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Critiques de Misaki Yazuki (56)
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Mon mari dort dans le congélateur, tome 1

Ce sont toujours les bonnes femmes qui finissent dans le frigo ou dans le congélateur, à moitié ou entière. Ici, on change la donne.

Une femme qui ne supporte plus la maltraitance subi depuis des années, décide d'endormir son époux/bourreau avant de l'étrangler et de le foutre avec peine dans un grand congélateur, caché dans la remise de son jardin.

Mais voilà que le lendemain, son époux rentre à la maison comme si de rien n'était, m'étant un doute sur la réalité des actions de la veille... et pourtant, il y a bien un corps dans le congélo...

Manga très très intrigant qui m'a englouti dans son mystère...
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Mon mari dort dans le congélateur, tome 1

Club N°53 : Manga non sélectionné

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Le titre, très racoleur, donne envie d'en savoir plus.



Hélas, le dénouement utilise une solution trop de fois utilisée.



Aaricia

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Adaptation d'un roman à succès.



Se veut un thriller psychologique palpitant, mais bon, c'est un peu cousu de fil blanc !



Et un peu tiré par les cheveux, si on poursuit avec les expressions imagées.



Toutefois les premières pages surprenantes et dérangeantes captivent le lecteur rapidement !



Virginie

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Titre accrocheur mais pas convaincu finalement par l'intrigue.



Samuel

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Assez fun, mais finalement on se doute de l'intrigue assez rapidement.



Anthony

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Manga finit en 2 tomes.



Le 1er sert à placer le contexte et fait que l'on se pose beaucoup de questions...



Camille

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Mon mari dort dans le congélateur, tome 1

Je dois partager avec vous mon avis sur ce manga incroyable qui m'a totalement captivée! 🌟 Le titre m'a attirée comme une abeille vers le miel - intrigant et prometteur. Non, je ne suis pas une psychopathe, juste une amateur de titres déjantés! 📖✨ J'ai dévoré ce thriller en huis clos en une soirée, et laissez-moi vous dire que ça vaut le détour!



Le personnage principal, Nana, projette de tuer son mari, et dès le début, on est plongé dans un quotidien violent. Les scènes domestiques sont saisissantes, et la tension monte rapidement. Après avoir commis l'irréparable, la vie de Nana prend un tournant inattendu. Le cliffhanger à la fin est juste incroyable! 😱

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Mon mari dort dans le congélateur, tome 2

Ouh, la, la, mais quelle fin ! Si je m’attendais à ça. Le tout parait un peu fou et tiré par les cheveux, mais je ne peux imaginer de fin plus juste. Je me dis que le scénario est peu vraisemblable, mais est-ce si important ? Est-ce que l’on a vraiment besoin que ce le soit ?



Nana a peur de devenir folle. Elle a tué son mari. Elle en est sûre, alors qui est le deuxième ? Isolée, elle n’a personne à qui en parler. Sa mère est loin d’être la personne la plus compréhensive et elles ne sont pas proches. Son entourage se limite à Ryo depuis leur mariage.

Mon avis détaillé :
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Mon mari dort dans le congélateur, tome 1

Attirée par la couverture et le titre qui m’ont tout de suite intriguée, j’ai lu ce manga d’une traite et je n’ai pas été déçue !



C’est dans une histoire aux allures troublantes que nous plonge Misaki Yazuki à travers les yeux de Nana dont l’existence n’a pas été épargnée par son époux violent. J’ai directement été happée par l’intrigue puisque l’action démarre fort avec le meurtre de Ryo et sa réapparition le lendemain. Alors que les nombreuses interrogations se dessinent, on en apprend plus sur le couple, on comprend ainsi les raisons qui ont mené à ce drame, mais aussi sur le calvaire que Nana a enduré. Cela peut paraître « cliché » pour certains mais c’est malheureusement le quotidien de beaucoup de femmes dont le mari est violent, ça ne m’a donc pas posé souci. Au contraire, j’ai été très touchée par cette histoire et la dimension presque fantastique qu’elle finit par prendre. Certaines scènes sont franchement glauques, voire écœurantes, et je dois dire que les dessins amplifient ce malaise. Malgré cette ambiance bien particulière, j’étais incapable de lâcher le manga avant d’obtenir une explication à tout ceci.



