- Quelle a été sa faute ?
- L'amour.
- Dans le chapitre premier du second livre du dogme, il est écrit : « L'amour rompt l'équilibre... Il rend fou et vulnérable... ».
- Ça, c'est l'effet. La cause est un mystère même pour nous autres magiciens, c'est comme une maladie incurable. Beaucoup tombent malades par imprudence, mais parfois même les plus prudents sont frappés et leur unique faute est de ne pas réussir à guérir.
Le passé n'est plus, l'avenir n'est pas encore. Chercher le premier attriste, attendre le second rend paresseux.
La fonction du labyrinthe est de se perdre, sa finalité de se retrouver. Le cheminement à travers le labyrinthe symbolise le passage des ténèbres à la lumière, son parcours représente le voyage à la recherche de la connaissance.
Si tu y réfléchis bien, il n'existe pas de frontière nette entre la réalité et l'impossible. La télé est réelle pour nous, mais elle serait impossible pour un homme du Moyen-Âge ; certains croient aux miracles et aux saints, et il y en a même parfois qui voient la madone...
Je crois qu'il n'y a que les idiots qui ont de grandes certitudes. (…) Qui au monde peut affirmer connaître de manière absolue toute, vraiment toute, la vérité ?
La douleur physique est la vraie douleur ! L'unique qui soit ! La seule réalité ! (…) Non pas la souffrance créée par ton esprit ! Non pas le remords qui a fait de toi un homme malheureux.
Oui l'élève a dépassé son maître, oui l'enfer est bien plus gros sur Terre, depuis que les hommes font pire que Lucifer.
Dites à Lancaster que son fils est à nous ! Dites-lui de ne pas le chercher ou bien l'enfant mourra !
Année après année, rêve après rêve, nous avons grandi ensemble... Sans jamais être ensemble.
Les femmes sont magiques... alors je suis devenu magicien.