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Critiques de Marc Perelman (10)
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Le football, une peste émotionnelle : La barb..

Après ma grosse déception de la Mano Negra, c'est dans une brocante que j'ai déniché mon bonheur . le football, une peste émotionnelle, un livre écrit à quatre mains par Jean Marie Brohm et Marc Perelman.



Cette fois, je me suis régalée ! Ce livre est une mine d'informations des arcanes du milieu footballistique. Entre matchs truqués, dopage, agressivité, racisme, rien n'est épargné dans ce livre choc.



La guerre des crampons est lancée! Dans un espace clos de verdure, les joueurs se donnent à fond pour le plus grand plaisir d'une foule en délire et de leurs slogans : "Et un, et deux et trois zéro "! " On a gagné " "on est les champions" "la victoire est à nous ", l'idôlatrie du football joue là le rôle d'un mirage mystifiquateur ou d'un écran de fumée opaque derrière lequel se dissimulent les secrets honteux d'une honorable société qui empêche de percer à jour la véritable nature du football. Dissimulations des dessous de table, pots-de-vin, tractations occultes, évasions fiscales, fraudes en tous genres. Mais qu'importe ! Pourvu que le miroir aux allouettes attire une foule, qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse !



L'idôlaterie du ballon rond a encore de beaux jours devant elle et demeure une machinerie idéologique de manipulation, d'endoctrinement et de crétinisation des masses, une insdustrie de l'abrutissement au même titre que l'industrie de la musique, de la mode, d'émissions débiles pour la jeunesse.



Le but de ma critique n'est pas de pointer du doigt les adeptes de ce sport, il m'est arrivé de regarder quelques matchs télévisisés



Un livre passionnant pour ceux qui veulent connaitre la face cachée de " l'opium du peuple "
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2024 - Les Jeux olympiques n’ont pas eu lieu

Décortiquant la Charte olympique et les documents liants le Comité international olympique à ses partenaires, Marc Perelman décrypte ce qui s’avère être une idéologie autoritaire et plus soucieuse de profits que d’écologie, de santé publique, de respect des territoires, d’éducation, malgré des promesses vertueuses. Il analyse « le coeur du projet olympique et de ses valeurs, ainsi que les conséquences sociopolitiques sur nos territoires et dans nos vies ».

(...)

N’en doutons pas, cet ouvrage suscitera de nombreuses réactions. Il a l’immense mérite de pulvériser un discours dominant.




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Le football, une peste émotionnelle : La barb..

Jean-Marie Brohm et Marc Parelman, s'appuyant sur la Théorie critique de l’École de Frankfort, dévoilent la face caché de la réalité footballistique : corruptions, affairismes, arrangements, magouilles, tricheries, violences, dopages, xénophobie, racisme, complicités avec les régimes totalitaires ou policiers ne sont pas des « dérives » mais constituent la substance même du football spectacle et l’idolâtrie joue le rôle de l’écran de fumée derrière lequel se dissimulent ces secrets honteux.

« Le football spectacle n’est donc pas simplement un « jeu collectif », mais une politique d’encadrement pulsionnel des foules, un moyen de contrôle social, une intoxication idéologique qui sature tout l’espace public. »

Contrairement aux spécialistes de la division du travail idéologique qui cloisonnent les différents aspects, séparant les « bons » et les « mauvais » côté » du football, ils en restituent la totalité concrète.

(...)

Sous ses airs de pamphlets, cet ouvrage est bien un ouvrage scientifique, une enquête sociologique d'une grande rigueur.



Article complet sur le blog.
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Le Corbusier, zones d'ombre

L’autre face si peu radieuse des « cités radieuses »



En premier lieu, un bel objet (couverture, papier, mise en page). Les éditeurs/éditrices fournissent des explications en terme de coût et de prix du livre, de conception, de papiers et de typographies, de fabrication et d’impression. Cela reste très rare.



