Marie-Pierre Bardou

7 volontaires participent à un essai scientifique organisé par le Centre d’Etudes de Psychopathologie et de Psychanalyse. Ils vont vivre cette expérience dans le domaine du Comte de Montrevault qui est le mécène de ce test. Leur mission est simple : ils ont 3 jours pour trouver le trésor. Ils sont rémunérés et obtiendront une prime s’ils réussissent. Ils ne peuvent pas téléphoner, se connecter à Internet, aucun contact avec l’extérieur n’est autorisé. Avec eux un majordome, une cuisinière et une femme de ménage sont là pour les accueillir et veiller aux respects des règles. Chaque participant n’a pas été sélectionné au hasard, ils sont tous différents et ils possèdent des dons particuliers. Participer à ce jeu va se révéler plus difficile et plus dangereux qu’ils ont pu le penser…

J’avais vraiment hâte de découvrir ce roman car j’adore lire des histoires se déroulant en huis clos et je n’ai vraiment pas été déçu par celui-ci. J’ai été happée immédiatement par l’histoire. Le coté mystérieux avec des passages secrets, des meurtres énigmatiques, la recherche d’un trésor, l’analyse des différents comportements des participants et de leurs réactions entre eux. Chacun représente un peu la société, on retrouve le « BG Beau Gosse », l’intellectuel surnommé « Prof », le GC signifiant « Gros con »,… Il est intéressant de les voir interagir dans cet environnement qui fait ressortir la personnalité de chacun (Jenny qui enfreint les règles dès le départ en apportant son chat, l’égoïsme, empathie, …) Tout est fait pour rendre ce roman captivant. Belle découverte pour ma part.

Nina accompagne son amant lors d’un déplacement professionnel dans le Sud. Pendant le trajet, ils font une pause sur une aire d’autoroute. Alors qu’elle sort des toilettes pour le rejoindre, elle ne le trouve pas. Sloan a disparu et sa voiture aussi. L’a-t-il abandonné ? Lui est il arrivé quelques choses ? Une fois rentrée chez elle n’a qu’une envie : comprendre. Elle ne peut pas vraiment compter sur son entourage. Personne ne croit à l’existence de ce Sloan car personne ne l’a jamais rencontré. Plus le temps passe plus sa vie devient un vrai cauchemar, elle ne comprend pas ce qu’il lui tombe dessus.

Comme pour son entourage, le lecteur peut se demander si tout ça est bien vrai, si Nina n’est pas tombé dans la folie. Rebondissements et mystères sont au rendez vous de cette enquête.

Il sera bientôt disponible, il sort le 20 décembre, encore un peu de patience…

C’est par son roman « l’esprit du jeu » que j’ai découvert Marie Pierre Bardou. Un livre pour lequel j’avais passé un agréable moment car très captivant, bien construit. (Je vous le conseille au passage si vous ne l’avez pas encore lu).

Encore une fois le roman se déroule en huis clos mais cette fois c’est dans une maison lors d’une fête chez May et Thomas. Un moment normalement agréable où règne une ambiance conviviale et détendue. Là, on va en être très loin. C’est plutôt, règlements de comptes, trahisons, mort... le tout avec la présence de la maitresse de Thomas à la fête, l’amant de la sœur de May,… 2 chats font également partis de la fête (Chaman et Chamallow, ils m’ont fait penser à 2 chats que je connais et qui ont également 2 personnalités différentes et un peu similaires à eux) C’est un beau cocktail que Marie Pierre Bardou nous propose ici!

Le style, la construction est bien différente du premier livre de l’auteure que j’avais lu. La je dois dire que j’ai du m’accrocher un peu plus pour suivre. La chronologie n’est pas toujours évidente, il y a des répétitions et on est un peu perturbée par l’intervention de ces chats. Cependant j’ai passé un bon moment car le suspense est là, vu la scène du début du point de vue du chat, le lecteur a forcement envie d’aller jusqu’au bout du roman pour comprendre. C’est un livre surprenant…

Je remercie les éditions Hélène Jacob qui m'ont contactée pour donner mon ressenti de lecture sur Défaillances, le livre de Marie-Pierre Bardou.



Autour du thème banal d'une réception estivale entre amis (« une soirée chaotique »), au cours de laquelle quelqu'un va mourir, ce roman est surtout construit autour des failles et des lâchetés, des choix, des petitesses, des attitudes blessantes, des actes manqués, des compromis et des « défaillances » qui marquent les relations des personnes proches, ces rapports dans lesquels ne se révèle-t-on pas finalement « Abrutis ? Absous ? Abscons ? Absurdes ? Accablés ? Accordés ? Achevés ? […] Adjurés ? Admis ? Aérés ? Affables ? « Agités ? Alcoolisés ? Ambitieux ? Amis ? ».

