Oui, il y a eu des failles dans la sécurité de Charlie Hebdo, et elles sont nombreuses. Parce que, contrairement au service des sites sensibles de la préfecture, l’État, les autorités policières et les responsables du journal refusaient l’idée que nous étions déjà en guerre. Une guerre de l’ignorance contre la culture. De la liberté tant chérie par Georges contre l’obscurantisme.