Masanori Morita

En pensant au titre, je me rappelais cette chanson d'un vieux groupe des années 80 à savoir Orchestral Manoeuvre in the Dark (OMD pour les intimes). J'ai eu la confirmation dans le prologue de la part des auteurs qui en font expressément référence.



J'ai été tout d'abord abasourdi par la qualité sublime du dessin à la fois subtile et sensible. On atteint là des sommets de ce que je considère comme la beauté graphique dans toute sa splendeur. Loin de faire des envolées lyriques, je veux juste souligner que c'est purement magnifique.



Après, il faut que le scénario soit à la hauteur du dessin. Or, ce genre d'histoire me plait par essence. La narration est si fluide qu'on se laisse emporter par le courant. Le portrait de cette femme accusée d'un terrible crime est bien brossé. On se replonge dans le passé avec pour décors les corons de la banlieue de Charleroi. Il y a un véritable souffle dans ce récit. On le ressent car il nous parcourt. Reste à espérer que la seconde partie nous offrira autant d'émotions.

On continue de suivre les tribulations de Taison et de ses comparses au lycée ou bien en dehors entre moment sportif et castagne. Des ados qui ont la rage de vivre et celle de se faire remarquer. Pour cela, ils n’hésitent jamais à utiliser leurs poings. Taison va voir débarquer un nouveau rival prêt à tout pour l’évincer aux yeux de la jolie Chiaki.



Dans l’ensemble, j’ai passé un bon moment avec ce nouveau tome même si pas mal de scènes de bastons entre nos héros et leurs ennemis peuvent paraitre un peu « too much » et hors du temps. Mais, on rigole bien donc sa passe.



Nos vilains lycéens qui se montrent sous leur plus mauvais jour ont tout de même un cœur en or et n’hésitent pas à se battre pour les causes qu’ils croient juste. Les romances ici sont vues à travers les yeux des bad boys qu’ils incarnent et les filles restent de jolies poupées à protéger (et qui sont agaçantes). C’est clair qu’en 2022, ce qui était cool dans les années 80/90, fait très cliché aujourd’hui.



Pour ma part, j’aime toujours autant le style assez particulier et caricatural de Masanori Morita et je prends un vrai plaisir à redécouvrir ce manga shônen avec ces codes de l’époque qui ont bien évolué depuis !
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Ah ! Je prends vraiment grand plaisir à redécouvrir cette suite avec nos furyo préférés. De grand cœur sous des airs de racailles. Entre amourettes, quiproquo et baston à gogo, il y a de quoi faire. J’ai apprécié ma lecture !



Maeda est un gros dur au grand cœur. Certes, un peu simplet, mais qu’on aime suivre ! Celui-ci va craquer sur une lycéenne en marinière et à queue de cheval, tout ce qu’il aime ! Jusqu’à ce qu’il apprenne qui elle est. Comprenant qu’elle a besoin de lui, il fait tout pour la protéger. Même si cela veut dire de se faire battre comme plâtre pour éviter tout problème à son nouveau pote, Hatanaka qui rêve de pouvoir boxer aux prochains J.O.



Mais, entre tout ça, on suit également Chiaki qui est secrètement amoureuse de Maeda et qui se retrouve jalouse de cette nouvelle venue qui possède tout ce qu’elle n’a pas (ou plus).



Si j’avais peur d’être moins emballée parce que le manga date, et que ça se ressent quand même, eh bien, j’ai quand même tourné les pages avec intérêt ! J’aime toujours autant le trait particulier du dessinateur, Masanori Morita qui nous offre des personnages aux expressions parfois burlesques et très typées.



Concernant l’intrigue, elle peut paraitre un peu naïve et désuète, mais reflète les fantasmes et soucis de l’époque (années 80). Plus que la boxe ou les rêves de tout un chacun, nous suivons une bande de lycéens amis qui se cherchent, et expérimentent également leurs premiers émois amoureux. Certes de manières maladroites et toujours avec les poings.



Quoi qu’il en soit, j’ai lu cette suite avec enthousiasme et je suis bien heureuse que Pika Édition nous offre ce manga dans une toute nouvelle traduction et dans un format qui nous permet d’apprécier le style d’un mangaka qui a marqué une génération de lecteur.ice. s.
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Tout est là : la qualité graphique des dessins très réalistes, de l'humour, de l'action et surtout de l'humain.



Ce professeur, Monsieur Kawato, un homme qui donne sans compter à ses étudiants, qui connait le prénom de chacun (pas de sa classe de l'ensemble de l'établissement!) et qui se plie en 4 pour leur permettre d'attendre leur rêve.

Dans un japon où l'individu doit rentré dans un moule et où l'échec entraine l'exclusion, il y a une personne qui croit en ses élèves.



