La nuit commençait à couvrir de son voile noir les forêts et les champs, la nuit allumait de petites flammèches tristes loin, quelque part, en bas, des flammèches inutiles et sans intérêt tant pour Marguerite que pour le maître, étrangères. La nuit dépassait la cavalcade, essaimait au-dessus d'elle et jetait çà et là dans un ciel attristé les frêles taches blanches des étoiles.