(...) Voilà, elle m'appelle encore... J'ai beau être aguerri, elle a une manière particulière de prononcer mon nom qui ne peut me laisser complètement indifférent. C'est comme quand elle dit : "Gribouille, mon Pipouille..." lorsque je suis niché contre elle. C'est un bonheur de s'abandonner, de ronronner en oubliant qu'on est un chat des rues, un chat noir... de se sentir si petit, aimé, protégé...
- Gribouille !...
Bon, ça va, je rentre, mais parce que je le veux bien.