En tout cas, ce manga se lit tout seul et on est tenu en haleine par tout le mystère qui plane autour de la réapparition du mari de Nana. Et la fin de ce premier tome n’a fait qu’attiser ma curiosité, je vais m’empresser de lire la suite qui signe la conclusion de cette histoire. J’espère ne pas être déçue par l’explication qui sera donnée, il n’en reste que ce fut une belle découverte !
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Mon mari dort dans le congélateur, tome 1

Je continue ma découverte de l’univers du manga avec ce polar qui s’annonce comme une adaptation d’un roman à succès et comme une future série Netflix. Le début est cash, et la suite est des plus déconcertante. Cela dit, l’intrigue est captivante et les pages se sont tournées à une vitesse folle.



« Je voulais le tuer depuis bien longtemps. Cependant je ne pouvais m’empêcher de continuer à l’aimer. Maintenant je suis libre. » Nana ne supporte plus la violence physique quotidienne que lui fait subir son mari Ryô. Un jour, elle passe à l’acte et l’étrangle. Mais que faire du corps ?



« C’est l’enfer, je dirai. Un meurtre, c’est l’enfer aussi bien pour la victime que pour l’agresseur. » Nana est oppressée suite à l’acte qu’elle a commis. Que vont penser les voisins en la voyant creuser le jardin dans l’espoir d’y faire disparaître le corps, ou encore en constatant l’absence de son mari volage ?



« Et le Ryô bel et bien vivant que j'ai vu ce matin n'était pas un imposteur.

A croire qu'il se multiplie en mourant...

Si je le tue une nouvelle fois, est-ce que j'aurais un troisième Ryô sur les bras ? » La jeune femme avait décidé de cacher le corps de son époux dans le vieux congélateur resté dans la buanderie. Mais voilà que le lendemain matin, Ryô réapparait comme si de rien n’était.



Au final, un manga que je me suis empressée de dévorer, mais qui m’a laissée sur ma faim. Je n’ai pas compris ce qui s’y était passé, ni l’intervention subite du personnage de Kabata, rencontré par Nana cinq ans plus tôt. Pourtant, le suspens est prégnant et ce qui est sous- jacent donne envie de tourner les pages pour en savoir plus. Les réponses à mes questions se trouveraient- elles dans le tome 2 ?

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Mon mari dort dans le congélateur, tome 1

Première lecture d'un manga traditionnel pour moi sur les conseils de ma bibliothécaire préférée. Je ne connaissais pas Misaki Yazuki qui est une auteure japonaise. Et je ne savais pas l'origine de ce manga.



Il a d'abord fallu que je m'habitue au format et au sens de lecture, honnêtement il m'a fallu quelques pages.



Ensuite je suis entré dans cette histoire de meurtre Anna a tué son mari Ryô qui était violent avec elle. Elle est passée à l'acte pour échapper à cette violence conjugale. Mais il faut qu'elle fasse disparaître le corps ce qui n'est pas si facile pour une faible femme. Trop compliqué de l'enterrer dans le jardin ou de la cacher sous les tatamis de la maison. Finalement Anna va opter pour le congélateur : elle va cacher le corps de Ryô dans le congélateur au fond de la remise.



Mais le lendemain, Ryô est de retour ce qui surprend Anna. Il est présent et il ne semble pas le même. Il est prévenant, retourne au travail. Anna ne comprend pas car le corps de Ryô est toujours dans le congélateur. Elle se demande si elle rêve ou bien si c'est un cauchemar. Comment est-ce possible ?



Il y a aussi la voisine à la robe de paon qui semble s’intéresser à Ryô. Serait-elle sa maîtresse ?



Anna va prendre une décision radicale : elle va découper le corps de Ryô et le faire manger au Ryô qui est là tous les jours. Elle décide de lui préparer des plats pour qu'il mange au travail. Elle va donc préparer des plats à la chair humaine.



L'intrigue se construit peu à peu. Ryô est-il un fantôme ? Sait-il ce qu'il y a dans le congélateur ? Anna a-t-elle rêvé ce meurtre ? A-t'elle trop souffert pour envisager la mort de son mari ? Vit-elle un rêve éveillé ? Et pourtant il y a un corps dans le congélateur.



Ryô est-il un manipulateur ? Pourquoi amène-t'il un collègue de bureau à la maison ?



