AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Martine Lafon-Baillou (10)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
CLARA

J'ai adoré ce roman. L'histoire est bien menée, sans temps morts, et le style de l'auteur est vraiment excellent. Un roman actuel avec des clins d’œil sympa à Bordeaux, St jean de luz, le Médoc...on reconnaît les lieux.

Clara ressemble à beaucoup de femmes d'aujourd'hui.
Commenter  J’apprécie          40
CLARA

Je me suis terriblement ennuyée sur ce livre qui se veux érotico-dominatrice. L’écriture est simpliste,pour ne pas dire simplette. L'auteur survole son sujet, de la description du personnage féminin principal aux scènes de sexe. Le hasard qui lui fera rencontrer l'amour d'une banalité sans nom et le final des plus ennuyeux. Bref, .......

Commenter  J’apprécie          10
CLARA

Excellent !
Commenter  J’apprécie          00
De Jérôme à Lidoire

Jérome Lidoire, Jean-Claude Lagrive pour l’état civil, cumule les défauts et les prix littéraires. Auteur à succès, il collectionne les excentricités et marque bien peu de points pour parvenir à se faire aimer de la lectrice que je suis. Qu’il décide de partir en week-end ou planifie un repas au restaurant, la marche à suivre est la même : il envoie un texto (dans le plus pur langage sms que j’ai eu parfois quelques difficultés à décrypter) à deux, trois connaissances et voit qui lui répond en premier lieu…



Sur le point d’être fait citoyen d’honneur de son village natal, il doit revenir sur le théâtre de son enfance et composer pour une journée avec la ruralité de Maizieux-sur-Lidoire. La confrontation de ces deux mondes promet bien des surprises !



La suite sur mon blog...
Lien : http://nahe-lit.blogspot.com..
Commenter  J’apprécie          30
De Jérôme à Lidoire

J'ai vraiment beaucoup aimé ce petit roman qui, avec beaucoup d'esprit et de gaieté épingle aussi bien le cercle fermé très parisien de l'édition que le monde rural. Avec énormément d'humour (j'ai même éclaté de rire à la page 136), Martine Lafon-Baillou épingle les vanités et égoïsmes de chacun. Alternant finesse incisive avec réjouissante pantalonnade, on se régale vraiment à la lecture de ce livre cocasse qui fait la part belle à la bouffonnerie à la manière d'un « Clochemerle » moderne.

La belle écriture de Martine Lafon-Baillou ajoute beaucoup de plaisir à la lecture de ce récit qui met de bonne humeur.


Lien : http://lefantasio.fr
Commenter  J’apprécie          70
De Jérôme à Lidoire

« Un premier roman incisif qui épingle le monde de l’édition.» Isabelle de Montvert-Chaussy (Sud-Ouest Dimanche du 4 Juillet 2010)



« La prose mordante et gourmande de MLB ne fait qu’une bouchée des vanités parisiennes et des ridicules cantonaux.»

Jérôme Garcin (NouvelObs du 29Juillet 2010)

Commenter  J’apprécie          50
De Jérôme à Lidoire

Dans le cadre de l’opération Masse Critique organisée par Babelio, j’ai reçu l’ouvrage De Jérôme à Lidoire de la part des Editions Passiflore, que je remercie. Nous y découvrons le personnage de Jérôme Lidoire, un auteur qui a reçu le Prix Goncourt mais aussi le Prix Renaudot. Originaire de Mazieux-sur-Lidoire, un petit village de Dordogne, il vit désormais à Paris. Quand le maire de Mazieux décide de le nommer citoyen d’honneur, Jérôme refuse dans un premier temps. Mais c’est sans compter sur Blanche, sa mère, qui compte bien que son fils fasse honneur à son village. Il va donc partir sur ses racines, mais son meilleur ami refuse de l’accompagner. Peut-être que Véronique, son attachée de presse acceptera de venir avec lui ? Ce titre ne m’a absolument pas plu. J’ai trouvé le personnage de Jérôme Lidoire – Jean-Claude Lagrive de son vrai nom – profondément antipathique. De plus, j’ai trouvé que l’on passait parfois un peu du coq à l’âne et que, finalement, il ne se passait pas grand-chose dans ce roman. Le quatrième de couverture nous promet "une comédie mordante et drolatique", or, elle n’est même pas parvenue à me faire sourire. J’ai d’ailleurs arrêtée ma lecture 50 pages avant la fin, car ce roman ne le plaisait pas, voir même m’ennuyait. Il s’agit donc d’une réelle déception, mais cet avis n’engage que moi et séduira sans doute d’autres lecteurs.
Lien : http://decouverteslivresques..
Commenter  J’apprécie          30
Fostine : Bordeaux 1789

Une belle leçon de courage et de détermination !



Bordeaux mars 1983.

Après la longue agonie de sa mère, Fostine se retrouve orpheline. Elle erre, en traînant sa peine et sa misère, dans les rues grouillantes d'une faune d'individus éclectiques.

