Défaire. Détruire. Les déménagements ont quelque chose de morbide, d’angoissant. Même pour Livia, qui attend pourtant beaucoup de cette vie nouvelle, il y a brisure, mort de quelque chose, séparation d’étranges émotions, liées à la lumière particulière d’un jour, d’un soir dans cette maison aimée. Mais c’est bien sûr pour Hulda que l’abandon de l’appartement de Stockholm est le plus cruel.