Le graphisme est plaisant ainsi que la variété des plans proposés par Hyaku Takara, comme généralement dans les mangas. Pour une première lecture, ce fut un moment agréable et les auteurs ont réussi à tenir mon attention jusqu'au bout de ce premier tome. Je vais donc attaqué dès maintenant le tome 2 pour connaître le dénouement.





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Mon mari dort dans le congélateur, tome 2

Après avoir lu et adoré le premier tome, je me suis empressée de lire sa suite qui clôturait cette histoire pour le moins mystérieuse. À mon plus grand désespoir j’ai été déçue.



Au départ, j’étais emballée par ma lecture puisqu’on retrouvait cette ambiance oppressante qui m’avait tant fait aimer le premier tome. Je n’avais pas d’attentes particulières, je me laissais porter par les évènements ayant toute confiance en l’autrice pour me surprendre. À mesure que la fin approchait, j’ai fini par élaborer des théories en espérant qu’il n’y ait pas trop de facilités scénaristiques. Mes craintes ont malheureusement été confirmées par les révélations auxquelles je n’ai pas pu me résoudre à adhérer.



D’abord parce que c’est rocambolesque et de ce fait très compliqué de croire à un tel dénouement. C’est tellement cliché, ça a largement été exploité à de maintes reprises que ce soit en littérature ou au cinéma, je ne comprends pas le choix de l’autrice en sachant qu’elle avait les moyens d’innover ou au moins de nuancer les choses. je suis tellement déçue !

Et comme si cela ne suffisait pas à chaque révélation, d’autres rebondissements apparaissaient, me plongeant toujours plus loin dans l’aspect rocambolesque du récit.

Alors oui, la véritable fin nous montre un énième retournement de situation qui semblerait prouver que Nana n’est pas aussi naïve qu’on peut le croire, mais ça ne justifie pas ce manque de cohérence que je pointe du doigt dans la partie masquée. J’ai été très frustrée que certains mystères n’aient pas été formellement élucidés, d’abord



En conclusion, je suis très déçue par la tournure prise par cette suite, j’aurais aimé retrouver cette ambiance particulière du premier tome qui m’avait tant charmée et un dénouement digne de ce dernier. Ça n’a malheureusement pas été le cas, si vous n’avez pas encore lu ce diptyque, ma chronique vous paraîtra surement floue puisque la plupart de mes reproches sont des spoils que j’ai masqués. Mais globalement, c’est l’aspect invraisemblable du dénouement et de ses explications qui m’ont fait décrocher, je ne pensais pas que le choix scénaristique se porterait sur ça. De mon point de vue, il y a un véritable manque d’originalité qui je trouve ne permet pas à ce manga de se démarquer de ce qui a déjà pu être fait en la matière. En bref, je n’ai pas du tout été convaincue…
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Mon mari dort dans le congélateur, tome 2

Il me tardait de savoir le fin mot de cette histoire : explication fantastique ou rationnelle ? Mari zombie ? Mauvais meurtre ?



Ce manga est très psychologique. Tout comme Nana, le doute ne cesse de nous habiter. Qui ment ? Qui manipule ? La fin, soumise à interprétation mais si peu, est glaçante.

C'est une série en deux tomes qui tient en haleine, avec toutefois quelques facilités de scénario.
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Mon mari dort dans le congélateur, tome 2

Le tome 1 m’avait laissée pantoise, perplexe avec tellement de questions et une fin qui – forcément – n’en était pas une. Qu’allait devenir Nana, cette femme violentée et assassine ? Lire le deuxième tome était devenu une évidence !



« Qui est ce Ryô avec lequel je vis ?

Est- ce une chimère incarnant à la fois mes désirs et mes remords ?

Ou bien ai- je simplement perdu la raison ? » Nana a tué Ryô, son mari violent et en a caché le corps dans le congélateur. Et pourtant, le lendemain, il était rentré à la maison comme si de rien n’était. Quel trouble pour la jeune femme qui se retrouve (et le lecteur aussi) sans explication plausible !



« On pense connaître son partenaire mieux que quiconque, alors que c'est tout l'inverse.

Plus on est persuadé de savoir à qui on a affaire, plus on a du mal à discerner la vérité. » Nana va tenter de trouver du réconfort et des explications auprès de Kamata, collègue de Ryô, qui avait déjà eu des vues sur elle auparavant. Etonnamment, au fil de rencontres inédites, Nana va se rendre compte qu’elle est loin d’être celle qui connaissait le plus celui qui fût son époux ; mais aussi celui qui l’a remplacé.



