Le lien d’amour qui nous unit : d’abord un simple fil, plus ou moins tendu ; et puis, avec ce partage, démultiplié, le fil se renforce, d’autres ficelles s’enroulent autour jusqu’à former un lien épais, massif, qui ressemble aux cordes dont les bateaux se servent pour s’amarrer au port. Aux racines entrelacées d’un banian. Hannah et moi sommes enchevêtrés, définitivement complices.