Moscou est de mieux en mieux éclairée, mais patauge dans la boue, d'une curieuse façon, deux phénomènes cohabitent librement : l'organisation progressive de la vie et son absolue gangrène. (...)
Appartements, familles, scientifiques, travail, confort et utilité, tout ça est gangrené. Rien ne bouge. La bureaucratie soviétique a tout englouti dans sa gueule d'enfer. Chaque pas, chaque geste que fait le citoyen soviétique est une épreuve qui prend des heures, des jours et parfois des mois.
Des magasins sont ouvert. C'est la vie. Mais ils font faillite et ça c'est la gangrène. Et c'est comme ça pour tout.
La littérature est épouvantable.
21/12/1924