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Critiques de Marie Ferrarella (17)
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Grand amour : La promesse du bonheur - Séduit..

Le livre regroupe 3 romans :



1. La promesse du bonheur



J'ai passé un bon moment avec cette romance toute en douceur qui tire même très, très légèrement vers le mélo. Les deux personnages principaux sont attachants, chacun tentant de surmonter les blessures du passé (elle est veuve, il se remet d'un terrible accident). L'intrigue reste très classique, ce qui n'est pas pour me déplaire pas en fait.

Il n'y a pas grand-chose de plus à dire sur ce court roman qui m'a permis d'occuper agréablement quelques heures…





2. Séduite malgré elle



L'histoire se déroule en Sicile et c'est une information importante puisque cela explique en grande partie le cratère du héros, un macho italien qui entend bien imposer sa volonté, même à la femme dont il a fini par tomber amoureux sans trop s'en rendre compte alors qu'il pensait entretenir une relation purement physique. Il refuse d'admettre que quoi que ce soit ait pu changer, que la jeune femme désire plus qu'une liaison, etc.

Le plus gros du récit repose sur cette opposition entre les deux personnages : elle qui refuse de poursuivre une relation sans avenir, lui qui tient à la garder sous la main même s'il ne veut pas s'engager davantage. Et puis tout se résout d'un coup de baguette magique : une grossesse inespérée pour la jeune femme qui se pensait stérile, et lorsqu'il l'apprend enfin il est plus déterminé que jamais à épouser celle qu'il aime en fin de compte.

C'est une lecture facile, mais pas vraiment satisfaisante...





3. Un amour infini



Et nous voici avec l'histoire de la troisième veuve du recueil…

Le début de l'histoire ne m'enthousiasmait pas tellement, mais une fois que les deux héros, Lori et Carson, ont commencé à se rapprocher (et à se chamailler) je me suis prise au jeu. Les dialogues sont amusants et ils apportent un peu de piquant à une romance qui aurait pu manquer de légèreté sinon (elle est fraîchement veuve et enceinte, il est divorcé et en garde beaucoup d'amertume).

C'est une lecture sympathique même si certains aspects de l'intrigue manquent sans doute un peu de réalisme...



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L'île des mystères / Une troublante mission

Deux histoires fort différentes ayant pour point commun un héros endeuillé : voilà à quoi vous attendre dans ce recueil pour le moins inégal.



Mais que diable s'est-il donc passé chez Harlequin en 2011 pour que l'éditeur choisisse de traduire, pas moins de seize (!!!) ans après sa sortie en VO, une purge pareille ?! C'est la question que je me suis posée après avoir enduré seulement une cinquantaine de pages de L'île des mystères tant rien, mais alors rien ne va.

Le premier contact n'est pourtant pas si catastrophique, bien que le prologue lève d'emblée tout suspense concernant le seul « mystère » qu'il aurait pu y avoir dans cette histoire. Tout au plus note-t-on une légère tendance des dialogues à partir dans tous les sens, une imprécision dans les descriptions, un côté très décousu dans la narration, donnant l'impression d'avoir affaire à un premier jet, au travail d'une autrice débutante ou à une traduction complètement foireuse. Difficile de faire la lumière sur ce point, le livre étant tout de même paru en 1995 en version originale. Une chose est sûre, Gayle Wilson en a écrit bien d'autres après celui-ci, titré « Echoes in the dark » outre-Atlantique.

Le vrai souci, c'est que les choses ne s'arrangent pas. Les personnages se comportent la plupart du temps de façon totalement incohérente voire tout simplement incompréhensible, comme lorsque l'un d'entre eux, en plein repas tranquille, balance son assiette sur un mur. Ou qu'après avoir commencé à se battre à coups de poings, les protagonistes en viennent à faire des galipettes sans transition. Et tout ça, bien sûr, en complément des problèmes narratifs déjà mentionnés plus haut. Rarement je n'aurai autant levé les yeux ni soupiré en lisant un livre tant ici, tout est mal ficelé ! Même les quelques rebondissements ne parviennent pas à remonter la barre, s'avérant soit aussi peu crédibles que le reste (tomber en pleine mer pendant un orage tropical, en général, ça laisse assez peu de chances de survie, alors parvenir à nager tranquillou au pif jusqu'à une île... sérieusement ?), soit, une fois de plus, mal foutus, alors même que l'autrice était (enfin !!!) parvenue à instiller une pointe de suspense dans son histoire.