Au final, un deuxième tome dévoré en même pas une heure. Il apporte une piste de résolution que j’ai trouvée un peu tirée par les cheveux (peut- on connaître si mal la personne dont on partage la vie ?), mais pourquoi pas ? J’ai aimé retrouver l’ambiance ambiguë du premier tome. Pour une néophyte du genre, la duologie est très bien passée !

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Mon mari dort dans le congélateur, tome 2

Une mini-série efficace dans ce qu'elle dénonce dont je comprends l'adaptation en série télé, elle est calibrée pour, mais qui a de sérieuses failles en version manga...



Si j'ai aimé suivre une femme victime de violences conjugales qui, un jour, sans le vouloir dérape et tue celui qu'elle prend pour son époux, je trouve qu'en dehors de ce thème et d'une nouveau qui va apparaître dans ce tome, le reste est fort classique voire faiblement mis en scène. En effet, Misaki Yazuki s'échine à rentrer dans les codes du genre que la télévision a ancré en nous, du coup, l'ensemble manque cruellement d'originalité et est prévisible dans chacun de ses rebondissements, qui visent à perdre le lecteur, mais ne le font pas vraiment.



Le scénario, qui se voulait original avec l'arrivée d'un homme ressemblant trait pour trait à son époux, se révèle donc être très classique. L'autrice nous sort la sempiternelle histoire des jumeaux. Bof. Je l'ai vu venir de loin. Le fait qu'ils ne soient pas inscrits à l'état civil était un poil plus intéressant mais ça s'arrête là. De même que l'ambiance, je fais tout pour rendre l'héroïne folle, était archi vue et revue. La tension que cherchent à créer les autrices n'a pas bien fonctionné avec moi. Je n'ai pas eu peur quand le collègue de Ryo est venu manger chez eux, ni quand avec l'héroïne j'ai compris qu'il savait, ni à aucun des autres rebondissements. Tout était lisse et prévisible, de la paranoïa de Nana, jusqu'à ses découvertes.



Les autrices ne rompent ainsi nullement avec les codes du genre et proposent à la place un récit très calibré où au final tout est un jeu d'ambiances maladroit. Je pense que le fait que le titre ne fasse que deux tomes joue contre lui. Ça empêche de vraiment faire monter une tension, une peur, une paranoïa vraiment dense et oppressante. On n'a pas le temps d'avoir peur que déjà on a un nouveau rebondissement, une nouvelle révélation pour nous conduire vers la réponse finale. C'est dommage.



Alors oui, c'est glauque à souhait. Oui, ça se veut un récit coup de poing. Mais l'ensemble manque cruellement de nuances et d'approfondissements. Ce n'est pas crédible pour un sou. Le jumeau d'un homme qui bat sa femme est au courant mais ne fait rien alors qu'il la côtoie aussi ? Une femme qui a subi ça parvient à retrouver le bonheur dans les bras d'un homme qui lui ressemble trait pour trait ? Puis quand on lui fait comprendre que rien ne va, hop, le schéma est reproduit. Non, non, ça ne fonctionne pas avec moi.



Après un premier tome prometteur mais qui marchait sur une corde raide, les autrices dérapent ici et proposent une suite malheureusement trop succincte qui brusque le développement de l'histoire et lui font perdre et son originalité et son sens. Tout est prévisible et en même temps sans queue ni tête. Ce n'est pas avec une histoire aussi WTF qu'un message aussi important pourra passer à mon sens. Les gens vont juste s'en saisir comme divertissement et c'est fort dommage. Je suis déçue.
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Mon mari dort dans le congélateur, tome 2

Ce tome 2 de "Mon mari dort dans le congélateur" va introduire de nouveaux personnages. Nous retrouvons Anna , Ryô, leur ami Kamata, la voisine à la robe de paon amis on découvre aussi la mère d'Anna.



Quel est le rôle de Kamata ? Quel rôle veut lui faire jouer Ryô ? Anna est perdu entre sa haine de son mari violent. Elle décide de tuer Ryô une seconde fois. Anna va se rapprocher de Kamata mais elle va découvrir la duplicité de son entourage.



Les auteurs nous plongent au plus profond de cette intrigue. Nous allons découvrir que Anna avait été aveuglé par son amour naissant pour Ryô, que son entourage avait des doutes ou des certitudes mais avait choisi de ne rien lui dire, de ne pas l'alerter étant persuadé qu'elle savait.



