Ils avaient ceci de commun tous les trois, qu'ils étaient doué d'un grand appétit. Le fils et Marcelle parce qu'ils vivaient dans une demie famine constante. La mère parce que, jeune, elle avait eu des appétits de pouvoir et de puissance jamais satisfaits et qu'il lui restait cette démesure là, ce grand appétit vengeur de toute nourriture.