Certes, la cécité du héros est bien traitée, sans tomber dans la caricature, et le récit devient un tout petit peu moins mauvais dans le dernier quart (une fois qu'il n'y a plus de pseudo-mystères et d'absurdités dans tous les coins), donnant même au roman une conclusion plutôt travaillée, mais il est bien trop tard : L'île des mystères se place aisément dans mon flop 3 des pires Harlequin à être passés entre mes mains. (2/10)



Malgré un départ sur les chapeaux de roues, Une troublante mission n'est pas vraiment un romantic suspense : ni polar, ni thriller, ni mystère, ni tension ici, il s'agit tout simplement d'une romance contemporaine ayant pour protagonistes un juge et une flic se retrouvant coincés ensemble par la force des choses, comme des centaines d'autres couples l'ont été tout au long de l'histoire de la romance à cause de la neige, de tempêtes ou autres prétextes. Ce qui ne veut pas dire que le roman est mauvais, loin de là : il s'agit même du meilleur Marie Ferrarella que j'ai lu à ce jour. Et, une fois de plus, le résumé se trouve être à côté de la plaque, Blake n'étant en rien le connard misogyne que la quatrième de couverture laissait croire.

Point d'enquête, donc. Ce sont les collègues de Gail qui courent après le criminel en cavale et lui donnent quelques nouvelles de temps en temps. Son rôle à elle est à 100% celui d'un garde du corps, consistant à coller aux basques de Blake vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Pas de coup de foudre instantané ni de romance précipitée au menu : les personnages se connaissent déjà à cause de circonstances particulièrement difficiles et si, au fil des pages, une certaine attirance réciproque se développe, l'autrice a très bien géré le rythme de son histoire. Celle-ci possède finalement un côté très tranche-de-vie, où l'on suit le quotidien et les dialogues pleins de malice de Gail, Blake, et Alexander, le père septuagénaire de celui-ci, encore vingtenaire dans sa tête. Clairement, Gunny (ne l'appelez surtout pas « Monsieur Kincannon » au risque de le vexer), petit vieux sympathique et faussement relou, mais jamais sérieux, a un sacré caractère, pas sa langue dans sa poche et illumine le récit d'un bout à l'autre.

L'histoire bénéficie donc d'un certain équilibre entre les dialogues finement ciselés, la progression de la romance, et de petits rappels ponctuels qu'un baron de la drogue revanchard traîne quelque part dehors. Certes, on pourra toujours arguer que cet aspect-là est hyper léger, ou regretter la longue ellipse de trois semaines, mais reste que c'est bien troussé, que la lecture est fluide et que l'on ne s'ennuie à aucun moment. Une très bonne histoire, qui ne sort certes pas du lot, mais se lit avec plaisir. (7/10)



En fin de compte, heureusement que j'ai acquis ce recueil d'occasion et pour pas trop cher. Une troublante mission vaut quand même le coup d'être découvert mais a été réédité en français en 2016 et, au vu de la bouse monumentale qu'est L'île des mystères, je ne peux que vous encourager à vous procurer la seconde édition. En l'état actuel des choses, j'arrondis exceptionnellement la moyenne des deux notes à l'entier supérieur, mais c'est bien à cause de Gunny !
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Mariés par convenance - Conquise par un cow-boy

Généralement, Harlequin Fr s'arrangent à coller ensemble des romans ayant un minimum de points communs dans leurs recueils. Mais ici, tout sépare Lana et Kal, « meilleurs amis » à Hawaii, de Chloé et Chance, employés dans un ranch.



N'ayant pas conservé le recueil VF mais récupéré « Mariés par convenance » en tome simple VO, la critique se trouve désormais sur la fiche de celui-ci : https://www.babelio.com/livres/Laurence-The-Baby-Proposal/1262803/critiques/2370324

(8/10)



A l'inverse, « Conquise par un cow-boy » accumule les poncifs d'un bout à l'autre, au point que la lecture m'a carrément énervé à plusieurs reprises. le coup de foudre instantané, c'est mignon, même si l'héroïne pensait à son mari décédé environ deux secondes avant. Que l'héroïne en question fasse partie de ces psys insupportables qui décortiquent l'attitude de toutes les personnes qu'elle croise sans leur avoir demandé leur avis, c'est beaucoup plus crispant, d'autant qu'elle-même traîne son lot de casseroles. Mais quand le cow-boy ET certains des ados en difficulté dont elle s'occupe se montrent plus perspicaces qu'elle, ça vous donne une idée du niveau. Bref, Chloé, est juste une héroïne irritante au possible tandis qu'en face, Chance manque un peu de charisme et surtout d'épaisseur. C'est un ancien soldat, il a eu du mal à se remettre de ce qu'il a vécu... et c'est tout. Paf, il rencontre Chloé et d'un coup tout va bien !