La narration se fait à rebours, remonte le temps depuis le lendemain de la soirée jusqu'à son début la veille au soir, et égrène les points de vue des invités, des hôtes et de leurs deux chats et l'opinion et l'analyse des deux félins vaut le détour : « cette soirée était vraiment bizarre. Il y avait une telle tension dans l'air que ses moustaches en auraient presque frisé. »

Chaque scène, chaque dialogue, chaque échange est ainsi décortiqué plusieurs fois selon les focalisations, d'où des flashes back à l'intérieur même des retours en arrière. C'est assez original et déstabilisant au début, le lecteur ayant une impression de déjà-vu mais autrement. Ainsi, par exemple, Volker est mal jugé par le chat à cause de ses chaussures, idéalisé par sa maîtresse en viking et rabaissé par la soeur aînée de cette dernière en « viking vieillissant et ventripotent »…

Des bonds dans le temps, plus importants, de quelques mois, surviennent également pour expliquer les postures du moment. Cette narration toute en redondance n'est, paradoxalement, pas trop répétitive même si elle insiste lourdement sur certains traits physiques (par ex. les cheveux blancs de Volker, son petit ventre d'ancien fumeur qui a compensé, l'obsession de May pour la climatisation…) ; au contraire, ces effets de style soulignent, prêtent à sourire, évoquent une continuité, une constance dans la durée. Personnellement, comme « c'est la soirée parfaite pour un meurtre », je me surprends à y faire très attention, même si j'ai l'impression de me faire un peu balader par l'auteure…

Les lectrices et les lecteurs se doivent de rester concentrés sur la chronologie des chapitres et bien mémoriser les dates et heures : c'est ludique et addictif. L'écriture est efficace, sans fioritures, souvent familière, toujours réaliste : « certains clichés, sinon tous, sont basés sur une réalité » : l'auteure est une spécialiste des drames familiaux. Les chapitres sont courts, la trame narrative construite avec précision et l'ensemble fonctionne plutôt bien.

Les personnages sont assez stéréotypés, des bobos chics, un peu snobs (« coincés du cul »), partageant des joints et buvant pas mal, … des maris volages, l'un suffisamment irrespectueux pour emmener sa maîtresse à la soirée organisée par son épouse (« le grand chirurgien qui se tape une infirmière ») et l'autre récidiviste, bien qu'ayant juré qu'on ne l'y reprendrait plus (« que deux fois en trente ans… Ce n'est pas la même chose. […] Tous les mariages ont des défaillances, tous ! »), … une femme en mal d'enfant qui reporte ce manque sur ses deux chats, dégriffés pour rester vulnérables et dépendants, … une vieille voisine acariâtre qui gagne à être connue (« seuls ceux qui avaient déjà vécu un deuil pouvaient réagir comme elle l'avait fait avec elle »), … la vieille copine dont on a un peu honte (« qui use et abuse de substances illicites ») mais qu'on invite quand même, … le vieux pote un peu lourd (« qui saoule tout le monde avec ses discours », … le dragueur impénitent, etc…

Les péripéties sont à la fois annoncées, prévisibles et prennent cependant les lectrices et les lecteurs au dépourvu car tout n'est pas dit : la fin est particulièrement intéressante. L'auteure m'a emmenée, malmenée et finalement bien baladée. Bravo.



Défaillances est pour moi une belle découverte, un excellent moment de lecture.

Le premier tome d'une saga historique comme je les aime, bourré d'informations, passionnant, plein de rebondissements, une sacrée découverte !



Je ne connaissais pas encore la plume de Marie-Pierre Bardou et j'avoue que j'ai été bluffée. Mon dernier roman historique m'avait refroidie et m'avait paru long à mourir. Cette fois, ça a été tout l'inverse et j'ai retrouvé ce que j'aimais dans ce genre : une recherche approfondie des faits historiques, du pays et de ses coutumes, des rites et légendes étayés, mêlés à une histoire parfaitement contée et pleine d'émotion.

L'auteure nous conte ici le drame vécu par une famille irlandaise au moment de la Grande Famine, et l'on suit plus particulièrement Eileen, l'aînée des filles, qui va subir les décès successifs de ses proches avec courage et ténacité, avec pour seul but de sauver ceux qui restent. La jeune fille ayant hérité d'un don de voyance, le roman se teinte de magie, rites anciens et sorcellerie. Les descriptions et la beauté des paysages, l'ambiance, m'ont donné encore plus envie de découvrir ce pays qui m'attire tant déjà.

D'autre part, les rebondissements sont nombreux pour notre plus grand plaisir et la fin du tome est en fait le début d'une nouvelle vie pour l'héroïne.



