Je connais bien ces jeunes filles d'une sensibilité hors du commun. Il ne sert à rien de les forcer : elles sont incapable d'accepter une réalité charnelle. Quand bien même elles auront consommé leur nuit de noces, on les retrouvera vite accrochées à une suspension ou dans le coma sous un rosier, après avoir avalé toutes les pilules qui traînaient chez elles.