Dans sa préface Emmanuel Faye parle, entre autres, d’approche critique, d’éléments passés sous silence, des limites dans la comparaison entre Martin Heidegger et Le Corbusier, des possibles implications politique de la pensée de ce dernier dans son œuvre d’architecte et d’urbaniste, des critiques qui « se sont heurtés à tous ceux qui refusaient d’examiner la possible part d’ombre dans l’image de Le Corbusier », des réserves émises par Henri Lefebvre ou Pierre Francastel, des fascistes français et de Georges Valois, de l’impossibilité de « séparer, chez Le Corbusier, l’architecte et, l’urbaniste et l’écrivain », de conception normative de l’unité d’habitation, de ce qui défavorise « une sociabilité plus humaine » et des désastres que nous n’arrivons toujours pas à surmonter, de défense en philosophie du « principe de la libre recherche critique et de la discussion ouverte »…







Table des matières :



Préface Politiques de l’architecture : Le Corbusier en question,Emmanuel Faye, professeur de philosophie moderne et contemporaine à l’Université de Rouen (France).



La Cité française : Georges Valois, Le Corbusier et les théories fascistes de l’urbanisme,Mark Antliff, professeur d’histoire de l’art à l’Université Duke, Durham (États-Unis). Traduction de Claire Fargeot-Boll.



Le fantôme dans le complexe industriel urbain,Simone Brott, maître de conférences à la Queensland University of Technology, Brisbane (Australie). Traduction de Claire Fargeot- Boll.



L’affaire Le Corbusier par un de ses protagonistes, François Chaslin, architecte et critique d’architecture (France).



Le Corbusier et la sociologie, Jean-Pierre Frey, architecte, sociologue, professeur à l’Institut d’urbanisme de Paris (France).



Le Corbusier et les eugénistes, Xavier de Jarcy, journaliste et écrivain (France).



La cité ruineuse, Xavier de Jarcy, journaliste et écrivain (France).



Fascination cellulaire et obsession biologique dans La Ville radieuse,Marc Perelman, architecte de formation, professeur d’esthétique à l’Université Paris Nanterre (France).



Louis Chevrolet, Blaise Cendrars et Le Corbusier, Daniel de Roulet, architecte et écrivain (Suisse).



Anthropomorphisme : de Vitruve à Neufert, de la mesure de l’homme au module du fascisme, Frank Zöllner, professeur d’histoire de l’art à l’Université de Leipzig (Allemagne). Traduction de Pierre Rusch, à partir de la version allemande de l’article.



Index des noms et index des notions







Je n’aborde que certains thèmes traités. Je n’ai par ailleurs pas les compétences pour traiter de l’ensemble des analyses.



Les premiers articles reviennent sur des mouvements fascistes français et les affinités entre ceux-ci et Le Corbusier, l’idéologie « anti-matérialiste » et la « dématérialisation de la ville moderne » – « une cité éthérée, invisible, sans matière » -, les théories de Georges Sorel et de Georges Valois, la condamnation du « nomadisme », la cité-jardin « comme expression organique, corporative, de la volonté collective de la Cité française », les implications de l’architecte/urbaniste avec le fascisme, l’admiration envers Henri Ford, la modernité inséparable du bellicisme, les fantasmes de « régénérescence » et la valorisation des « élites », la ritournelle du « ni droite ni gauche », l’effacement ou la négation des contradictions, la « palingenèse mythique », les sources des idées réactionnaires…



Certain·es nient les « errances politiques » de personnalités alors que les preuves sont flagrantes, ou pour le dire comme François Chaslin : « La crapulerie et l’impunité de certaines institutions est sidérante »