Je ne voulais qu'une seule chose une fois fini, lire la suite de la saga car elle est épatante. J'en redemande !


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Sincèrement, comment résister face à un tel résumé ? Quand cet ouvrage m’a été proposé, je n’ai pas réfléchi longtemps avant d’accepter de le lire et de plonger dans cette spirale infernale. J’avais très envie de découvrir ce qui allait arriver à Nina et surtout ce que l’autrice nous réservait dans cette histoire pas comme les autres. Autant le dire tout de suite, je n’ai pas été déçue par ce récit qui nous embarque dans une histoire qui nous fait osciller entre frisson, questionnement et folie.



Nina est une jeune femme sans histoire qui vit une belle histoire d’amour avec Sloan. Mais alors qu’elle l’accompagne pour un déplacement professionnel et qu’ils s’arrêtent sur une aire d’autoroute, ce dernier va la laisser là et complètement disparaître comme s’il n’avait jamais existé. Personne ne l’a vu ni sa voiture et elle se retrouve seule dans cet endroit sans comprendre pourquoi. A partir de là, c’est comme si tout n’avait été qu’un rêve !



C’est donc sa santé mentale qui va être mise en doute, d’autant plus que des événements étranges vont commencer à se produire autour d’elle et qu’elle va être au cœur d’une vraie tourmente. Que se passe-t-il vraiment ? A-t-elle vraiment sombré dans la folie et perdu la raison ? Ou est-elle au cœur d’une terrible machination donc elle ne comprend pas les tenants ni les aboutissants. Nina va essayer de comprendre ce qui lui arrive, mais les événements vont totalement lui échapper.



L’autrice nous propose une histoire extrêmement bien ficelée et qui nous perturbe du début à la fin. Dur de comprendre ce qui arrive réellement à Nina, tellement l’autrice démonte nos hypothèses au fur et à mesure. Nous n’avons pas envie de croire qu’elle sombre dans la folie, car elle semble avoir clairement toute sa tête, mais les événements qui l’entourent sont tellement étranges… Pourquoi quelqu’un s’en prendrait-il à elle de cette façon ?

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C’est donc un roman qui se dévore et qui nous donne envie d’en apprendre toujours plus. Nous nous prenons très vite d’affection pour Nina et nous avons envie de l’aider et de la soutenir au mieux. Il faut dire que c’est une jeune femme qui a de bonnes réparties et qui est prête à découvrir la vérité envers et contre tout ou tous. Les autres personnages ne sont pas en reste, même s’ils ne savent pas trop sur quel pied danser avec elle… Dur de savoir quoi faire pour la soutenir au mieux et cela ne l’aidera pas toujours à se sentir soutenue et comprise.



En bref, cette histoire est passionnante et nous plonge dans la descente aux enfers de Nina, une jeune femme touchante et qui montre une force incroyable face à l’adversité. Je ne peux que vous conseiller de découvrir son combat !

J'ai bien aimé ce premier opus, qui m'a permis de m'évader en Irlande au 19 siècle, j'aime beaucoup la plume de l'auteure que je découvre tout juste.

Un cha-rmant roman qui débute avec les observations naïves d'un chat doté d'un œil clairvoyant sur les relations humaines et d’une conception réaliste sur leurs affinités. Les jeux de mots à base de chats amusants distraient avec finesse le lecteur de la « chien-lie » des personnages du roman.



La trame de ce roman est à rapprocher du scénario de plusieurs films du genre : « un air de famille », « cuisine et dépendance » : Une véritable « surprise-partie » aux couleurs festives qui vire au cauchemar avec un déballage de vérités désagréables, des règlements de comptes et d’animosités... et pire !

L’anniversaire de May s'avère devenir la pire journée de sa vie. Elle subit des invités indésirables qui s’incrustent comme une maîtresse de son mari Thomas, et s’impose à elle Alice bien résolue à lui présenter son amant Volker, un homme marié. Contrariée de cette relation adultérine, elle avait tenté de dissuader sa sœur de poursuivre cette relation sans intérêt.

La soirée est narrée sous le regard et le ressenti de Chamallow, dont l’attitude gourmande et nonchalante de ce chat racé rassérène le lecteur tout le long. Il se complait se complaît dans un confortable train-train perturbé ce soir, par la présence de son insupportable homologue Chaman. Et la découverte du cadavre de cet importun nous augure une soirée sous de sombres auspices. La présence inopportune de l'antipathique Volker (l’amant d’Alice), entaché de nombreux défauts dont il a conscience contribue à intensifier cette idée d’un drame à venir. L’opposé d’un bellâtre, et de surcroit déjà marié et qui ne sera jamais disposé à être disponible pour Alice.

