Mayu Sakai

Makoto a grandi dans l'ombre de sa soeur Rika, une jeune fille belle et sympathique, mannequin amateur. Peu sûre d'elle et trop consciente d'être inférieure à son aînée, Makoto a pourtant décidé de reprendre les choses en main pour sa rentrée au lycée. Dorénavant, elle sera ouverte, cool et mignonne ! Mais ce genre de décision est plus facile à imaginer qu'à réaliser. A force de réfléchir, de craindre le faux pas, Makoto accumule les gaffes. Heureusement, Iriya, le garçon le plus populaire de sa classe, lui vient en aide dès qu'elle en a besoin et, contrairement aux autres élèves, il ne semble pas s'intéresser à Rika. Makoto, dont le coeur s'emballe, doit-elle lui avouer ses sentiments naissants ou faut-il qu'elle se méfie de ce garçon trop sympathique avec tout le monde, comme le lui conseille Nanami qui semble bien le connaitre ?





Si la niaiserie était un art, Mayu SAKAI aurait pondu là un véritable chef-d'oeuvre ! Une adolescente très jolie mais qui ne le sait pas rencontre le type le plus populaire du lycée et comme il se trouve qu'il lui manifeste un peu de sympathie, elle tombe évidemment amoureuse. Bien sûr, elle esst godiche à souhait, ne sait jamais quoi dire, quoi faire, comment s'habiller et lui est le prototype du preux chevalier qui n'hésite pas à dévaler la pente abrupte d'une montagne en portant sa conquête fiévreuse et évanouie sur son dos. Ces deux-là vont, à n'en pas douter, se retrouver dans un triangle amoureux, la belle Nanami ayant certainement des vues sur son ami d'enfance.

On l'aura compris, il faut avoir une dizaine d'années pour apprécier ce shôjô rose bonbon, sans originalité jusque dans les dessins typiques du genre.

Subaru a deux grands frères qui se sont toujours occupés d'elle. Mais cette année, elle fait son entrée au lycée et elle aimerait bien un peu plus de liberté. Surtout, qu'elle a fait la connaissance d'Arata, un camarade de classe qui ne la laisse pas indifférente mais qui en même temps la déstabilise complétement par sa conduite parfois déroutante avec elle.

Parfois, il est charmant, et parfois il est odieux. Si bien qu'elle ne sait plus sur quel pied danser.



Un shojo qui se laisse lire. Par contre, je n'ai pas trouvé pertinent les remarques de l'auteure insérées au milieu du manga. J'aurai préféré les retrouver condensées en fin d'ouvrage. Cela gênerait moins la lecture. Mais c'est juste un avis.



Merci à Babelio et à son opération masse critique, ainsi qu'aux éditions Panini manga de m'avoir permis de découvrir ce manga.

Un manga original où une petite fille très mignonne est en fait un grand démon. Un jeune fille maladroite, malchanceuse, et pauvre qui doit sauver le monde. Et pour finir on suppose qu'elle ne remarquera jamais qui est amoureux d'elle, dont très naïve.

Un bon manga pour adolescent, dessins agréable et scénario drôle.

Critique des tomes 3 et 4 (édition double) :

Les personnages sont de plus en plus attachants. Les relations évoluent et changent.

C'est toujours plein d'humour mais parle de sujet adolescent (comme le rejet...).

Un nouveau personnage fait son apparition et risque de mettre le feu aux poudres dans ce petit monde !

Quand on a une grande sœur qui est un mannequin célèbre il est difficile de tenir la comparaison. En tout cas c'est ce que ressent l'héroïne de ce manga pour le moins classique. On sait tout de suite à la lecture du premier chapitre comment finira la série.

J'ai trouvé le tome assez attendu et les dessins correspondent eux-aussi aux classiques du genre. J'ai passé un bon moment mais rien n'a particulièrement retenu mon attention.



PS. Je cherche encore à comprendre le titre de la série...
Lien : http://boumabib.fr

Mais qui est Sanari ?! C'est la question que je me suis posé après avoir fermer ce livre. L'histoire reviens dans l'ordre des chose progressivement, mais des couples se forment, des passés, des sentiments et des pensées sont révélés... Tous ça pour finir sur des petits problèmes anodins, comme la destruction d'un plateau télé, une sortie en ville et un voyage sur une île au soleil.