Le Corbusier fait peu de cas des divers groupes sociaux et des usages différenciés de l’espace. Jean Pierre Frey insiste sur les voies de circulation, les véhicules, l’hygiène et leurs conséquences en terme de cités-dortoirs, déploiement des équipements scolaires ou hospitaliers ou la désertification des campagnes. Fonctionnalisme, dégagement, vitesse, rectitude, « La place et le temps perdus, la vacuité, le désordre et les errances du promeneur sont à bannir », la normalisation et la prolifération des flux dominent (comment ne pas faire une comparaison avec les moyens pour favoriser l’accélération de la circulation du capital). Il s’agit bien d’« appauvrir désespérément le cadre de vie des classes populaires déconsidérées et injustement délaissées ». A l’architecture extérieure s’ajoute le déshabillage du second œuvre et l’appauvrissement de la décoration. L’auteur parle de sérialisation homogénéisante des paysages, d’obsolescence programmée, du marketing du nouveau… sans oublier la réduction des coûts et des salaires de celleux qui construisent. Il aborde aussi l’intérêt de l’architecte pour « la biologie et ses portées médicales, hygiénistes ou même eugéniste » et le sinistre Alexis Carrel.



Ce dernier point est développé par Xavier de Jarcy. « Dans une confusion totale entre science et idéologie, le biologisme envahit la sociologie, l’histoire ou la philosophie ». L’auteur souligne que les frontières entre l’hygiénisme social et l’eugénisme sont floues. Il aborde, entre autres, la notion d’élevage reprise par Le Corbusier, la réduction du vivant au mécanique (et sa formulation dans « la machine à habiter »), la maternité comme service national pour les femmes, les implications racistes de la biotypologie, les conceptions organistes et évolutionnistes de l’architecture, la pyramide « des hiérarchies naturelles », les liens explicites fait par Le Corbusier entre « hygiénisme social, eugénisme et urbanisme », les conceptions de ce dernier sur l’« avenir de la race »…



J’ai particulièrement apprécié l’article de Marc Perelman, « Fascination cellulaire et obsession biologique dans La Ville radieuse », la proximité de Le Corbusier avec l’extrême droite fascisante voire fasciste, son admiration pour les dictateurs, « Son architecture et son urbanisme, en apparence pour tous, participent de fait d’une puissante idéologie qui exprime une « volonté abstraite de l’univers » ».



L’auteur analyse l’idéologie « disciplinaire, tyrannique et despotique » de Le Corbusier, l’hygiènisme radical de purification, une conception « biologiste » de la ville, des propos antisémites, une fascination pour la hiérarchie sociale et « une acceptation du caractère irréversible de la structure pyramidale de la société », un grand mépris des pauvres et des ouvrier·es, la matrice de construction de la ville nouvelle, la confrontation compétitive systématique des individus, la promotion de l’eugénisme. Il souligne, entre autres, le thème récurrent de la biologie, les effets de la « biologisation » de la ville qui rend « impossible toute transformation de celle-ci par les individus eux-mêmes », le fantasme d’un « métabolisme » contre les actions transformatrices démocratiquement choisies. « Tous ces thèmes récurrents autour de la cellule, une structure apolitique sont consubstantiels à un projet de société d’ordre »



La standardisation généralisée de la construction, la mathématisation et la géométrisation rigide de l’espace, l’ordre, l’ancrage cellulaire, la circulation permanente et la fluidité généralisée, la mort de la rue et des possibles errances… L’auteur ajoute de passionnants paragraphes en référence au Modulor, glorification du corps du mâle blanc, du corps viril…



Chacun·e pourra déguster les « privilèges de la fiction », le récit de Daniel de Roulet autour d’un Chevrolet qui vendit son nom et deux autres qui changèrent le leur, Blaise Cendras et Le Corbusier…



Le livre se conclut par un article autour de l’anthropomorphisme, « de la mesure de l’homme au module du fascisme »



Des regards lucides et pénétrants contre la mythification et la mystification.
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2024 - Les Jeux olympiques n’ont pas eu lieu

Alors que nous rentrons dans l’année olympique de Paris2024, lire cet ouvrage datant de 2021 me parait une nécessité.



En effet, l’auteur analyse les "valeurs der l'olympisme",le sport, les textes qui régissent les Jeux olympiques : charte olympique, les contrats qui lient les villes , états au CIO , etc

Il montre combien les discours politiques en particulier qui font la propagande des jeux, ne sont qu’idéologie et communication.