Les touches de flashbacks et rétrospectives nous éclairent sur les tensions à venir ; ressurgissent alors les réminiscences des fragments enfouis par les deux sœurs. Leurs vies semblent aux antipodes. May, ou plutôt Marie : « Elle aimait paraître, oui, elle appréciait le confort, le luxe, la position sociale de son mari », cette femme apparemment indépendante s’était rapidement transformée en maîtresse exigeante et malheureuse, qui lui réclamait toujours plus,

et sans enfants a reporté toute son affection sur ses chats.

Quant à Alice, célibataire, 45 ans, se contente de miettes de moments accordés par son amant, pour se livrer à des incartades surtout sexuelles. Mais finalement, les deux sœurs, aux modes de vie différents ressentaient la même solitude : « La seule chose qui était vraiment difficile à vivre, celle qui venait le plus souvent rompre cet équilibre raisonnable, c’était la solitude
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C'est un vrai plaisir de retrouver PK et Saule dans ce second volet de leurs aventures, furieusement drôle. Cette fois, c'est Saule qui est dans la Creuse et PK part à la conquête du monde..Enfin de Londres ! J'ai adoré les descriptions de son amant londonien, Mr Parker Bowles qui fait furieusement penser à un autre qui lui aussi à deux fils qui s'appellent Willy et Harry. J'ai adoré la manière dont elle a utilisé Clarence et les fréquentes références à son canard !



Quand à Saule, on comprend bien qu'avec ses merguez et le reste, la vie dans l'ashram n'est pas une partie de plaisir. Sur sa partie, j'ai aimé le décalage entre ce qu'elle raconte à PK sur ses victoires et ce que pensent les membres de l'ashram d'elle.. (j'adore la façon dont elle se montre philosophe face au comportement délirant de Saule).



Le tout est bien mené et très drole, j'adore les dialogues de sourdes entre les deux héroïnes ravagées qui sont aussi égocentriques l'une que l'autre et on donc du mal à se parler. Les références culturelles sont également bien trouvées et subtiles et j'ai bien aimé les passages où nous avions la vision d'un personnage externe au duo !



Je terminerai en disant que j'ai trouvé le style moins gouailleur que dans le premier tome et que, de fait, je trouve celui ci encore meilleur !





Ce que j'aime : les personnages, l'humour, l'inventivité dans les meurtres





Ce que j'aime moins : la fin ! Comment les auteures peuvent elles nous laisser comme ça et surtout que va faire Donald ?





En bref : Drôle, cruel et corrosif, un second opus qui ne démérite pas, bien au au contraire !





Ma note





8/10
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Un thriller tragi-comique à l'humour corrosif.



"Temps mort" est un roman écrit à 4 mains par deux auteures talentueuses, Marie-Pierre Bardou et Kathy Dorl, qui évoluent habituellement dans des genres bien distincts.

La première excelle dans les thrillers et romans historiques, dont "Dia Linn" que j'ai adoré, tandis que l'autre est la championne du roman anti-morosité où elle maîtrise le verbe autant que l'humour, mon préféré étant à ce jour "Ctrl+q". Tout ceci ne pouvait donner qu'un roman étonnant et drôle à souhait.

Eh bien, il a en effet répondu à mes attentes !



Le roman se développe via les correspondances skype de deux anciennes amies de lycée, Saule et PK, qui se recontactent sur internet après quinze ans de séparation. L'une est une mère de famille défigurée par la chirurgie esthétique avec deux merguez en guise de bouche. Addict du shopping, elle vit aux Etats-Unis. L'autre a décidé de se couper du monde extérieur et a rejoint une communauté hippie en Creuse profonde où elle tente tant bien que mal d'élever un fils obsédé par les limaces en tous genres. En discutant de leur présent et de leur passé, les deux amies se découvrent des secrets bien enfouis et des traumatismes dont l'unique responsable est l'ex-mari de l'une d'elles. Bien décidées à se venger, elles vont enchaîner les catastrophes...



Le roman s'articule autour des conversations Skype des deux amies. Il n'y a donc quasiment aucun dialogue, mais juste les messages et réponses de cette correspondance totalement loufoque.

On se demande qui est la plus tarée des deux, et j'avoue ne pas avoir décidé à la fin du roman ;)

Entre le langage fleuri des deux protagonistes et leurs idées totalement délirantes, l'intrigue évolue jusqu'à un dénouement gore digne des plus grands films d'horreur. Il m'a alors un peu fait penser à "Kill Bill" avec son côté décalé qui mêle l'humour à l'horreur la plus totale.

L'humour grinçant des auteures et leur histoire tragi-comique font des étincelles. On tourne les pages en se demandant comment tout ceci va bien pouvoir se terminer.

Mon seul petit bémol par contre, c'est que j'aurais préféré une histoire écrite avec des dialogues pour le côté plus pêchu et l'action que cela apporte, ce qui aurait allégé quelques longueurs. Mais pour le reste, c'est que du bonheur, comme toujours !



