Il y a deux ou trois ans, j’ai trouvé des brouillons de ces lettres qu’elle écrivait aux journaux de Versailles. C’était à peine lisible, criblé de fautes d’orthographe. Je les ai jetés au feu.
- De quoi s’agissait-il ?
- J’ai à peine lu. Je me souviens d’une seule. Elle demandait des conseils pour le jardin, oui, pour la menthe anglaise, elle demandait comment la garder dans la maison, l’hiver. La menthe elle écrivait ça comme amante, un amant, une amante. Et « anglaise », « en glaise », comme « en terre », « en sable ».