Le point le plus développé de l'intrigue, c'est sans aucun doute les leçons d'équitation que donne Chance à Chloé (de force, parce qu'apparemment, être née au Texas et ne pas savoir monter, c'est tellement la grosse honte qu'il faut impérativement y remédier). Paradoxalement, leur histoire n'est pas très creusée, on a surtout droit à des moments-clés comme la rencontre, le premier bisou, les folies dans les bois et surtout... la rupture qui sort de nulle part parce que Chance « est trop parfait et que c'est louche ». Gné ? Chloé, pourquoi tu fais ça ? Genre, tout va bien, pourquoi tu t'inventes des problèmes, là, comme ça ? Bref, on n'y croit pas une seconde et la façon dont tout ça se résout ne vaut guère mieux.

A côté de ça, les autres thèmes abordés dans l'intrigue, comme l'intégration à une grande famille tout juste découverte ou la réinsertion des adolescents à problèmes, ne sont que survolés de très loin.

Bilan : il n'y a pas grand-chose à sauver là-dedans, hormis peut-être l'ambiance western assez sympa. (4/10)



Comme je déteste quand on roman coup de coeur en côtoie un mauvais dans un recueil ! Surtout quand l'enthousiasme déclenché par le premier est douché dès le lendemain par le second...
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Une sulfureuse rencontre

En toute honnêteté, je ne suis pas franchement convaincue par cette histoire. Elle est assez clichée et pas vraiment originale : bien sûr, les détails changent mais la trame est semblable à plusieurs autres livres lus chez l'éditeur. Cependant, il faut reconnaître que le livre est passé tout seul, comme ces téléfilms qui passent l'après-midi à la télé et qui ont des scénarios similaires.

En fait, dès que Wendy et Marco se rencontrent, l'on sent tout de suite comment ça va se finir (bon, faut dire aussi qu'il n'y a pas de suspense puisque même le résumé le dit !). Et, justement, la rencontre se fait dans le tout premier paragraphe du livre. La question qui reste donc en suspense est "Comment ?". Et, pour découvrir ça il va nous falloir le reste du livre ou presque.

Cependant, il est vrai aussi que, de temps en temps, une lecture comme celle-ci fait du bien : pas de réflexion, pas d'identification, ça repose... et ça évite de prendre les choses trop à cœur. Prendre de la distance, c'est aussi apprécier différemment et, ça, c'est plutôt chouette.

Bon, au fond, Une rencontre sulfureuse est un jeu de chat et de souris qui n'est pas vraiment reposant et qui m'a fait quand même prendre un chouilla les choses à cœur : j'ai râlé pendant un bon moment sur Wendy et Marco qui avait un peu trop tendance à se comporter comme des enfants à mon goût.



En soit, j'ai plutôt bien aimé les deux personnages. Wendy est du genre riche héritière désillusionnée, qui a l'impression de ne pas compter pour sa famille et de les décevoir constamment. J'ai trouvé intéressant qu'elle se trouve un talent dans la patisserie et que cela touche sa famille : pour le coup, ce n'est pas vraiment cliché. Malheureusement, je connais peu de personnes aisées qui seraient ravies d'apprendre que leur gamin se tourne vers une voie manuelle (faut dire que ça le fait moins pour crâner en société... pfff !).

Marco lui, est davantage dans le jugement : il connait la valeur du travail, de son travail... et s'imagine que Wendy ignore tout de cela. Cette réaction ne l'a pas vraiment rendu sympathique à mes yeux dans un premier temps mais, il a su bien se rattraper par la suite !



Jusqu'à présent, je n'avais pas encore eu l'occasion de lire un roman de Marie FERRARELLA. Ce n'est clairement pas ma lecture de l'année mais j'ai tout de même apprécié cette lecture et passé un bon moment. Alors oui, c'est déjà-vu et cliché mais ça fait du bien aussi !
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
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Quand le risque nous rapproche - L'empreint..

Êtes-vous plutôt famille de flics ou famille de détectives ? Avec ce recueil, pas besoin de choisir, Noelle et Scarlett se trouvant toutes les deux projetées au sein des tribus de leurs soupirants.



« Quand le risque nous rapproche » porte plutôt mal son nom : en effet, on a ici affaire à un pur polar, où, du début à la fin, aucun danger ne vient menacer les personnages. Enfin, polar, polar, c'est vite dit : si les héros sont bel et bien flics, on les voit davantage blablater qu'agir. On arrive ainsi au quart du bouquin, puis à la moitié, sans qu'il ne se soit passé quoi que ce soit ! Pendant ce temps, on assiste donc aux échanges de piques entre Noelle et Duncan, ainsi qu'à leur rapprochement. Si l'on ne peut pas reprocher aux dialogues leur côté réaliste, avec cette façon de sauter du coq à l'âne avant de revenir aux moutons, il faut tout de même avouer qu'on s'ennuie. Découvrir leurs vies de famille diamétralement opposées – la première ayant été élevée par sa grand-mère après avoir été délaissée par ses parents, le second étant issu d'une famille ultra nombreuse –, c'est bien beau, mais on n'est pas vraiment là pour ça.

