Dans Paris, solitaire et glacé, Verlaine traînait déjà sa musique simple et douce de son ennui de vivre d'hôpital en hôpital, lorsque Gustave Le Rouge le rencontrà, par l'entremise probable de Julles Tellier, poète mort à vingt-six ans, en 1889, "à jamais affranchi des fureurs d'Aphrodite", et l'ancien professeur cherbourgeois du jeune normand ...