Ils diront tous que Timothée était quelqu'un de bien, de généreux, ils diront aussi qu'il avait le coeur sur la main.
On a déjà commencé à découper les visages imprimés A4, en forme de coeurs maladroits, décorés de fleurs de papier crépon et de "je t'aime" à l'encre fantaisiste. J'imagine que l'heure est au recueillement, aux larmes retenues, à la relativisation. Peut-être que le deuil n'est pas pour tout de suite.