Il faut finalement attendre le dernier quart du récit pour que l'histoire s'emballe enfin un peu et se concentre sur l'essentiel, à savoir l'enquête. le problème, c'est que l'on avait deviné l'identité du responsable dès la page 2. Et que l'affaire est bouclée très facilement, en deux temps trois mouvements. Sans oublier la conclusion ultra expédiée...

Bref, « Quand le risque nous rapproche » mérite à peine l'étiquette de romantic suspense, la romance dominant largement le récit. Pourtant, il y a là de bonnes idées : le fait que les héros soient à la brigade des moeurs change un peu, leur rayon d'action étant à l'origine celui des fraudes et autres arnaques et non les meurtres. Leur enquête s'en trouve ainsi ralentie à plus d'une reprise ! Et puis, reste le point fort du récit : Lucy, cette dame de quatre-vingt ans (ne dites pas « vieille »), qui en a vingt dans sa tête. La truculente grand-mère n'a pas la langue – ni les yeux – dans sa poche et donne véritablement tout son charme à une histoire qui serait sinon bien fade.

Reste que tout ça n'est franchement pas palpitant... (4/10)



« L'empreinte de la vérité » commençait mieux, avec une héroïne accusée de meurtre et jetée en prison dès les premières pages. Certes, l'émoi dont font preuve les protagonistes en se recroisant après toutes ces années semble un poil exagéré, mais l'histoire semble plus prometteuse que la précédente. Et puis patatras, on déchante aussi sec. C'est dommage, car, cette fois, le côté thriller est bel et bien là, avec un tueur tapi dans l'ombre et bien décidé à en faire baver au maximum au petit couple qui se retrouve. le problème, c'est ça : Grant et Scarlett ne se sont pas vus pendant dix ans, leurs sentiments sont intacts... pourquoi Cynthia Eden a-t-elle inutilement compliqué les choses en y rajoutant une interminable et surtout très redondante couche de blabla, insistant lourdement sur le côté potentiellement-dangereux-mais-en-fait-non de Grant ou les cachotteries de Scarlett (alors que celles-ci n'ont rien de particulier et surtout que deux secondes avant, la jeune femme a promis de ne rien dissimuler) ? Ça plombe complètement le rythme de l'histoire, pourtant plutôt mouvementée à côté de ça, d'autant que si l'on a rapidement des soupçons sur l'identité du coupable, l'autrice brouille assez habilement les pistes jusqu'à la fin. On a des doutes, oui, mais ceux-ci ne seront confirmés qu'en temps et en heure.

On appréciera aussi certains des personnages secondaires, comme Ava, la soeur traumatisée après avoir assisté au meurtre de ses parents. Dommage que les autres, comme les jumeaux, ne soient qu'à peine esquissés : on se retrouve ainsi avec une foule de protagonistes pas forcément toujours utiles au récit.

Mais le plus dommage, c'est indéniablement que le dénouement de l'intrigue soit aussi brouillon : entre la narration confuse et un côté « cherche pas, c'est magique » qui aurait pu facilement être évité, cette fin achève de donner un goût amer à l'histoire. (4/10)



Bref, sans être complètement mauvais, ce recueil est de très loin le moins bon des Black Rose que j'ai lus jusqu'à présent, avec deux histoires souffrant d'importants problèmes de rythme, la faute à une concentration élevée de blabla n'apportant rien du tout. Autant passer son chemin, dans le même genre, il y a bien plus réussi dans la collection.
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Un rival bien trop séduisant - Le venin du do..

C'est suite à une erreur de commande que j'ai reçu Un rival bien trop séduisant / Le venin du doute / L'héritière menacée, un titre sorti en Février dont les résumés n'avaient pas su me convaincre. L'éditeur m'ayant dit de le conserver, j'ai donc décidé de le lire sans tarder, par pure curiosité. Et bien m'en a pris, tant deux des histoires valent le coup.



« Un rival bien trop séduisant » commence plutôt pas mal, très axé sur le début de l'enquête qui réunira puis monopolisera ensuite toute l'attention du duo de choc formé par Taylor, flic, fille et soeur de flics, et Laredo, détective privé. Ou pas. Car rapidement, on se rend compte que les investigations passent bien après les constants échanges de piques entre les deux protagonistes, tiraillés par leur attirance mutuelle dès la première seconde. Côté Taylor, c'est « qui aime bien châtie bien ». Laredo lui plaît au moins autant qu'il l'agace, mais pour nous, lecteurs, c'est surtout l'énervement qui ressort ! L'ambiance demeure électrique presque tout au long du récit, et si c'est ce qui fait en partie son charme, c'est néanmoins très rapidement lourd. Parce que pendant ce temps-là, côté recherches, ça avance à deux à l'heure.