Les rebondissements se succèdent, s’enchaînent. Une explication rationnelle apparaît et on va enfin savoir à qui profite le crime. On découvrira aussi une belle manipulation.



J'ai autant apprécié le graphisme que dans le tome 1, idem pour la mise en forme.



Lire des mangas n'est pas dans mes habitudes. J'ai donc découvert un genre et un style. Ce ne fut pas désagréable. J'y reviendrai mais peut-être en choisissant des incontournables ou des phénomènes de société.



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Mon mari dort dans le congélateur, tome 1

Attention Trigger Warning si vous souhaitez lire ce manga : viols, violences conjugales, meurtres.



L'histoire débute avec Nana, une femme qui vient tout juste de tuer son mari, Ryo. Un homme violent qu'elle décide de cacher dans un vieux congélateur.

Nana se sent enfin libre. Elle ne va plus vivre dans la peur.

Sauf que le lendemain, Ryo est là. Bien vivant. Mais le corps de Ryo est également dans le congélateur. Chelou.





C'est un manga hyper violent mais très réaliste.

Les dessins sont travaillés et transmettent bien les émotions des personnages. L'auteur a su retranscrire cette espèce d’ambiguïté entre l'amour et la haine malgré les violences conjugales.



Le côté fantastique apporte un suspense assez addictif et, même si c'est un peu particulier, il y a une intrigue qui se met en place rapidement et qui donne très très envie de connaître la suite.
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Mon mari dort dans le congélateur, tome 1

Un titre des plus intriguant, le résumé aussi, un nouveau manga proposé par les éditions Akata qui sera fini en deux tomes. La couverture dégage également un petit quelque chose. De plus, c'est adapté du roman à succès de Misaki Yazuki par Hyaku Takara.

C'est un récit haletant, étrange, qui nous rend curieux de découvrir la suite, qui nous met parfois mal à l'aise, nous rend triste par moment. Le graphisme sert totalement tout cette tension que nous ressentons, psychologiquement l'oeuvre est intéressante et elle sait se démarquer. C'est le final qui nous dire vraiment où nous en sommes et je suis très curieuse de voir celui-ci.

Nous sommes projetés directement au cœur de l'été, alors qu'un festival va avoir lieu, avec une jeune femme, nous savons plus tard qu'elle s'appelle Nana. Elle célèbre sa liberté retrouvée. Elle reste choquée d'avoir dû en arriver là mais ne voyait plus d'autre solution. Elle vient de tuer son mari. Mais quand nous découvrons son histoire, comment se comporter Ryo envers elle, nous comprenons mieux comment elle a pu en arriver là. Et plusieurs fois, notre cœur va se serrer, être épouvanté par la transformation de Ryo contrairement aux apparences. Nana a mal partout.

Alors qu'elle accepte ce qu'elle vient de faire, se pose des questions, réfléchit et savoure de se retrouver elle-même, voilà que débarque son mari. Elle est bien sûr sous le choc et se demande comment c'est possible, si elle a fantasmé, si elle a tué quelqu'un d'autre, si elle doit le tuer à nouveau, voire si elle perd la tête.

Elle est autant déstabilisée par sa réapparition l'air de rien que par d'autres détails, qui ne font que la faire encore plus hésiter.

Nous voyons qu'elle en a gros sur le cœur, sans doute s'en veut elle également de son choix malavisé le jour où elle a choisi cet homme, vu l'idée terrible qui germe dans on esprit.

Sous un beau trait, fin et délicat, qui dégage une certaine force nous mêlons des instants de vie, des passés, des choix, de la tension, de la psychologie et un élément que nous ne nous expliquons pas du tout pour le moment.

Nana retrace très bien sa descente aux enfers, la façon dont elle se sentait prisonnière, comment elle est passée à l'acte, les difficultés que ça a été, suivi du choc après s'être enfin libérée de le revoir.