Parmi tout les mangas que j'ai lu, cette œuvre est dans mon top 5.



Merci Monsieur Masanori Morita! Je regrette que vos autres œuvres n'est pas été publiées en France.

Idée classique, mais particulièrement bien exprimée dans ces quelques chapitres qui voient la galerie de personnages de l'œuvre s'étendre, et un conflit aux enjeux moraux nouveaux débuter. Certes, on est loin de l'intensité de la rixe avec le groupe d'Onizuka, mais ce nouvel arc nous entraîne sans mal !
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Les quelques longueurs de ce 9e tome sont largement pardonnables. Plus encore, on finit par en faire fi tant l'opus parvient à rebondir au bon moment et se renouveler, jusqu'à amener un début de climax riche d'intensité et fort de plusieurs élans émotionnels. Forcément, difficile de ne pas avoir envie de se jeter immédiatement sur le dixième tome, ne serait-ce pour découvrir le dénouement du combat opposant Maeda à Onizuka.




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Derrière son découpage épisodique, ce huitième tome reste à la hauteur du "Rokudenashi Blue" qu'on aime : riche dans ses ambiances, et passionnant dans les développements de ses nombreux personnages.
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Manga d'action, d'humour parfois, manga dessiné dans un style puissant et expressif, ce titre dépeint avec finesse un univers qui ne se réduit pas à la caricature, et reste une référence trente ans après sa création.
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Les rivalités entre Maeda et Koheiji ainsi que Shimabukuro ne font que s'amplifier, au sein du lycée Teiken. Alors, plusieurs événements viennent marquer cette routine faite de bagarre et de bon temps.
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Après cinq doubles tomes (ce qui nous amène au tome 10 de la numérotation d'origine), on savoure toujours comme il se doit le furyô phare de Masanori Morita, une œuvre prenante par son humour et ses personnages marquants. Si le thème de la boxe se fait plus discret pour le moment, on apprécie ce traitement de comédie lycéenne proposé par le mangaka, qui ne renie jamais l'identité de son manga.
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Le légendaire manga de Masanori Morita s'offrait un démarrage rythmé et exaltant. Après avoir fait connaissance avec des figures fortes telles que Maeda et Hatanaka, on attendait de pieds fermes la suite de leurs péripéties, et force est de constater que ce deuxième tome ne déçoit pas. Au contraire, il nous confirme les qualités qui a permis au mythique furyo de s'imposer à la fin des années 80.
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Au final, Morita parvient à habilement renouveler son œuvre, pourtant composée d'une succession d'histoires autour de Maeda, ses relations et ses rivaux. Une formule simple que l'artiste parvient à manier d'une main de maître par sa capacité à se renouveler et à approfondir des figures simples au départ, en jouant avec ses ambiances avec une réelle maîtrise. Ce troisième tome émeut comme il fait rire, et on peut compter sur le sens de la narration de l'auteur dans cette dernière optique.
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COUP de CŒUR qui m'a beaucoup beaucoup fait rire !

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Vous êtes fan de titres comme Slam Dunk ou Shonan Seven ? Cette série est un mix des 2, entre esprit sportif, baston et humour, un régal !



C'est la rentrée pour Maeda et ses 2 potes qui sont méga pressés de rejoindre leur bahut pour contempler les filles dans leur uniforme marinière. Mais rien ne va se passer comme prévu, déjà la fine équipe va arriver en retard après avoir provoqué un chaos sur son passage, notamment en percutant leurs futures camarades en scooter mais en plus, pas de marinière cette année pour les filles puisque le règlement sur l'uniforme a changé.



Il n'en faut pas plus pour mettre Maeda hors de lui puisqu'il a choisi cet établissement principalement pour son uniforme…. Bien décidé à montrer son mécontentement, il va se battre… avec un prof…



Résultat, dès le premier jour il va se faire virer mais aussi se faire remarquer par les petits caïds de l'école. Pas étonnant puisque la baston, il a ça dans le sang, d'ailleurs son rêve ultime et de devenir champion du monde de boxe… Pas gagné quand on constate qu'il ne sait ni se contrôler ni se battre en respectant les règles. D'ailleurs il ne les connaît même pas. Mais ça pourrait bien changer grâce à ses camarades notamment Hatanaka un membre du club de boxe qui rêve de remporter un jour les JO…



De la boxe, des yankees, de l'humour, une pincée de romance, mélangez et vous obtenez un titre qui m'a conquise dès le premier tome. J'ai retrouvé l'ambiance compétitive et l'humour que j'avais aimé dans Slam Dunk mais sous un jour nouveau.



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Par son dynamisme et son aisance à narrer les moments sérieux du début d'histoire, l'art du mangaka fait déjà mouche.
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