Ces discours promettent des « bénéfices » pour les organisateurs, les lieux et les populations où se dérouleront ces jeux olympiques; l’histoire des précédents jeux, montrent que ces promesses ne sont jamais tenues mais qu’au contraire les jeux laissent plus « d’inconvénients que de bénéfices ».



Le lecteur pourra au cours des prochains mois et jusqu’en fin juillet 2024, constater de lui-même ce qui est écrit dans ce livre et qui est très éloigné des discours officiels.



Le dernier chapitre montre que « glorifier » Pierre de Coubertin, notamment auprès des plus jeunes, n’est sans doute pas une bonne idée.

En effet, Pierre de Coubertin, certes le promoteur des jeux olympiques actuels, était aussi un homme de son temps : raciste, antiféministe, xénophobe, antisémite et colonialiste.

Pas sûr qu’il soit un modèle pour la jeunesse.
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Football, la défaite des intellectuels : Qata..

Eh bien oui, on ne se fera assurément pas que des amis, en saluant la parution de ce petit pamphlet - l'auteur du brûlot ne se fait, d'ailleurs, guère d'illusion sur son pouvoir d'influence, bien conscient que la dérive intellectuelle qu'il dénonce est désormais bien trop avancée pour ramener les esprits à la raison!-, la refonte d'un essai déjà publié et republié depuis l'année 2000, mais ici très utilement mis à jour dans le contexte du Mondial au Qatar... Marc Perelman, à qui l'on ne pourra, donc, reprocher d'être constant dans ses idées, analyse finement l'envoûtement bizarre frappant, depuis certaine victoire de l'Equipe de France en 1998, tout le milieu intellectuel national, de Patrick Boucheron à Jean-Philippe Toussaint, cette brusque passion pour le ballon rond, leur faisant oublier toutes les contingences politiques... Tandis qu'on dote le foot de mille vertus, les conditions de sa consommation, les marges parfois odieuses du spectacle sont méprisées, sinon gommées. Et parfois une certaine lâcheté, une grosse peur de s'écarter du consensus - comme celle qui saisit certains critiques littéraires à l'idée de ne pas applaudir, "avec tout le monde", le dernier Despentes...- balaie les dernières hésitations... Clamons avec la foule, offrons des jeux au peuple sans pain, et tant pis si les abords du stade sont trempés du sang de ses constructeurs, si sa clim et les avions pour s'y rendre vont à l'encontre des principes écologiques que l'on défend dans d'autres arènes! Un livre qui devrait apporter encore un peu plus d'arguments à ceux qui défendent le seul vrai boycott qui vaille face au Mondial du Qatar, celui du "Non, on n'y va pas", "on casse vraiment la mécanique de l'inacceptable". Ce qui n'empêche pas de pousser la baballe pour se maintenir en forme, sur des pelouses ou des trottoirs moins sordides...
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Smart stadium

Connexion permanente, réceptivité sensorielle et spectacle mondialisé



Les spectacles sportifs, les équipes de football, les supporters et leurs banderoles au « caractère souvent très poétique » ou « ces fins aphorismes venus des profondeurs des tribunes de stades » comme l’indique avec humour Marc Perelman.



L’auteur propose des analyses sur la modification induites par la numérisation des stades, la généralisation des smartphones ou tablettes, le passage du supporter au spectateur sous l’emprise numérique. Je garde ici les seuls termes au masculin, l’auteur n’interrogeant pas les éventuelles variations liées à au genre.



Marc Perelman détaille « la percée du numérique » dans les stades en France. Il met en rapport « la tendance technologique lourde actuelle » et les modifications du rôle, de la fonction de l’édifice « stade » et de son environnement.



Extension du champ des systèmes informatiques, nouvelles applications, partage sur les « réseaux sociaux », spectacle numérisé, intégration de l’image dans le stade… « Nous allons donc voir comment la vague numérique va sans aucun doute renouveler les modes de « supportérisme » au sein des stades. Mais aussi comment le numérique va radicalement transformer les rapports des individus entre eux au cœur d’une structure architecturée, le stade, et plus lointainement dans la ville, jusqu’aux appartements et autres lieux de résidence capables de recréer à une échelle beaucoup plus petite l’ambiance d’un stade ».