Comme elle est très jeune et jolie, un homme de belle allure propose de s'occuper d'elle. Après l'avoir suivi sans grande réticence, un sursaut de lucidité lui permet de s'échapper. C'est aidé par la marchande de rubans, la belle Pétronille qui n'a pas froid aux yeux, qu'elle y parvient et qu'elle va avancer vers sa destiné.



C'est d'une plume fluide et délicate, que l'auteure m'a entraîné dans un récit non seulement fidèle à la période historique à l'aube de la révolution mais aussi dans la vie tumultueuse de son héroïne Fostine. Une vie rude décrite avec justesse, émotion et tendresse.

Cette jeune battante va relever tous les défis pour sortir du caniveau qui la vue naître afin de s'élever dans la société. Avec Pétronille sa soeur de coeur et protectrice puis son amie comédienne au grand théâtre récemment construit , elle va apprendre à redresser la tête. Intelligente et volontaire, elle va persévérer face à l'adversité.

Au fil des chapitres, j'ai été happé dans la tourmente de ses tribulations et de sa vie amoureuse chaotique.

J'ai moi aussi fondé de grands espoirs suite à sa rencontre avec le mystérieux Milord qui va l'emmener à Bourg...

L'ascension sociale de Fostine arrivera t'elle à une fin heureuse malgré la révolution qui gronde ? Cette question m'a hantée jusqu'au dénouement ...


Lien : https://imagesderomans.blogs..
Commenter  J’apprécie          00
Tu Veux un Drink ?



Le chien et son humain de compagnie



Martine Lafon-Baillou dénonce l'exclusivité des relations homme-animal

chez certaines personnes.



Après « De Jérôme à Lidoire », l'auteure tauriacaise Martine Lafon-

Baillou sort une nouvelle « Tu veux un drink ? » aux éditions

Passiflore. Le titre pourrait laisser croire qu'il s'agit d'un livre ou léger.

Tout en donne l'apparence : petit format, illustration naïve et un label

Humour. Mais ce serait une erreur. « Tu veux un drink ? » est un

conte philosophique à plusieurs niveaux, assez acide. Il décrit au fil

des pages les relations homme-animal qui dérapent jusqu'à ce que

l'animal prenne la place des amis, de la famille et pour finir celle de

l'homme lui-même.

Jean est architecte, il a une amie, Sabrina, et une perruche, Kiki, en

plus de son pote, Pat le labrador. Le chien n'a qu'une idée : faire

place nette pour rester en tête à tête avec son maître ! Le maître,

quant à lui, finit par ne plus se plaire qu'en compagnie du chien, une

présence sympa et arrangeante. Sabrina s'en va, Kiki disparaît, Jean

tourne mal… Issue d'une observation aiguë du comportement de

l'homme avec son animal de compagnie et de ses dérives, le livre

est à relire plusieurs fois afin d'en découvrir toutes les subtilités et les

enseignements.



Parler à son chat

Pour Martine Lafon-Baillou, ce livre dénonce l'isolement de cer taines

personnes parfois avec l'adoption d'un animal de compagnie. « J'ai

souvent constaté que les personnes qui ont un animal de compagnie

finissent par s'éloigner de l'humain, explique l'auteure. Il est tellement

plus facile de parler à son chien ou à son chat, qu'à son voisin ou sa

famille. Le rapport avec l'animal est une fuite loin des problèmes

relationnels et de l'oralité. Si c'était un dessin, je verrais bien un

bichon sellé et harnaché emportant sur son dos une vieille dame et

son tricot ! Les personnes âgées ne sont pas seules à être

concernées par cette humanisation des animaux. »



Elle va même plus loin en insistant sur l'existence d'une confusion

des genres et des espèces dans la société actuelle. Jusqu'où nous

conduira notre attachement pour notre petit chien ou notre petit

chat ? Peut-être comme le souligne Martine Lafon-Baillou à devenir

esclave de nos animaux de compagnie et céder à tous leurs

caprices

.

Kévin Lavoix

© www.sudouest.fr 2011

© SudOuest - 03/12/2011
Commenter  J’apprécie          10
Tu Veux un Drink ?

visiblement l'origine de ce petit livre se trouve dans Facebook où les aventures de Kiki la perruche et Monchien le labrador y ont débuté.



On vit une même scène du côté d'un chien, d'un maitre et d'une perruche qui habitent ensemble. Chacun y donne son avis, commente la situation, explique les comportements et les défauts de ses co-locataires.



L'écriture est fluide, les situations cocasses puisque les rôles sont inversés. Le maitre dort dans la panière, le labrador dans le King Size...



Cependant, le côté grinçant que peut avoir la dérision ne ressort pas.
Lien : http://www.canalblog.com/cf/..
Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Martine Lafon-Baillou (18)Voir plus


{* *}