Clairement, le côté polar n'est ici rien de plus qu'un décor. L'intrigue se veut assez linéaire et calme, mais à défauts de vrais rebondissements, on a tout de même droit à quelques évènements judicieusement placés qui relancent toujours l'enquête avant que les chamailleries de Taylor et Laredo n'arrivent à nous gonfler. C'est à peu près aussi palpitant qu'un feuilleton de l'après-midi sur TF1, mais la plume maîtrisée de Marie Ferrarella fait que l'on ne s'ennuie jamais.

Reste le dénouement, un peu facile et précipité. L'enquête se résout pour ainsi dire toute seule, et le développement de la relation entre les héros, jusque-là très progressif, s'emballe tout à coup de façon bien peu crédible.

Si l'on oscille donc entre le « sympa » et le « mouais » durant la plus grande partie de l'histoire, c'est donc malheureusement sur un sentiment mitigé qu'on la referme... (5/10)



« Le venin du doute » met là encore en scène une policière et un enquêteur indépendant. Mais cette fois, pour l'un comme pour l'autre, les investigations sont une affaire personnelle : la soeur de Natalie et la femme de J.D ont toutes deux été tuées de manière similaire... à douze ans d'intervalle. Tueur en série, copycat ou coïncidence ? Si leurs avis divergent, ils sont l'un comme l'autre bien décidés à découvrir ce qu'il en est.

Contrairement à la première histoire du recueil, ici, l'aspect sentimental s'avère discret d'un bout à l'autre. Il faut dire que si J.D traque toujours le meurtrier de sa femme après tout ce temps, c'est qu'il n'est pas prêt à tourner la page, malgré que Natalie lui plaise. Celle-ci, de son côté, sait à quoi s'en tenir avec lui...

C'est donc bel et bien la quête de réponses qui occupe le devant de la scène. Les deux enquêteurs vont devoir faire le lien entre affaires passes et présentes pour remonter la piste du tueur, avant que celui-ci ne frappe de nouveau. Car, qu'il s'agisse de son beau-frère comme Natalie le soupçonne, ou de quelqu'un d'autre comme le pense J.D, l'important, c'est bel et bien de le coincer.

Pendant un peu plus de deux-cent pages, on suit donc ce qui commence comme un bon policier, avant de basculer vers le thriller sitôt que le danger menace les deux fouineurs. Pas vraiment de rebondissements ni de fausses pistes ici, plutôt un mystère soigneusement entretenu, des découvertes logiques et des déductions progressives. On ne s'ennuie à aucun moment, pas plus que l'on n'arrive à vraiment deviner la vérité... Tout au plus regrettera-t-on que la tout dernière partie de l'histoire, qui bascule carrément dans l'action et le suspense, paraisse un peu de trop, reliée de façon assez mince à l'intrigue principale. Mais, là encore, c'est réussi et haletant. Même les passages ayant trait à la famille de J.D (père de deux grands enfants) sont bien intégrés à l'histoire. le personnage de Mike, son fils cadet, est même franchement attachant.

L'unique bémol vient peut-être de cette fameuse famille Cooper aux ramifications compliquées, qui participe de façon indirecte tout au long de l'histoire, avant de débarquer d'un seul coup comme une vague. On se retrouve avec une foule de frères, de cousins, de noms, de couples déjà formés, avec la très nette impression de lire le dernier tome d'une série et d'avoir loupé pas mal de trucs. Mais bon, à défaut de vraiment suivre qui fait quoi, les évènements restent compréhensibles.

Le venin du doute est donc une excellente surprise avec son intrigue bien ficelée, une tension grandissante, des personnages endeuillés crédibles et un aspect sentimental qui prend ça en compte. (8/10)



Avec « L'héritière menacée », on bascule définitivement dans le thriller et l'action ! Pour avoir commis l'erreur de se laisser séduire par homme plus que louche, Jenna se retrouve non seulement avec un bébé, mais surtout un tueur lancé à ses trousses. Ajoutez à ça l'entourage de son ex bien décidé à savoir s'il est oui au non le père de sa fille afin de protéger leurs propres intérêts, et vous obtenez une situation explosive, dont la jeune femme serait incapable de se sortir sans l'aide de l'agent spécial l'ayant secourue un an plus tôt.

Ici, la narration fait la part belle au suspense. Si la majeure partie de l'intrigue se déroule en huis-clos, on ne s'ennuie pas une seconde en suivant les investigations de Cal pour découvrir qui tire les ficelles dans l'ombre, tout en protégeant Jenna et sa fille. Bidouilles informatiques, micros, balises GPS, fusillades, course-poursuite sur l'autoroute, identification d'une taupe : la tension est permanente et l'ombre du tueur plane à chaque instant ! Un véritable régal.