Destiné à un public assez mûr et averti, la violence physique et psychologique pouvant être dures.
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Mon mari dort dans le congélateur, tome 1

Voici un petit diptyque bien intrigant de par son titre mais aussi son contenu. En 2 tomes, pas le temps de tergiverser, on rentre dans le vif du sujet surprenant Nana tirant son mari dans un sac pour l'emmener dans un congelo. OK ça met le cadre. Rapidement, l'effet recherché et histoire courte obligent à nous fonder dans les murs des scènes de violences conjugales que Nana subit. Dur de ne pas être empathique pour cette jeune femme qui au coup de trop, va décider de tuer son mari Ryo. Histoire bien mystérieuse quand le lendemain, Ryo apparaît de nouveau, vivant et clamant vouloir être un bon mari. Les dessins sont froids, beaux et conviennent à ce thriller sociétal. J'ai hâte de comprendre ce qui se passe avec Dead-Ryo et Perfect-Ryo.
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Mon mari dort dans le congélateur, tome 2

Ah...



Comment dire... J'ai aimé la fin, ho oui c'était prévisible mais bien amené.



J'ai aimé le début, le fait de flirter avec la folie... Ho oui j'ai aimé ça...



Et entre les deux ? Ah... Et bien entre les deux je n'ai cessé de me dire non, mais non, mais stop il ne faut pas aller encore plus loin... Voilà.



Du coup je suis mitigée, parce que ce manga à un fond vraiment intéressant. Le fait que ce soit en deux tomes est top, mais je reste déçue par l'accumulation de chose abracadabrante dans ce deuxième tomes.



Belles lectures à tous.
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Mon mari dort dans le congélateur, tome 1

Waouh...



Un manga acheté un peu au hasard de mes déambulations. Et franchement c'est un mini coup de cœur !



C'est impressionnant, différent, à la fois poétique et mystérieux. L'auteur nous entraine dans une histoire sombre, de violence conjugale et de meurtre. Mais tout n'est pas aussi simple !



J'avoue que l'apparition de Ryô est énigmatique, elle prend le lecteur au dépourvue et confronte Nana à des dilemmes moraux.



J'ai vraiment hâte de lire le prochain tome afin d'en savoir plus sur Ryô et surtout découvrir comment Nana va se sortir de cette situation !



Belles lectures à tous.
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Mon mari dort dans le congélateur, tome 1

Akata a la réputation de proposer parfois des titres chocs et surtout des titres sociétaux en pagaille. Mon mari dort dans le congélateur fait bien sûr parti des deux, le lecteur ne peut s'y tromper avec un titre pareil. Et je dois dire que malgré le fait que celle-ci soit brève, ce qui me fait toujours peur, je sens que ça va être un joli uppercut.



Thriller psychologique, Mon mari dort dans le congélateur est l'adaptation par Hyaku Takara d'un roman qui a eu son petit succès sur le net, ce que les éditions Shôgagukan ont remarqué puisqu'ils ont rapidement proposé de l'adapter avant de le prépublier sur plusieurs plateformes, la publication en format papier (en 2 tomes) n'arrivant qu'après. L'autrice, Misaki Yazuki, nous raconte comment une jeune femme, victime de violences conjugales se voit obligée de tuer son mari pour survivre. Remarqué également par la critique, il a également été adapté à l'écran en série TV.



La version manga est diablement efficace. N'ayant que 2 tomes pour raconter cette histoire sordide mais poignante, la mangaka va droit au but et dès les premières pages elle assène un uppercut à ses lecteurs, ouvrant le titre par une scène choc où l'on voit l'héroïne chercher comment se débarrasser du corps. Comment en est-elle arrivée là, elle qui a l'air toute douce et gentille, si banale ?



Ce manga est surprenant non seulement à cause de cette ouverture marquante mais aussi parce que très vite, l'intrigue rebascule quand l'héroïne se retrouve quelques heures plus tard à nouveau face à son mari, alors qu'un homme ayant exactement le même visage est toujours dans son congélateur. Qui est cet homme ? Qui est celui du congélateur ? L'a-t-elle vraiment tué ou est-elle devenue folle et le rêve-t-elle ? Toutes les interrogations sont permises.



J'ai beaucoup aimé que la mangaka nous plonge dans la tête de Nana (tiens, joli choix de prénom quand on connaît le destin de l'héroïne du même nom dans la série éponyme...), cette femme battue et maltraitée par son conjoint. En se mettant de son côté, on pose son regard à elle sur la situation et on saisit bien toute la crainte de ces femmes sans arrêt sur le qui-vive qui ne savent jamais quand leur compagnon va exploser. Le récit des violences qu'elle a subies est d'ailleurs tellement parlant !



