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Citations de Martin Lings (126)


À dater de ce jour, les Quraysh furent appelés par l’ensemble des Arabes 'les gens de Dieu', et on leur témoigna encore plus de respect qu’auparavant, car Dieu avait exaucé leurs prières et avait évité la destruction de la Ka‘bah.
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Des survivants ont dit que leur vol ressemblait à celui des martinets et que chaque oiseau portait trois cailloux de la grosseur d’un pois sec, l’un tenu dans son bec et les autres serrés dans chaque patte.
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Abd al-Muttalib prit entre ses mains l’anneau de métal qui pend au milieu de la porte de la Ka‘bah et lança cet appel : 'Ô Dieu, ton serviteur protège sa propre maison. Toi, protège la Tienne !
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À cette époque, le Yémen était sous la domination de l’Abyssinie, et un Abyssin nommé Abrahah en était vice-régent. Il fit bâtir une somptueuse cathédrale à San‘â’ avec l’espoir que cette cité prendrait la place de La Mecque comme lieu de pèlerinage le plus fréquenté de toute l’Arabie.
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C’est en l’an 569 de l’ère chrétienne que ces mariages eurent lieu. L’année suivante devait entrer dans l’histoire sous le nom d’'Année de l’Éléphant', et son importance fut capitale pour plus d’une raison.
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‘Abd Allâh était, de par sa beauté, le Joseph de son époque. Même les plus âgés des hommes et des femmes du clan des Quraysh ne se rappelaient pas avoir jamais vu son égal.
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Waraqah savait lire, et il avait étudié les Écritures et la théologie. Aussi pouvait-il percevoir que parmi les promesses du Christ, il en était une que les chrétiens interprétaient généralement comme ayant trait au miracle de la Pentecôte, mais dont certains éléments ne semblaient nullement en rapport avec ce miracle et se référaient certainement à quelque chose d’autre, quelque chose qui ne s’était pas encore accompli.
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Les Hunafâ’, ainsi qu’ils se nommaient eux-mêmes, se gardaient de toute relation avec les idoles, dont ils considéraient la présence à La Mecque comme une profanation et une souillure.
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Il existait à travers l’Arabie d’autres sanctuaires de moindre importance dont les plus connus, au Hijâz, étaient les temples d’al-Lât, d’al-‘Uzzah et de Manât, déesses que certains de leurs adorateurs prétendaient pouvoir nommer les trois 'filles de Dieu'.
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‘Abd al-Muttalib, dans ses prières, ne s’adressait pas à Hubal. Il s’adressait toujours à Dieu, à Allâh.
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Mughîrah, le chef de Makhzûm, lui coupa la parole : 'Tu ne le sacrifieras point ; offre plutôt un sacrifice en remplacement de ton fils, et sa rançon dût-elle épuiser toute la fortune des fils de Makhzûm, nous le rachèterons !'
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Abd al-Muttalib était un homme de parole que l’idée d’être parjure ne pouvait pas même effleurer.
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Encouragé par la faveur dont il avait été comblé, il se mit à prier Dieu de lui donner d’autres fils et, en conclusion de sa prière, il fit voeu que si Dieu lui accordait la bénédiction d’avoir dix fils et de les élever tous jusqu’à l’âge d’homme, il Lui en sacrifierait un à la Ka‘bah.
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Les Quraysh respectaient ‘Abd al-Muttalib pour sa générosité, sa loyauté et sa sagesse. C’était aussi un très bel homme, qui en imposait par sa présence.
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Quelques personnes étaient déjà en train de s’éloigner du Sanctuaire lorsque soudain la pioche heurta la pierre qui couvrait le puits, et ‘Abd al-Muttalib poussa un cri de louange à Dieu.
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Une nuit, alors qu’il (Abd al Muttalib) dormait à cet endroit, une silhouette fantomatique lui apparut en songe et lui dit : 'Déterre la douce clarté !
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Chaque année, lorsque approchait l’époque du Pèlerinage, il avait coutume de se lever au milieu de l’Assemblée et de déclarer : « Ô gens des Quraysh, vous êtes les voisins de Dieu, le peuple de Sa Maison ; et pour cette fête, des visiteurs de Dieu viennent à vous, en pèlerinage à Sa Maison. Ils sont les hôtes de Dieu et nul hôte n’a autant droit à votre générosité que Ses hôtes.
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Qusayy régna sur eux tous avec une autorité incontestée ; chaque année ils lui payaient un impôt sur leurs troupeaux afin qu’il pût nourrir ceux des pèlerins qui étaient trop pauvres pour subvenir à leurs propres besoins.
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Et Dieu lui ouvrit alors les yeux et elle vit un puits d’eau.
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Dieu entendit la voix de l’enfant et l’Ange de Dieu appela du ciel Agar et lui dit : 'Qu’as-tu, Agar ? Ne crains pas, car Dieu a entendu la voix de l’enfant dans le lieu où il est.
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