Côté sentimental, le bilan est plus mitigé, notamment parce que s'il est léger, le développement de la romance n'en apparaît que plus rapide. On ne quitte pas les personnages d'une semelle d'un bout à l'autre de l'histoire (celle-ci ne se déroulant que sur trois jours), assistant donc à l'intégralité de leurs échanges. Et l'on se demande bien comment deux personnes qui se connaissent à peine (ayant certes failli mourir plusieurs fois ensemble...) peuvent en venir à s'engager aussi vite.

Mais s'arrêter à ça serait oublier les scènes d'action maîtrisées qui parsèment le roman, dont une de 24 pages (!!!) haletante d'un bout à l'autre. Clairement, on ne s'attend pas à découvrir des fusillades dignes d'un Cussler quand on lit un Harlequin, et pourtant, on y a droit ici ! « L'héritière menacée » est ainsi l'histoire la plus prenante du recueil, malgré ses petits défauts. (7/10)
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Mariage à Hawaï : Coup de foudre à Hawaii / Nouve..

Trois histoires aussi sublime les une que les autres, si on veux passer un bon moment , c'est le livre à lire.

Merci au auteur pour ce superbe moment.
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Un héros pour elles - Leçon de séduction

2 histoires qui se lisent très facilement.

La première : une jeune femme, Jeannie, qui doit s’occuper de sa nièce après la mort de sa sœur. Robert, un client du bar ou Jeannie exerce, va l’aider à s’occuper de ce bébé.

La deuxième : une institutrice, Wyloma, qui veut à tout prix aider un de ses élèves, rencontre Clint, le père du jeune et souhaite le sauver.



Roman sans prétention, qui se lit facilement. Je recommande
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L'enfant surprise du cheikh - Pour toujours..

Les récits rassemblés dans les recueils Harlequin ont souvent un point commun, selon les cas plus ou moins facile à trouver. Ici, il faut attendre la dernière histoire pour enfin mettre le doigt dessus : la méfiance ! Chacun pour des raisons qui leur sont propres, certains des protagonistes sont en effet ici très réticents à l'idée d'ouvrir leur cœur !



Ne vous fiez pas à son titre, « L'enfant surprise du cheikh » n'est *pas* une romance orientale. L'intégralité de l'histoire se passe en effet dans une petite ville rurale du Texas posée au milieu d'immenses pâturages. Embarquement immédiat pour la campagne !

Au ranch Double M, c'est notre héroïne, Violet, la patronne. Une authentique cow-girl aimant sa vie ici plus que tout, mais qui étouffe, surprotégée par son frère au point de ne pas avoir de vie privée. Voilà comment un soir, elle se retrouve dans la ville voisine à flirter avec un étranger... Ce que tous deux ignorent, c'est que le bel inconnu n'est autre qu'un ancien ami de son frère venu pour se venger. Il faut dire que si découvrir sa sœur dans le lit de son meilleur pote fait déjà rarement plaisir, quand la sœur en question est une princesse, ça n'est pas sans causer quelques problèmes et leur père a fait payer très cher à Rafiq son incapacité à chaperonner sa sœur.

Mais comme la vie est une grosse blagueuse, un incident de capote plus tard, voilà Violet enceinte. De quoi compliquer sérieusement les plans de Rafe, qui n'a pas envie d'impliquer la jeune femme et encore moins leur enfant dans ses histoires.

La narration alterne entre le point de vue de Violet, totalement paumée suite à la découverte de sa grossesse et de l'identité du père de son bébé, avec celui de Rafe, tiraillé entre son attirance pour la jeune femme et le besoin d'aller au bout de sa vengeance longuement mûrie. Si la première, ignorant tout des intentions réelles du second, s'inquiète surtout de leur différence de milieu social, du gouffre culturel qui les sépare, tout en souhaitant plus que jamais prendre son indépendance vis à vis de son frère, Rafiq, lui, se retrouve à devoir gérer des sentiments imprévus et vouloir le beurre et l'argent du beurre. Autrement dit ruiner Mac et le reste de la ville avec lui, mais si possible sans blesser Violet. Des objectifs à priori contradictoires, qui ne lui facilitent pas la vie.

Le tout s'articule autour des secrets de chacun, à savoir ceux de Violet envers son frère et de Rafe envers le duo, ainsi que de l'acquisition du Wild Aces, le ranch voisin du Double M qui les pourvoie en eau. Vous vous en doutez, avec autant de cachotteries dans tous les coins, la vérité finit forcément par éclater, et au plus mauvais moment possible...