Alors si vous aussi vous êtes interpellés par ce résumé alléchant, allez-vite vous le procurer dans la boutique des éditions Hélène Jacob !


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Avant toutes choses je souhaite remercier les éditions Hélène Jacob pour m’avoir permis de découvrir ce livre.



Une terrible vague de froid paralyse le monde, la population prise au dépourvu va devoir s’organiser pour survivre.



L’idée me semblait franchement intéressante, j’aime ces situations qui incitent les personnages à éprouver leurs capacités d’adaptation, à se tourner vers l’essentiel, à laisser de côté le superflu. J’aime cette idée de mettre à l’épreuve la nature humaine. Cela promet des instants riches en émotion.



Marie-Pierre Bardou nous sert son intrigue à l’aide d’une écriture fluide, qui se lit à toute vitesse. Les personnages sont nombreux et manquent parfois d’approfondissement si bien que j’ai eu un peu de mal à m’y attacher. Je dirais que dans l’ensemble l’auteur ne laisse pas assez de place au tragique des situations qui se succèdent. Le livre est court finalement, trop, j’ai été frustrée. La situation proposée pourrait être tellement tellement plus … analytique. L’aspect politique est à peine abordé, c’est dommage.



Cet ouvrage propose cependant une lecture agréable, simple, légère, facile, idéale à découvrir lors des vacances à venir.
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La 1ere chose que j'ai pensé en lisant les premiers pages c'Est : " Mais c'est quoi ce truc!?" En un mot un OVNI, les 2 auteurs nous ont pondu rien de moins qu'un OVNI. Je pensais décrocher mais non finalement j'ai été happé rapidement dans cette histoire abracadabrante. Les 2 auteurs s'en donnent à coeur joie et ca donne quelque chose de bon, de dépaysant et de loufoque!

On suit 2 amies qui se retrouvent sur facedebook (^^) après des années. Comme l'océan les sépare, elles vont se parler, reprendre contact par messagerie. Mais ce retour aux sources, aux souvenirs ne va pas etre de tout repos: elles vont faire, ou du moins Saule va gaffer et pas qu'un peu... Elles s'en donnent et en prennent plein la vue entre elles!

Un très bon moment de détente! Ca fait vraiment du bien!

Ce que j’ai beaucoup aimé c’est que l’auteure rentre tout de suite dans le vif de sujet en nous faisant découvrir comment ces personnages font face à cette vague de froid exceptionnelle. Ce qui rend la chose plus intéressante, c'est qu'elle partage aussi tout au long de son roman des articles de journaux qui racontent la situation dans toute l’Europe. Ainsi on peut se rendre compte de l’intensité de cette vague de froid. Une vague de froid qui va pousser les gouvernements dans leur retranchement : ils doivent faire face aux black out, à la pénurie de carburants, mais aussi de nourriture. Nos personnages vont ainsi découvrir des dérives effroyables employées par les forces de l’armée…



Ce que j’ai moins apprécié c’est que les personnages ne sont pas assez approfondis, à part Camille qu’on découvre beaucoup plus que les autres. Je trouve aussi que la vie quotidienne dans ce froid et ce que cela engendre dans les décisions des politiques n’est pas assez poussés. J’ai aussi été déçu par le résumé que je trouve trompeur. Il parle d’une étoile, une étoile qui je pensais allait jouer un petit rôle fantastique dans ce roman. Je me suis trompée, l’étoile n’est mentionnée par nos personnages que trois fois… ou alors je n’ai rien compris au rôle que l’auteure voulait donner à cette étoile.



Finalement je reste sur ma faim avec ce roman. Je trouve qu’il est bien écrit et que l’idée est très bonne, surtout que cela pourrait vraiment arriver. Malheureusement les personnages et les événements ne sont pas assez poussés, je pense que l’auteure aurait pu aller plus loin. Malgré tout j’ai passé un moment agréable avec ce livre qui mine de rien nous pousse à nous poser des questions. Une vague de froid de cette ampleur est plus que probable pour moi, mais est-ce que nous pourrons suivre et répondre à la demande en énergie que demanderait une telle catastrophe ?
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J'ai aimé ce roman, il se lit facilement et après l'avoir fini, j'en viens à me demander ce que nous ferions nous aussi si un tel événement venait à se passer... Cela donne à réfléchir !
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Je voudrais tout d'abord commencer par remercier les Éditions HJ pour m'avoir proposé ce nouveau livre en SP via le site SimPlement.