Mais tous ce que je garde de ce volume c'est le mystère que représente Sanari.

Yume a beau se démener pour améliorer son quotidien, rien n'y fait, le mauvais sort semble s'acharner sur elle. Jusqu'au jour où, excédée par une nouvelle catastrophe qui manque de lui coûter la vie, elle en vient à souhaiter la fin du monde, afin de mettre un terme à sa malchance... Malheureusement pour elle (encore!), ce souhait désespéré a été entendu par Momo, une mystérieuse petite fille aux étranges pouvoirs. Celle que l'on surnomme la "star breaker" lance alors un défi à Yume. Celle-ci a 2ans pour lui fournir sept preuves suffisamment convaincantes pour qu'elle épargne la Terre...

Un shojo de bonne facture, aux jolies illustrations, qui mêle habilement magical girl, fin du monde, romance et action! Idéal dès 10ans.

J'ai trouvé que cette histoire était vraiment n'importe quoi! On ne croit pas deux secondes aux personnages: ni à l'amoureux ni au grand frère qui a des sentiments pour sa sœur ni à la jeune sœur qui ne sait pas trop ce qu'elle veut ni qui elle aime. Les actions s'enchaînent sans queue ni tête, les dialogues sont difficiles à lire, écrits un peu n'importe comment. Bref, aucun plaisir et beaucoup d'agacement.

Après de nombreuses années, j'ai enfin l'occasion de lire cette suite.. et terminer la série ! Autant vous dire que je ne me rappelais plus de rien et le résumé en début de tome fut salvateur ^^"

Shojo classique, j'ai rapidement retrouvé la mémoire et je trouve le tome tout doux avec les sentiments naissants d'Iriya qui fait attendre Makoto.. Mais n'est-ce pas toujours risqué de taire ses sentiments alors qu'ils sont, on ne peut plus, visibles ? Un personnage du passé de Makoto va en plus réapparaître dans sa vie et la perturber, elle qui est tant amoureuse d'Iriya. Ouhou du triangle amoureux dans l'air ! J'ai bien envie de finir rapidement la série maintenant que je l'ai reprise :)

Notre héroïne s'attaque à son plus grand défi. Son rêve d'ado a été de fréquenter un lycée avec un uniforme. Chose faite, elle se retrouve dans un ancien lycée exclusivement masculin et il n'y a qu'une fille dans sa classe. Sous le règne d'un jeune homme plutôt beau, elle va ouvrir un peu grand sa bouche, pour attaquer et défendre mais à quel prix?

Un début très juste, très attachant. On veut en savoir déjà plus dès les premiers chapitres. Ce manga est même addictif!

Une fin toute en douceur pour ce manga classique mais attachant.

Rien de révolutionnaire mais les personnages principaux et secondaires sont charmants.

J'ai aimé suivre leurs quêtes amoureuses.

Je lis les éditions doubles, je ferais des critiques pour les deux premiers tomes.

Un très bon début avec des personnages intrigants et attachants.

J'ai eu des sacrés fous rires.

Un shôjo prometteur !

Tout d'abord, je tiens à remercier les éditions Panini et Babelio pour cette opération masse critique qui m'a permis de découvrir Sugar Soldier. Je suis contente d'avoir été tirée au sort car j'aime bien Mayu Sakai, c'est une des premières mangakas que j'ai découvert lorsque j'étais collégienne. En plus, il est pré-publié dans Ribon, et j'adore les illustrations couleurs de ce magazine (surtout celles d'Arina Tanemura *w*).



Et donc, ai-je aimé ou pas ? Je dirais que j'ai bien apprécié ce shôjo. Certes, on retrouve touuus les clichés du genre, mais je dois dire que j'aime bien lire ce genre de série sans prise de tête. Et puis les graphismes sont vraiment agréables à regarder, ça m'a rappelé la première fois que j'ai découvert "Rockin' Heaven" du même auteur. Sauf qu'ici, l'héroïne est un peu plus niaise. Bon, je ne dis pas que je n'aime pas le niais, au contraire ça me fait parfois bien rire (si on n'en abuse pas).