Assez court, le roman se déroule sur quelques jours et s'avère finalement assez linéaire. Il n'y a pas vraiment de développement de la romance ici, Violet et Rafe en pinçant toujours l'un pour l'autre quatre mois après leur aventure d'un soir. Néanmoins, Sarah M. Anderson parvient à rendre leur histoire crédible, transformant leur attirance en quelque chose de plus solide. L'intrigue se veut assez pauvre en rebondissements et prévisible d'un bout à l'autre, mais se suit sans déplaisir, notamment grâce à l'alternance de la narration et un bon dosage de son rythme. Tout au plus trouvera-t-on la fin rapide et un peu too much, surtout compte tenu du fait que ces deux-là se connaissent depuis quoi, moins d'une semaine ? Mais bon, après autant de montagnes russes émotionnelles et vu les enjeux, pourquoi pas. On a déjà vu bien plus capillotracté que ça.

Au final, « L'enfant surprise du cheikh » fait passer un bon moment, avec le cerveau sur la table de chevet certes, mais sans longueurs et en développant suffisamment ses personnages. (6/10)



Dans « Pour toujours à ses côtés », trois vieilles dames qui ne savent pas trop quoi faire de leur temps libre ont pour passe-temps de jouer les entremetteuses. Et pourquoi ne pas précipiter dans les bras l'un de l'autre la jolie veuve bénévole au foyer des femmes SDF et un médecin du coin ignorant jusqu'au concept de « vie personnelle en dehors du travail » ? Allez hop, ça tombe bien, les pensionnaires du foyer auraient grand besoin d'un toubib.

Autant le dire tout de suite, le résumé de quatrième de couverture est, une fois de plus, totalement à côté de la plaque. Si Mitch ressent effectivement une attirance marquée la première fois qu'il pose les yeux sur Melanie, on échappe au dérapage immédiat. Véritable handicapé social, son unique intérêt dans la vie est la pratique de la médecine. Même communiquer avec ses patients lui pose problème ! En face, Melanie, elle, se noie dans le bénévolat pour éviter de penser au décès tragique de son fiancé. La thématique du deuil n'est néanmoins pas vraiment présente dans l'histoire ; la jeune femme se pose certes des questions et hésite en toute logique à se lancer dans une nouvelle relation, mais ce n'est pas ça qui ralentit l'histoire.

Car, hélas, celle-ci est effectivement leeeeeeente et il ne s'y passe pas grand-chose. Le récit n'est pas sans posséder un petit côté tranche-de-vie, s'articulant entièrement autour du foyer et de la situation des femmes qui y vivent, même si le tout est très survolé et évoqué uniquement à travers les deux protagonistes principaux. Il n'y a même qu'un seul véritable personnage secondaire, à être un minimum travaillé ! Enfin, si Melanie est particulièrement bien écrite, fragilisée mais sans tomber dans l'exagération, difficile de s'attacher au docteur froidasse, certes réussi dans son rôle d'ermite mais vraiment trop glacial pour qu'on s'y attache. le temps qu'il sorte un peu de sa coquille, il est vraiment trop tard.

Bref, pendant les trois quarts du roman, on s'ennuie un peu beaucoup quand même. Puis un rebondissement vient un peu secouer l'histoire... Le problème, c'est que l'émotion est aux abonnés absents tant le tout sonne trop téléphoné. A partir de là, les clichés s'enchaînent, jusqu'à un dénouement qui apparaît d'autant plus rapide comparé au rythme des évènements jusque-là...

Bref, malgré de bonnes idées, le cadre du foyer et la présence lumineuse de la petite April, cette romance médicale s'avère trop plate pour susciter le moindre intérêt. Dommage. (4/10)



Mais comment se débarrasser de son ex-femme ultra-collante, qui n'en a qu'après son portefeuille ? Tel est le problème de Max, le héros de « Bien plus qu'une nuit ». Et comme Max est certes riche, mais pas spécialement futé, il ne trouve rien de mieux à faire que de demander son aide à... Jeanine, son coup d'un soir. Un stratagème ne plaisant pas spécialement à la jeune femme, mais qu'elle n'est pas en mesure de refuser, ayant elle-même été arnaquée par son ex-fiancé.

Dans les grandes lignes, niveau scénario, c'est plus ou moins exactement ce à quoi vous vous attendez. Mais dans le détail, Maureen Child est parvenue à éviter les facilités inhérentes à ce type d'histoire. Si le début pouvait le laisser redouter, non, Jeanine et Max ne tombent pas comme par magie dans les bras l'un de l'autre ; c'est même tout l'inverse : chat échaudé craint l'eau froide ! En revanche, on regrettera que l'intrigue finisse par s'éloigner des enjeux initiaux, ainsi que certains rebondissements trop gros pour être crédibles... Le rythme est également assez lent, et l'atmosphère de vacances pourtant voulue aux abonnés absents... L'évocation régulière de la plage et de l'odeur des fleurs ne suffit hélas pas à poser un décor ! Néanmoins, le récit se suit avec plaisir, notamment grâce aux dialogues ciselés et souvent drôles. Qu'il s'agisse des échanges de piques entre Jeanine et Elizabeth ou des dialogues hilarants avec Debbie, la meilleure amie, les interactions entre les personnages sont souvent savoureuses. Et si le côté légèrement dominateur de Max ne manquera pas d'agacer quand il se manifeste, on apprécie le caractère bien trempé de Jeanine, qui reste d'un bout à l'autre loyale envers elle-même.