Concernant la couverture, je la trouve intrigante. On y voit une femme assise devant une coiffeuse et son miroir. Son reflet est flou, le tout accentué par la fumée. Cela donne un ressenti de mystère avec une légère touche de folie, comme si elle ne savait plus qui elle était. Après, c'est un ressenti post-lecture, donc influencée. lol



Concernant la plume, j'ai été ravie de retrouver celle de Marie-Pierre Bardou, que j'avais découverte avec Chimères, un livre que j'avais apprécié. Ici, je trouve qu'elle a encore gagné en qualité, en fluidité, alternant un vocabulaire parfois un peu plus soutenu dans la narration avec des dialogues (et les pensées de Nina) au ton un peu plus familier. Sans compter la tension qui monte tout au long du roman malgré un personnage principal au fort taux de cynisme. Le mélange fonctionne très bien.



J'ai beaucoup aimé le concept du livre qui propose, à chaque début de chapitre, le point de vue d'un personnage secondaire qui va croiser la route de Nina dans ledit chapitre : mère, père, belle-sœur, meilleure amie... comme le conducteur d'une voiture, un gardien, un stagiaire, une secrétaire, une dame pipi...

J'aime énormément ce parti pris qui nous présente, pour quelques lignes, les pensées d'un personnage à qui on n'aurait pas prêté attention, mentionné dans quelques phrases. Aussitôt croisé, aussitôt oublié. Du coup, il y a une vraie recherche et un vrai travail supplémentaires.



Une autre petite chose que j'ai aimée, c'est la fin des chapitres qui a un rapport avec le titre du chapitre en question. J'ai trouvé ça bien marrant.



Mais parlons un peu de l'histoire. Nina est une jeune femme avec son petit caractère, accro à la nicotine et qui aime bien lever le coude. Elle fait preuve de beaucoup d'auto-dérision, de cynisme et d'un humour parfois un peu grinçant. Elle est gentille, mais il ne faut pas non plus la chercher ou il vous en cuira ! J'ai immédiatement été séduite par son caractère entier et mordant, avec quelques petites touches de féminisme. Elle m'a beaucoup fait rire dans sa façon de penser.



Nina fait un boulot qu'elle aime (elle anime des formations et travaille à son compte) et elle file enfin le parfait amour depuis six mois avec Sloan, un beau brun. Beau brun avec qui elle est, au début de l'histoire, en route vers le sud.



Une pause pipi plus tard sur une aire d'autoroute et c'est le début de sa descende aux enfers : aucune trace de Sloan ni de sa voiture. Personne ne l'a vu et il est injoignable. Autant vous dire que Nina oscille entre panique, incompréhension et colère. Comment et pourquoi cela lui arrive-t-il ? Que s'est-il passé ? Où est Sloan ?



Une fois rentrée, pas forcément calmée, la jeune femme va tenter de le contacter et de le retrouver. Seulement, la personne qui décroche enfin le téléphone est un monsieur d'un certain âge qui affirme que ce numéro est le sien depuis quinze ans... Et cela va de mal en pis lorsque son adresse s'avère aussi être fausse, et que la boîte d'informatique censée l'employée n'a jamais entendu parler de lui...



Le must étant que, personne de son entourage n'ayant jamais vu Sloan et l'histoire de Nina étant tellement tirée par les cheveux... que personne ne la croit ! Elle se retrouve donc seule avec ses problèmes.



Comment Nina va-t-elle enfin prouver que Sloan n'est pas le fruit de son imagination ? Parce qu'il ne l'est pas n'est-ce pas ? Elle n'a pas inventé cette relation de toutes pièces ? À la limite de douter d'elle, les choses vont encore s'aggraver quand des messages d'injures sont postés via ses identifiants sur ses réseaux sociaux et sur ses comptes-rendus de travail.



Qui peut lui en vouloir à ce point ? Ou bien l'abandon de Sloan l'a-t-il faite sombrer dans la folie ? Était-elle déjà malade avant, en s'inventant cette relation ? Si c'est difficile pour Nina de démêler le vrai du faux, le lecteur n'est pas épargné non plus.



Quelle va être la décision de la jeune femme ? Va-t-elle choisir de se battre pour découvrir la vérité sur le fil de cette corde raide ou va-t-elle se laisser tenter par la douce saveur enivrante de l'alcool mêlée à celles de l'abandon et de la folie et se laisser tomber ?



Quant à la fin, en apothéose comme je les aime. J'étais partie sur plusieurs hypothèses, dont une avec laquelle je pense avoir suivi la fausse piste semée par l'auteure. Je n'avais pas du tout deviné, et j'ai beaucoup aimé. C'est franchement bien trouvé.



En résumé, cette lecture fut pour moi, un coup de cœur. Autant pour l'histoire, intéressante, bien ficelée, anxiogène, haletante et qui ne nous laisse pas respirer ; pour la frontière ténue entre doute et folie ; pour le concept des points de vue secondaires ; sans oublier pour la protagoniste et son caractère.