L’auteur analyse les développements de l’« e-sport », les tournois de jeux vidéo, la place du jeu vidéo dans l’« industrie culturelle », les enjeux financiers liés à la transformation des lieux de sport, l’industrie du BTP.



J’ai notamment apprécié les passages sur le « tout voir », la concentration visuelle, la gestuelle stéréotypée, l’objet de rêve, la ferveur « quasi religieuse », le « temps sportif », le passage du sport au « spectacle du sport », le pouvoir de la télévision et le rituel entre téléspectateur et image (qu’en est-il des téléspectatrices ?), les règles propres de la construction narrative et de l’esthétique des spectacles télévisuels, le « rendre visible l’invisible », l’association d’images réelles et virtuelles, les émotions captées, la réalité transformée ou augmentée, le stade reconfiguré par la télévision, la focalisation sur l’immédiat et l’instantané…



S’il me paraît juste de parler d’« emprise », celle-ci ne peut-être considérée comme « irrésistible », formant une « cage de fer » ou seulement une « servitude ». Aucun rapport social n’existe sans contradictions internes. Ce qui explique aussi que l’on peut les penser, les comprendre, les combattre. Je préfère les utilisations du concept de fétichisme (voir dans un autre cadre, Antoine Artous : Le fétichisme chez Marx – Le marxisme comme théorie critique)

Marc Perelman analyse les inquiétantes « mutations spatiales et temporelles du stade », les dispositifs de réseaux, la « numérisation de l’attention », les parcours, « le stade est déjà dans le parcours qui y mène », les processus d’individualisation et d’isolement, la visualisation des émotions, « l’agrégation émotionnelle des individus », l’esthétisation et les techniques, le stage augmenté et les véritables structures audiovisuelles connectées, « Le stade est en effet bien plus qu’un moyen et davantage qu’un instrument ou encore un outil », la dilatation du lieu et sa pénétration dans le tissu urbain…



Il insiste aussi sur les achats impulsifs, l’activation permanente du téléphone, la « laisse électronique », la vidéosurveillance, la surveillance « au stade 2.0 », la dissolution des espaces intimes et le « fétichisme de l’optique », la tolérance à ce qui serait jugé intolérable dans d’autres circonstances…



Que l’on partage ou non les différentes analyses proposées, un livre très utile contre la peste émotionnelle, la diffusion d’outils et de techniques renforçant la marchandisation ou l’individualisation fétichisée (ce qui ne dit rien sur les éventuelles possibilités d’autres usages ; mais cela implique, à mes yeux, une critique radicale de l’idée même de connexion en permanence), la démence financière ou les aberrations technologiques et leur esthétisation…
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Le sport barbare : Critique d'un fléau mondial

La thèse est intéressante et originale : on entend peu de voix s'élever contre les discours positifs sur le sport. Toutefois, les idées avancées par l'auteur, comme celle des liens entre sport et la domination capitaliste, sont parfois mal étayées par des arguments et des faits.
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Le sport barbare : Critique d'un fléau mondial

Cet essai interroge le sport dans son rapport à la société : le phénomène de sa mondialisation, sa massification, sa médiatisation, son idéalisation voire sa religiosité ainsi que les effets qui en découlent : addiction et dopage, sexualité et sport, sport assimilé à un « projet de société ». Voici une édition entièrement refondue avec actualisation régulière des rubriques sur le site internet de l’auteur ayant déjà signé plusieurs documents sur la question du sport, notamment sur le football et les stades. Ici, il nous livre un manifeste contre ce qu'est devenu selon lui, le sport. D’entrée de jeu, l’auteur assume sa position critique et polémique avec les deux mots-clefs du titre, fléau et barbare.



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Lien : http://www.dev.scienceenlivr..
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Le livre au corps

Le troisième volume d'une trilogie consacrée au corps du livre, notamment dans sa fonction de mode d'éducation du corps du lecteur.


Lien : http://www.nonfiction.fr/art..
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