Au final, si le tout est assez creux et léger, on passe quand même un très bon moment. (6/10)



Si la première histoire s'avère réellement plaisante, les deux suivantes souffrent de facilités scénaristiques qui les pénalisent, bien que les dialogues de la dernière parviennent sans mal à la sauver. Pas un mauvais recueil, mais pas le meilleur non plus.
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Rêve de famille

Un super bon moment que j'ai passer en lisant ces trois histoire.

Quand on en comme une , on peux pas s'arrêter sans l'avoir terminer.
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Le parfum de la peur - Inséparables ennemis

Le parfum de la peur



Ashley est terrorisée. Cachée sous un bureau, téléphone à l’oreille, en ligne avec le secrétariat de la police, elle attend vainement que ces derniers arrivent, alors qu’un homme armé a fait irruption dans les bureaux où elle travaille, tirant sur ses collègues. Ashley est consultante, et fait des missions dans différentes entreprises. En ce moment, elle se trouve dans une société fiduciaire nommé Gibson & Gibson, située à Destiny, Tennessee, alors qu’Ashley vit habituellement à Nashville. [...]
Lien : http://songedunenuitdete.com..
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Mariés par convenance - Conquise par un cow-boy

Mariés par convenance: Les personnages sont attachants et réalistes. Le décor hawaïen est bien exploité, de ce temps-là, ça réchauffe! Une super lecture!

Conquise par un cowboy: L'héroïne est tellement à côté de ses pompes qu'elle en devient tête à claques, tous les autres personnages (ycompris les jeunes) ont plus de jugeotte qu'elle! Tous les aspects de l'histoire sont survolés, une déception.
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Quand le risque nous rapproche - L'empreint..

Pas de suspense pour le premier récit, heureusement que le grand-mère est là pour nous faire sourire! Ce fut quand même une lecture agréable.

Dès le début, le deuxième récit est confus et difficile à suivre, entre tentatives de meutre et coups fourrés on a du mal à savoir qui est visé.
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Un amour caché / Le défi amoureux / Amoureuse d..

Les trois récits m'ont plu, en particulier Le défi amoureux où les thèmes de l'histoire sont vraiment bien traités.
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Une sulfureuse rencontre

Wendy fait parti de la richissime famille Fortune, craignant de l'avoir trop gâtée et désirant qu'elle trouve sa voie, ils l'envoient travailler dans le restaurant géré par Marcos.



Au début, j'ai bien cru que Wendy, allait être une demoiselle qui croit que tous lui aient du, et qui allait se montrer hautaine, casse-pied voir agaçante, mais pas du tout, bien au contraire, c'est une jeune femme qui cherche sa voix et qui doute d'elle, mal grès son caractère bien trempé et qui au contact de Marcos, va peu à peu sortir de sa chrysalide et ouvrir les yeux sur ce qu'elle veut vraiment et prendre conscience de bien des choses. Marcos, quant à lui, au début, nous donne l'impression d'être arrogant, un muffle, un homme froid et sans cœur surtout envers notre héroïne, bien qu'avec le reste du personnel, il se montre attentionné et bienveillant, ce qui m'a fait changer d'avis à son égard.



L'histoire de Marcos et Wendy est mignonne, poignante et attendrissante. Elle m'a fait passer un bon moment de lecture, alors si vous voulez une histoire sans prise de tête, je vous la conseille.
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Un ténébreux partenaire - L'amour en cavale

La première histoire parle de deux coéquipiers un homme et une femme qui se trouvent à la recherche d'un tueur en série; la deuxième d'un mari espion qui refait son apparition au bout de 3 ans pour défendre la vie de sa femme et de son fils qu'il a abandonné pour les protéger mais que le danger menace de nouveau et la troisième histoires de deux sœur jumelle séparé à la naissance qui se recherche, et qui découvre le mystère de leur naissance .
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Magie d'hiver (2008)

J'ai vraiment adoré ce recueil. J'ai passé un moment très agréable avec ces personnes qui ont leur propres démons. Je me suis vraiment senti proches d'eux. On en vient à rêver et ça fait du bien vu le monde dans lequel on vit, un monde égoïste !!!
Lien : http://leschroniquesdemilie...
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