À lire, vraiment !
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Ce roman se passe dans le domaine du Comté de Montrevault où sept volontaires participent à un essaie scientifique : ils ont trois jours pour trouver un trésor Ils sont réénumérés de base mais obtiendront une prime si il trouve le trésor, l'objectif est simple mais en réalité c'est tout le contraire..

Ils n'ont droit à aucun contact avec l'extérieur, malgré le danger, les difficultés, les mystères et les énigmes. Ils ne pourront que compter sur eux même.

Les personnages sont tous bien différents, que ce soit dans leur vies ou dans leurs caractères, je les est trouvés ni attachant ni odieux, ils ont des dons paranormaux qu'ils contrôlent et qu'ils ont appris a développer avec le temps.

L'histoire est bien écrite, originale et pleins de suspense, c'est remplit de révélations inattendues et spectaculaires. Je n'ai pas pu m'arrêter de lire dès que j'ai commencé , de plus ce livre m'a fait frissonné.

Je tiens à remercier la maison d'édition EHJ pour m'avoir fait confiance pour écrire une chronique sur ce livre.

Il existe des livres qui, sitôt ouverts, nous interdisent de les refermer avant de les avoir terminés. L’esprit du jeu de Marie-Pierre Bardou en fait partie, au point, lorsque j’en ai commencé la lecture en juillet, l’avoir aussi vite arrêtée. Était-il si mauvais que cela ? Que nenni ! J’ai bien senti que j’allais être happée rapidement et comme j’étais moi-même en train d’achever l’écriture d’un roman, je ne pouvais me permettre d’être distraite de mon propre récit.

J’ai donc repris ladite lecture vendredi soir et ne l’ai plus lâchée jusqu’à la fin du week-end, ou si peu.



Comme vous le savez, j’ai quelque exigence vis-à-vis d’un romancier. J’attends qu’il me raconte une histoire crédible ; elle peut avoir des aspects déjantés ; le principal reste qu’elle soit bien écrite et construite. Si l’originalité ou le suspense sont au rendez-vous, c’est du bonheur en plus. Qu’importe même si son style est « », je la veux riche et subtile. J’ai horreur des pseudo-auteurs qui cèdent à la facilité, la complaisance, le sentimentalisme et qui présentent une absence manifeste de travail.



Je n’ai pas « adoré » tous les livres de Marie-Pierre Bardou, mais je lui ai toujours accordé une véritable capacité à construire un récit, à brosser une narration, à élaborer des personnages vraisemblables et jamais caricaturaux, à échafauder un dialogue abouti et crédible. Même dans ses ouvrages à 4 mains avec Kathy Dorl, un poil hallucinés, ces qualités s’y trouvaient. Bref, je les ai presque tous lus, avec plaisir et attention, avec quelques favoris parmi eux.



L’esprit du jeu, donc. Le roman commence de manière classique, par une présentation des personnages, qu’ils soient acteurs officiels du « jeu » ou faire-valoir apparents. S’y glisse en effet le journal du marionnettiste diabolique, mais aussi les allées et venues de son énigmatique molosse dans l’immense parc ou les états d’âme d’une chatte microscopique vagabondant dans le gigantesque château. Trois domestiques ont également leur carte à jouer dans ce huis clos pesant et inquiétant.



Ce qui semble au départ un challenge original se corse peu à peu : parmi les personnages certains ont des caractères bien trempés, la plupart sont dotés de dons paranormaux, méconnus, entretenus et développés par leurs détenteurs. La tension s’accroît, se relâche pour reprendre de plus belle, vous rendant incapable de lâcher le bouquin ! Personne n’est ni carrément sympathique ni totalement odieux, tous ont quelque chose à cacher. La fin de la première journée laisse un peu le lecteur sur sa faim, ce qui est normal dans un suspense bien mené, nous faisant espérer en une suite toujours plus épicée et explosive de sentiments et de péripéties mêlés.



Ce qui est effectivement le cas ! Le rythme de ma lecture a été crescendo, le récit étant ponctué de quelques « anicroches » et d’une révélation à laquelle on ne s’attendait pas nécessairement. Le seul bémol pour moi est d’avoir deviné assez rapidement la véritable identité d’un des personnages. Mais bon, ce n’est pas non plus le plus important de l’histoire.

Pour le reste, même sous la torture (quoique…), je ne vous dirai rien. Je ne veux rien « spoiler », en parcourant les avis sur le site des EHJ, j’ai regretté que l’un des lecteurs donne une indication qui m’a un peu énervée ! Quand on aborde un roman à suspense, la moindre des choses est de le respecter ! Il vous faudra donc découvrir le livre par vous-même et je vous promets « seulement » que vous ne serez pas déçus !








