n'est pas vital ! Dans cette optique sécuritaire, la mollesse infiltre les cœurs, il n'y a plus d'élan, on a tué la passion !" (Jean Mermoz)
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Analysés chaque jour les prélèvements [des eaux usées de cinq sites dont le centre anticancéreux Henri Becquerel]. Bilan : 36 molécules en omniprésence par litre d'eau : [dont] 1g de platine à la sortie des eaux usées du centre anticancéreux. [P. 207]
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Dobri tchass s'Bogom (bonne chance avec Dieu).
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En 2004, aux États-Unis, le magazine Life Extension publiait un papier intitulé « Death by Medicine » signé par trois médecins généralistes, Carolyn Dean, Martin Feldman, Debora Rasio, associés à deux docteurs ès sciences, Gary Null et Dorothy Smith. Ils dénonçaient 2,2 millions d’hospitalisations liées aux effets secondaires des médicaments, dont 783 936 se concluaient par un décès. Plus que les morts par maladies cardiaques, 699 687, et celles par cancers, 553 251!
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Autre grand fléau resté ancré dans la mémoire collective, la grippe espagnole et ses ravages planétaires à la fin de l’immonde boucherie de 1914-1918. […] Décrit par des milliers de témoignages, l’enfer des tranchées. […] Ah, la joie de ces colonnes de morts vivants quand au printemps 18, arrivèrent tout frais, tout beaux dans des uniformes si rutilants qu’on aurait dit des panoplies de gosses, arrivèrent 7 000 gaillards du Kansas. Aux salves de hourra et aux fraternelles accolades, l’accueil des Ricains porteurs d’espoir… Hélas, pas que l’espoir qu’ils semaient, mais le fatal virus… Les corps amoindris, poumons mités, ne résistèrent pas à l’infection, et la démobilisation répandit le désastre dans les populations guère plus fringantes après quatre ans de privations et de larmes. Le virus, identifié grâce à l’autopsie de cadavres gelés dans le Grand Nord, n’a plus jamais sévi.
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Assez! Trop crue, la morbide litanie, elle barbouille au noir le crâne le plus enragé à l’optimisme. Prenons garde, le lecteur doit être ménagé. Aux boniments, sa conquête! Je devrais donc patouiller la vérité, l’arrondir, la rendre présentable. Eh bien, tant pis pour le commerce, je préfère que le livre termine broyé au pilon plutôt que de le dénaturer à l’ignoble contrefaçon politicarde!
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