Makoto est une jeune fille de 15 ans qui a un gros complexe envers sa sœur. Dans un sens je la comprends, quand on voit la sœur en question... Disons que si j'avais une sœur comme ça, je ne m'entendrais pas du tout avec elle (ne serait-ce que parce qu'elle fait vraiment attention à tout dans son apparence... Moi le week-end, je traîne en jogging ou en pyjama ^^). Et ça dure depuis qu'elle est toute petite, elle ne cesse de subir des comparaisons "Ta grande sœur est plus mignonne, cette robe lui va mieux, ...". Du coup, elle cherche à s'émanciper un peu, et à se forger son propre style. Elle arrange son uniforme (bon là par contre, j'ai un peu de mal à cerner la chose vu qu'ils ont tous le même uniforme... à mon avis, c'est juste parce qu'elle a mis une barrette xD). Sauf que même là, les gens se disent "oooh sa sœur, le célèbre mannequin (ah oui, et en plus elle est mannequin !) a dû la conseiller !". La pauvre. Heureusement qu'Iriya se contrefiche de tout ça (et en plus, il ne connaît même pas le nom de sa célèbre sœur, ouaaah). Iriya, c'est LE beau gosse populaire que l'on trouve dans presque tous les shôjos. Dès le début, les deux protagonistes se rapprochent et deviennent amis. Naturellement, Makoto va petit à petit vouloir se rapprocher encore plus de lui ^^



Doooonc, les personnages. Makoto, elle est niaise, elle agit comme une gamine et est trop complexée. MAIS je ne l'ai pas dépréciée pour autant, j'aime bien son côté franc. Par contre, je n'aime pas sa façon de penser "toutes les filles devraient être mignonnes, je veux devenir mignonne !"... Faut pas en faire une généralité quoi. C'est surtout sa sœur que je n'aime pas, je ne la sens pas du tout (le genre de fille qui n'a aucun scrupule à rabaisser sa sœur en faisant semblant de s'en préoccuper...). Iriya, pour le moment, me laisse assez indifférente. Par rapport aux autres mangas de Mayu Sakai, je trouve que ce personnage masculin manque de prestance. On verra bien par la suite. En tout cas, je trouve la romance très mignonne, même si elle n'est pas très avancée à ce stade. J'ai adoré la scène où ils s'échangent leurs adresses mails, c'était vraiment kawaii ^^



Le scénario quant à lui ne casse pas trois pattes à un canard, mais c'est parce qu'on est dans un shôjo classique bourré de clichés, comme j'ai déjà pu le dire. Beau gosse populaire qui semble ne pas vouloir être en coupe, fille assez niaise et pleurnicheuse mais franche, complexe, rivalité amoureuse (et il y n'en aura sans doute pas qu'une), meilleure amie qui va soutenir l'héroïne...



La série semble avancer lentement au Japon (7 tomes en 3 ans), je me demande bien combien il y aura de tomes... Pour ce genre de manga, je ne vois pas plus de 7-8 tomes, plus me semblerait trop.





En gros, j'ai passé un bon moment avec ce nouveau manga de Mayu Sakai. Mais je lui préfère tout même ses autres œuvres, notamment "Momo la Petite Diablesse" que j'avais adoré ^^ Un manga à suivre !

Dans ce tome 1, les lecteur.ices suivent Kohaku, une jeune fille capable de voler. A la recherche de sa mère, elle perd son téléphone portable.



Mon avis : l’esthétique du livre m’a rappelé celle d’une autre mangaka qui a réalisé la série The gentlemen alliance cross.

J’ai trouvé l’histoire fouillie, autrement dit j’ai moyennement apprécié le manga.

Je tiens tout d'abord à remercier Babelio pour la Masse Critique du mois de juin et Panini France pour l'envoie très rapide de ce manga.



Dans ce premier tome, nous faisons la connaissance de Subaru, une jeune fille âgée de 15 ans, qui entre en première année de lycée (équivalent de la seconde en France). Une semaine après la rentrée des classes, elle fait la connaissance d'Arata, un camarade de classe qui ne la laisse pas indifférente malgré son comportement peu approprié.