Mais ici, l'autrice ajoute une petite touche inquiétante avec le retour de cet homme, qui a changé et se propose désormais d'être un bon mari. Nana s'interroge et le lecteur aussi. Pourquoi ce changement à ce moment-là ? Est-ce bien son mari ? Et si oui, qui est l'homme du congélateur ? Est-elle en train de devenir folle ? C'est vraiment stressant et inquiétant, ce qui est parfaitement décrit sous la plume des deux autrices et ce qui rend la lecture palpitante. Tout est parfaitement mis en scène pour nous faire douter de bout en bout et de tout.



Les dessins, eux, sont dans la pure lignée de ce qu'on nous propose actuellement dans le monde du seinen, ni plus ni moins. Cependant, ils m'ont souvent mise mal à l'aise, ce qui est le but, mais j'ai trouvé Nana bien trop sexualisé et son mari, Ryo, peut-être un peu trop cliché du psychopathe qui le cache. On est dans quelque chose d'assez classique, d'assez binaire, qui manque peut-être un poil de subtilité et de sensibilité pour moi. Mais je sais que c'est voulu et assumé pour être un titre choc, donc je comprends l'intention même si elle ne me touche pas.



Ce premier tome d'un diptyque qui s'annonce percutant est une introduction diablement efficace qui nous plonge dans la tête perturbée d'une femme battue qui a potentiellement commis un crime et compte bien se venger de ce qu'elle a subi. J'ai aimé la peur et le doute qui s'insinuent en nous à la lecture. J'ai aimé que les autrices ne nous épargnent pas en nous faisant le portrait de ces violences quotidiennes. C'est un joli portrait malheureusement du quotidien de bien des femmes et c'est assez jouissif d'avoir une héroïne qui se rebelle. J'ai hâte cependant de découvrir le fin mot de cette histoire car elle reste bien mystérieuse mais c'est ce qui en fait tout le sel ! Encore un joli choix d'Akata ^^
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Mon mari dort dans le congélateur, tome 2

Autant j’avais aimé le premier tome pour son originalité, autant celui-ci, qui constitue donc la fin de l’histoire puisqu’il s’agit d’une duologie, m’a semblé extrêmement prévisible et parfois même insensé.



Résumé :



Depuis que son mari supposément mort a réapparu sur le seuil de la porte, Nana ne sait plus comment se comporter.

Cet homme est-il vraiment celui qu'il prétend ? Pourquoi se montre-t-il plus attentionné qu'autrefois ? A-t-il des intentions cachées ?

En proie au doute, Nana pourrait peut-être trouver un allié en la personne de Kamata. Collègue de Ryô, ce dernier est un homme prévenant qui, lors d'une rencontre arrangée, était un peu tombé sous le charme de la jeune femme. Mais n'est-il pas trop tard pour changer les choses ?



Le thème de fond sur les violences faites aux femmes aurait pourtant pu être exploité mais l’auteur perd son temps à nous faire tourner en bourrique avec des théories abracadabrantes…

Bref, je ne vais pas m’étendre plus sur ce manga, c’est une déception.



Next !
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Mon mari dort dans le congélateur, tome 1

Un bon premier tome qui met tout de suite dans l'ambiance et pose des bases rapidement. J'ai beaucoup aimé l'ambiance qui se dégage, entre le soulagement de Nana après la mort de Ryo, son questionnement concernant ce qu'elle va faire du corps puis la surprise et la l'incompréhension quand il se montre le lendemain comme si de rien n'était.

Le style de dessin est également très propice au genre de ce manga et j'ai trouvé qu'il accentué le côté parfois malaisant et glauque.



L'intrigue est finalement assez simple et linéaire. J'ai toutefois trouvé que ça se lisait bien, et c'était très sympa. Le format en deux tomes est un peu court pour réellement s'attacher aux personnages, néanmoins j'ai eu l'impression de plonger facilement dans les pensées et le quotidien de Nana et je l'ai plutôt bien apprécié.

Cela dit, un twist me paraît incontournable pour ce manga (mais je serais agréablement surprise de me tromper) et, s'il est bien présent dans le T2, je crois que ça va le refroidir, haha. Mais peut-être que l'explication à ce twist peut valoir le coup. À voir, donc.

En tout cas, c'est pour moi un début prometteur pour cette duologie.

N'ayant pas l'autre tome sous la main, ça sera certainement pour plus tard, en espérant que la suite sera à la hauteur de ce premier tome.
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