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Je dois tout d'abord dire que j'ai eu un peu de difficulté avec la lecture de ce roman, du moins au début. Je n'accrochais pas et surtout, je me sentais un peu perdue, avec les personnages, les allers-retours dans le passé-présent, et je ne savais pas du tout où tout cela allait me mener.

J'ai persévéré, et je suis bien contente de l'avoir fait. Une fois l'histoire bien installée, une fois que l'on comprend un peu les antécédents du personnage principal.

Les différentes identités et personnalités de notre personnage central, nous amènent à nous poser des questions, questions pour lesquelles nous trouvons des réponses, à mesure que nous avançons dans notre lecture. La vengeance, serait-elle à l'origine de tout ceci ? Pour cette question, également, vous saurez en lisant ce livre.

L'idée est très originale, le suspense est bien monté, l'adrénaline monte également, sans parler de notre curiosité face aux différents rebondissements qui se produisent dans l'histoire, et qui nous accrochent solidement une fois que nous sommes dans le cœur de l'histoire !

Une écriture fluide, une cadence bien rythmée, un suspense très bien dosé, pour garder un certain côté réaliste à cette intrigue, j'ai beaucoup aimé tout le côté psychologique de ce polar, et une fin qui nous surprend énormément. Du coup, vous comprendrez aussi la signification du titre ''Chimère''.

Une auteure que je me promets bien de relire, et que je vous recommande également
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Le dernier opus des aventures de Saule et de PK (et non PQ lol) qui est sans aucun doute le plus incroyable et le plus déjanté de tous ! Dans ce dernier tome, Saule se retrouve à Fleury pendant que PK prend les deux gamins (et les deux chiens) et se fait la malle en Afrique... Là, elle commence à fricoter avec le vaudou dans l'absurdité la plus totale et j'avoue que j'ai beaucoup ri devant la correspondance entre les deux folles dingues. Les passages du point de vue de Donnall sont très bien construits et j'apprécie le fait que celà coupe un peu le délire entre les deux complices dans le meurtre. La fin m'a vraiment étonnée mais d'un autre côté, je ne vois pas trop comment ça aurait pu se finir autrement pour les deux folles. J'ai particulièrement ri aux problèmes de taches sur les Nike de Saule (c'est là qu'on voit qu'elles ont vraiment un sens moral... étrange). Bref, elles me manqueront





Ce que j'aime : le délire total du tome, la fin, les problèmes existentiels de Saule





Ce que j'aime moins : j'avoue PK et le vaudou... c'est limite crédible





En bref : Un dernier tome en apothéose pour nos meurtrières déjantées : magie, voyage, délire, tout y est !





Ma note





7,5/10
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Le résumé de ce titre m'avait assez séduite, mais pas au point que je m'y arrête. C'est en lisant la chronique d'une copinaute que j'ai eu le déclic : l'histoire met en scène un mort et est en partie racontée du point de vue d'un chat. Je ne pouvais que craquer, non ?



Au final, je suis un peu mitigée sur certains points, mais j'en ai bien aimé d'autres. D'abord, l'histoire dans sa globalité. Elle est bien réfléchie et met en scène une situation qui, somme toute, pourrait arriver à tout le monde, et n'importe quand… quoique peut-être pas avec une finalité telle que celle-ci. Mais le lecteur a la possibilité de s'identifier à un ou plusieurs personnages, car ils ont chacun leur histoire, leur passif, leurs problèmes. Il fallait bien ça pour mettre en place un drame si bien trouvé et choisi.



Ce que j'ai aussi apprécié, c'est la mise en place de cette scène de début, avec ce corps dans cette baignoire, que l'on ne reverra qu'à la fin pour nous expliquer ce qu'il en est réellement. Et évidemment, le point de vue adopté par le chat, qui avec son attitude tout égoïste critique les actions des personnes qui l'entourent car, ô trahison, elles ne pensent pas à remplir sa gamelle de croquettes ou lui piquent son coussin préféré.



Ce que j'ai un peu moins aimé, c'est la gestion de la temporalité. Pour le début, je m'y attendais, et cela permet en effet de mettre en place cette tension et cette envie de savoir ce qu'il va advenir au cours de cette soirée. Mais, ensuite, j'ai eu l'impression d'être baladée dans le temps et les personnages, et j'étais parfois désarçonnée car je n'arrivais plus à me situer, et ça m'a quand même perturbée pendant un bon moment... Peut-être que des indicateurs temporels auraient pu aider à mieux visualiser les événements.



Mais hormis ça, je salue le rythme, très bien dosé et qui donne envie de poursuivre jusqu'au bout, ainsi que le final de ce livre : je n'ai rien vu venir ! Et ça c'était vraiment sympa !
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