Schumann est le premier à s'être affranchi des indications de mouvements ou de tempos en italien, jusqu'alors langue de la musique, et préfère donner des indications dans sa propre langue.
Pour les titres de morceaux, il en va de même. Il n'aime pas beaucoup les noms de formes : "Sonates" ou "Préludes", et préfère des noms d'images et d'imaginaire : "Carnaval", "Scènes", "Humoresque", "Arabesque", "Fantaisies".