Comme tout manga, « Toi et moi, jamais » se lit très vite, les dessins sont simples mais assez détaillés, donc agréables à regarder et les dialogues ne sont pas trop nombreux sur une même page, c'est aéré, plaisant. Par contre, au niveau de l'histoire ... C'est du déjà vu et pas très innovant, mais ce n'est que le premier tome donc, la mise en place des personnages et de leur histoire.



Après lecture, je pense que le public visé est l'adolescent de 12 - 16 ans. Personnellement j'ai trouvé certains dialogues enfantins, des réactions exagérées et peu matures. J'ai tout de même passé un bon moment en lisant ce premier tome, mais je ne pense pas lire la suite, pour la simple raison que ce n'est pas le genre d'histoire que j'affectionne particulièrement. Aussi, je pense avoir deviné la suite de l'histoire - j'ai quelques hypothèses, si cela vous intéresse, on peut en parler ensemble - et j'ai d'autres séries en cours.
Lien : https://lespagesquitournent...

Critique des tomes 5 et 6 :

Les relations bougent, les personnages se dévoilent. L'humour et la tendresse sont toujours présents.

Les personnages deviennent de plus en plus attachants.

Un manga classique mais qui sort du lot grâce au style de la mangaka.

Vivement la suite !

Quelle rigolade, ce shôjo ! C'est tellement... NIAIS xD On en parlait ce matin avec ma sœur, on était mortes de rire en se remémorant des passages de ce tome que j'ai trouvé à la biblio.

C'est cliché au possible, et c'est tellement exagéré ! La fille est cruche, le meilleur ami d'Iriya entre scène et semble ne pas l'aimer (ha ha, j'suis sure qu'il va tomber amoureux d'elle ^^). Il veut même l'enfermer et il lui dit un truc du genre "je ne veux pas être violent et je vais t'enfermer dans cette salle" euuuuh quoi ? Juste avant, il venait de la pousser violemment sur une table xD Ah la la quand c'est pas la rivale, c'est le meilleur ami qui fait des crises de jalousie.

Iriya est toujours un peu transparent je trouve, et l'auteure a du être du même avis car elle lui a ajouté un p'tit côté mystérieux, un passé sombre. Reste à voir ce que ça sera (je parie du côté du père).



Bon, ça a beau être niais, j'aime bien lire ce genre de mangas de temps en temps ^^ Et en plus, on a pas mal de petits détails sur les scènes clichés/niaises, la mangaka ne fait pas les choses à moitié. Une bonne petite série ! (avec de beaux graphismes héhé).





MAIS points négatifs : je ne suis pas féministe, mais ce "le violet, ça fait pas fille, prend du rose", je n'aime pas. Et aussi ce "pour sortir avec lui, tu dois être une princesse", euuuh. Faut pas être complexée pour lire ça.

Le dernier tome d'une collection toute mignonne. Une fin prévisible mais qui fait quand même plaisir. La découverte de la véritable identité de Sanari est surprenante mais surtout les choix des destinations finals sont excellents.

Mais ce qui m'a vraiment plu dans ce tome c'est le chapitre bonus à la fin.

Momo est de plus en plus mignonne, au fur et à mesure que l'histoire avance elle s'attache à la représentante, à Yume. Il y a de l’espoir pour que l'histoire finisse en happy end bien caractéristique des shojo, mais quand on vois des péripéties comme celle avec l'ancienne propriétaire de Ponkichi ou avec la nouvelle Momo on se dit que ça peu durer long temps avant d'arriver à la fin.

Un joli petit volume en plus ! Les personnages restent les même mais ils évoluent différemment au fil des pages. Nanagi deviens moins sombre, moins froid et surtout on le vois autrement après avoir découvert son passé... Momo est vraiment un personnage fort, même si elle fait petite fille, dans les combats on comprend bien que c'est elle la plus vieille. Quand à Piko une autre facette de lui est découverte par une seule petite phrase... Un bon enchaînement de fait, et des dessins supers.